Partie 11

680 41 5
                                    

Cheryl


La photo qui s'était affiché sur cet écran m'avait engouffré dans un état de tristesse incommensurable. J'avais vue leurs visages pour la première fois, malheureusement qu'un cours instant. Mais ils avaient hanté ma nuit blanche. Les jumeaux avaient quelques reflet roux et leur forme de visage me rappelait sans aucune mesure des attributs de mon frère. J'aurai voulu les observer un peu plus avant que cette idiote retire l'appareil hors de ma vue.

Pourquoi Toni pour venir m'aider ? Moi même je ne savais pas vraiment, peut être parce que c'est bien la seule personne sur cette planète qui aurait accepté de venir avec moi.



À peine entrée dans la voiture que son regard interrogateur c'était posé sur moi, insistant.


« Qu'ya t'il ? ». Lançais-je tout en restant concentré pour sortir de ce terrain jonché de flaque d'eau.


« J'ai accepter de venir pour t'aider mais peut être ais-je droit à des explications ? »


« Faux, tu es venue parce que tu es incapable de te passer de moi »


Je ne savais pas moi même pourquoi j'avais dit cela, je l'avais dit d'un ton presque amusé. Il fallait vite que je me ressaisisse.


« La reine des effractions c'est toi, donc j'avais plus ou moins besoin de... ». Je l'a dévisagea désagréablement de haut en bas. « Ta personne »


« J'aurais presque cru que tu me flattais... Mais attend : une effraction !? Je te préviens je ne participerai pas à cela !»


Je freinai brusquement en pencha la voiture sur le bas coté, Toni fut propulsé en avant les deux mains sur le tableau de bord pour se maintenir.


« Mais t'es complètement folle ! »


« Folle à lier exactement. Si tu ne veux pas m'aider je le ferai seule. Tu peux partir tu sais tu n'as qu'a ouvrir la portière. ».


Ma voix était joueuse et absolument pas adapté à la situation, se qui l'étonna encore d'avantage. Je n'avais pas vraiment besoin de faire d'effort je connaissais déjà sa réponse. Alors après quelques instants les yeux grands ouvert, et son corps complètement crispé.Elle décida :


« Je t'accompagne juste pour que tu évite de te faire prendre »


Aussitôt dit je sorti de la voiture, et alla ouvrir sa portière de l'extérieur. Devant son visage toujours plus ébahie.


« Alors à toi la place de conductrice !»


Je comprit qu'elle n'avait pas vraiment envie de poser ces fesses sur le siège conducteur mais s'exécuta finalement.


Et après avoir tourné et retourné dans tout le sens les boutons de réglage pour se mettre dans une position confortable qui lui permettrait de conduire avec son petit corps. Elle déclara.

FateOù les histoires vivent. Découvrez maintenant