Chapitre 4

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Ça fait maintenant 2 minutes que je suis dans la cabine de toilette à pleurer quand quelqu’un rentre. Je me lève sur la lunette de toilette pour pouvoir voir c’est qui. La surprise lorsque je voix un gars qui s’apprête a baissé son pantalon me fait tomber le pied dans la toilette. SHIT.

-Y’a quelqu’un?

Je ne réponds pas. J’arrête totalement de bouger jusqu’à ce qu’il soit sorti. Ensuite, je « sorti de  la toilette ». Il faut vraiment être conne pour ne pas remarquer les urinoirs qui sont SEULEMENT dans la toilette des hommes. J’allais sortir mais deux personnes rentrèrent dans la toilette. Une fille et un garçon. Les deux saignait beaucoup et resta figer en me voyant. « C’est bon! J’ai compris. Je suis dans la toilette des hommes alors que je suis une fille! Vous pourriez arrêter de me regarder comme ca. D’ailleurs cette fille non plus n’a pas le droit d’être ici.» Avais-je envi de dire. Mais quelque chose me tenait plus a cœur. Le sang. Leurs deux mains qui en étaient recouverte. Du sang. Ma vue devient rouge et tout ce qui m’importait étais le sang. J’avais envie d’y gouter. En fait, ce n’était même pas une question. J’étais comme un prédateur présentement devant ma seule nourriture de la semaine. Je couru vers la porte et la barra avec le verrou qui était sur celle si avant même qu’il ne s’en rendre compte.

-Mais qu’est-ce que tu fais? dit le gars poussant la fille derrière lui.

Avant même qui ne s’en rendre compte je lui sautai a la gorge. La fille hurla. Je lui (a la fille) tordis le coup et continua, ensuite, a boire le sang du gars. Son sang était chaud et provoquait une sensation de bien-être. Il était si juteux et tellement bon que je pourrais passer des jours et des jours à ne jamais arrêter de n’en boire. C’était délectable. Chaque gorger était meilleure que la première. J’arrêtai lorsqu’il ne restait plus rien à boire. Il était mort vider de son sang par moi. Je me tournai vers la fille qui, elle aussi, était inerte, sans vie sur le sol.  Je la mordis au coup. Son sang était encore chaud mais moins bon que celui du gars. Je fini mon repas et me lava la bouche te les mains sortant de ma trance de prédatrice. Pour tout dire, je m’en voulais d’avoir eu ses pulsions. Mais, étant le monstre que je suis, j’avais adoré ça. Ce sentiment de bien être, de réconfort et , surtout, le sentiment de dominance que j’avais eu. Comme si , pour une fois, je gérait la situation. J’en étais même la reine. Moi, la reine de la situation que personne ne contredis. Mais j’avais maintenant la certitude que j’avais tué ma mère.  Mes empreintes, les marques de mes dents dans son coup… tout cela s’expliquait maintenant. J’en avais un chagrin fou. J’avais vraiment tué ma mère. Mais qui avait bien pu m’écrire le message près de ma maison en cendre? Mais, vous savez quoi? Je n’ai même pas le gout de résoudre se mistaire. Je savais que ce n’était pas lui mais moi qui avais tuer ma mère et j’était fatiguer de tout ça. Cette merde dans ma vie. Me donné la vie étais une erreur qu’avait fait la nature. Je voulais seulement arrêter de pensé a tout ça.

 J’avais nettoyé tout la salle de bain avec des papiers a main, du savon et de l’eau. J’avait, aussi, mis  les corps dans les cabines. Ça m’avait pris trente minutes et la cloche allait bientôt sonné. Mais lorsque je vins pour sortir de cette satané toilette (la sale d’eau), je couru vers la toilette (l’objet) et vomis tout le sang que je venais d’avalé entrainant la sensation d’être rassasié.  J’avais l’impression d’avoir le ventre vide. Mon corps était peut être contre l’idée que je me laisse devenir un monstre? Je faisais, surement, qu’une indigestion mais j’aimais pensé qu’il avait encore une petite partis de moi qui se battait encore contre le fais que je devienne une prédatrice. Je voulais absolument partir d’ici. Juste quand je pensai que j’étais sorti d’affaire, j’ouvris la porte sur une personne.

-Que fais-tu ici?

Cette voix. Cette voix hypnotisante. Cette voix qui faisait fondre mon cœur appartenait au beau gars que j’avais vu au début de la journée. Réalisant qu’il m’avait posé une question je dis la première chose qui me vins à l’esprit.

-Rien.

-Eh bien. Ça tombe bien, j’avais besoin de te parler. Nous devons faire un projet en équipe de deux et le prof nous a mis en équipe ensemble. Alors veut tu venir chez nous ce soir?

-O..oui. béqueillais-je. A quelle heure?

-Cinq heure. Ça te vas? Tu pourais venir souper chez nous.

-Oui bien sûr, murmurais-je

-Ok. Mon adresse est le : 799 rue des bouquets, Verchères

Je notai l’adresse. Je me remis en route me sentant humilier d’être dans la toilette des hommes.vJ’allais passé la porte quand il m’interpella.

-Attend! dit-il.

Je me retourna.

-Je m’appelle Dave, Dave Henderson.

-Et moi Ruby Williams, dis-je

-Je sais, dit-il avec un petit sourire.

Finalement, je poussa la porte avant que la cloche sonne pour que tout le monde découvre ou j’étais tout ce temps.

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