Bonjour! Je voulais vous avertir que je ne sais pas vraiment comment marche Wattpad donc je ne suis pas sûre d'avoir réussi à mettre les deux catégories principales de mon roman. Bref, ces deux catégories sont: Amour ET Science-Fiction. Je voulais aussi remercier les personnes qui m'ont lus.
-A.L
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"À l'aide! À l'aide!", hurlais-je apeuré
Le corps de cette femme était celui de ma mère.
Je couru et tomba à plusieurs reprises avant d'atteidre le téléphone. J'appela la police (les urgences).
"Allo?" ,dit une femme
"Ma mère... ma mère est morte."
" Où êtes-vous?"
"Chez nous au 1979 rue principale!"
J'entendis la femme dire d'envoyer des embulances et des policiers à l'adresse que je venais de lui donné.
" Des embulances arriveront dans quelques minutes. Ne toucher à rien." ,dit la femme et racrocha tout de suite après.
Les minutes d'attente furent les plus longues de toutes ma vie. Une fois arrivé les policiers me firent sortir de la maison.
"Comment avez-vous trouvé la victime?" ,dit un des deux policier
"Je me suis réveiller à coté d'elle."
"Était-elle vivante lorsque vous vous êtes réveiller?"
"Non elle était morte", dis-je sous le encore sous le choc de la condition de ma mère
"Nous vous demendrions de nous suivre au poste de police pour completer l'intérogatoire."
"Dans quoi me suis-je embarqué?" dis-je à moi même. J'allais probablement passé ma soirée a répondre aux questions des policiers alors que tout ce que je demande est de rentrer chez moi pour manger une glace tout en déprimant sur le fait que ma mère soit morte. Je passerais la moitier de la nuit à être dans le dénis pour ensuite passer à la prochaine étape du deuil : la colère. J'aurais probablement cassé mon téléviseur et crié sur la première personne que je croiserais. Et je me serais endormis en me promettant de ne plus faire certaines choses si j'aurais à refaire face à cette situation, autrement dit je srais à la troisième étapes du deuil: le marchandage. Seulement, ce n'est pas ce qui se passera grace à ces deux connards de policiers!
"D'accord" répondis-je
Ils me conduisirent à une voiture de policier et m'instalèrent en arrière. Refermant la porte derrière eux, j'accotas ma tête contre le siège de la voiture. Les deux policiers revinrent une minutes plus tard. La route vers le poste de police ne fut pas très longue. J'étais trop perdue dans mes pensés pour m'ennuyer. Ils me firent débarqué de la voiture et me conduisirent à l'intérieure du bâtiment. Je le suivis et, finalement arrivé, je m'assis sur une chaise plutôt confortable attandant que des questions me soit posé. Pendant deux heures je répondit à toute sorte de questions. Quand justement j'aillais sortir d'ici pour mettre fin à ce malheur, un autre policier rentra dans la salle d'interrogation et chuchota quelques mots à son amis.
"Amenez-la" ,dit l'un d'eux aux autres policiers. Par la suite, deux hommes assez batits vinrent prendre chacuns de mes petits bras, m'obligeant à les suivre.
"Quoi? Pourquoi m'entrainez-vous de force ?"
"Puisque les empreintes sur le corps de la victimes sont les vôtre et je suis certain qu'après avoir fait un moule de vos dents il correspondra au marques de dents laissé dans le coup de la victime. Vous êtes officiellement accusé d'homicide volontaire."
Mon dieu. Ça ne peut pas être vrai. C'est surment un cauchemard. Je me réveillerai dans la vie de rêve que j'ai, avec ma maison joyeuse et acceuillante, des amies sur qui compter, un avenir prédessiné et une mère... et surtout une mère débordante de vie et d'énergie. Ils m'ammenèrent dans une sale ou ils me mirent une sorte de dentier dans la bouche,surement pour prendre des empreites de mes dents. Pendant les minutes d'attente je pensai. Mais qu'est ce que j'aillais faire si on me trainait devant la justice? Je n'aivait même pas d'avocats, même pas d'argents. On me placerais dans un foyer d'acceuille si je ne me rendrait pas sous le barreaux? Allais-je allez dans un centre de détention ou une prison si j'était jugé coupable? Après tout, j'aillais avoir 18 ans dans 1 mois et demi. Me laisserait-il dans la rue sans famille, ni père, ni mère, sans argent pour survive ayant pour seule demeure la maison de mes amies? Qu'allaient-ils faire de moi? Étais-je vraiment coupable? Avais-je vraiment tuer ma mère? Étais-je devenu un monstre ou une victime inoffensive? étais-je encore destiné au même avenir? Mais qu'allais-j...
" Les empreintes de dents dans le coup de la victime corresponde aux même que les votres." me coupa le policier dans mes pensés. " Je vous arrête officiellement pour meutre plus précisément homicide volontaire. Vous avez le droits..." contina le policier alors qu'il me mettait les menottes et me conduisis vers les cellules du poste. Pendants qu'il me récitait mes droits une seule questions revint dans mon esprits : "Que devindera ma vie maintenant?"

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Romansa"À l'aide! À l'aide!", avais-je crié Pourtant ce n'était pas moi la victime. Moi j'étais plutôt la responsable de ce malheur, la cause de ce cauchemar, la fautive. Fautive du désastre qui avait fait de moi ce que je suis: une prédatrice dangereuse...