Partie 7

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Toni


« Je te préviens Toni il va falloir que tu te tienne à carreaux, je sais que tu meurs d'envie d'aller l'à voir, mais... »


Les paroles de Jug résonnaient comme un faible bruitage à mes oreilles. Nous traversions le parking devant Riverdale High et déjà je scrutais tout les semblants de rousseur à l'horizon. Le beau brun avait du mal à suivre mon pas pressant qui montait les marches deux à deux. À peine avais-je passé la porte que je tombait nez à nez avec Veronica suivis de près par Betty, toutes les deux semblait étonnées devant ma détermination, mais je voyais dans leurs regards qu'elles n'était pas outrée de me voir. Contrairement à la cinquantaine de lycéen qui arpentait le couloir, en me relu quant l'air dégoutté.


« T...Toni ? » réussit à dire Veronica dans un souffle, je l'a pris par l'épaule et lui chuchota rapidement.


« Écoute Vee je pense que tu n'es pas mon ennemi dans cette histoire, je veux juste savoir ou est Cheryl s'il te plaît ».


Veronica qui ne semblait pas m'accorder une grande confiance essaya de balbutier un semblant de mensonge. Tandis que Jug qui avait entendu mon chuchotement leva les bras au ciel consterné, ces efforts n'ayant servis à rien.

Dans toute cette foule confuse je l'aperçu au loin. Ces long cheveux couleur automne l'a trahissait. Elle était vêtu d'un chemisier bleumarine et d'une jupe noir, ces livres de cours contre sa poitrine. Elle semblait renfermé sur elle-même, faible. Aujourd'hui son beau rouge n'habillait pas ces lèvres. Savoir que j'étais à l'origine de son état me fendis le cœur. Je contournait Veronica et en uninstant, et me retrouvait à quelques pas d'elle. Elle me remarqua. Le temps se ralentit, il n'y avait plus qu'elle, les regards haineux poses sur moi importaient peux. Elle restait figé comme absorbé par ma présence, je commençais à tendre la main pour lui prendre le bras. Mais eu lieu de rencontrer sa peau douce, ma main se heurta aux corps de trois joueurs de football qui s'était interposé inextremis. Je n'aperçus plus ma belle tant leurs corps massifs formaient un mur devant ma petite taille. Je reprenais vite mes esprits.


« Tiens les sbires de Watherbee sont dans la place ! Poussez vous, vous voulez bien ? »


« Je ne crois pas non. Dis moi comment une gamine du Southside à pu seretrouver avec une montre Patek Philipe en platine à presque un demi million d'euro ? ». Me dit un des trois un grands gaillards auquel je n'avais jamais vraiment porté attention.


« tu en sais bien des précisions sur cette montre, peut être que toi tu as déjà pensé à l'a volé ? ». J'avais un regard de défit, sa corpulence ne m'impressionnait pas des moindre.


Il bafouilla, regarda ces deux potes qui était tout aussi choqué de ma réponse. Dans mon élan je renchéri :


« Eh bien la vérité finis tôt au tard par éclore ! ».


Suite à cela je les dévia facilement et je pu apercevoir Cheryl courantau loin, certainement en pleur. Je pris mon élan, mais encore une fois on me barra la route. Grande, taille mannequin, Josie me faisait face. À sa vue je leva les yeux au ciel, déjà ennuyé par sa personne.


« Je t'interdis de t'approcher de mon amie, je le savais depuis le début que cette relation était basé sur un horrible mensonge ! »


« Vraiment Josie ? » .  À se moment précis elle ne savais pas qu'elle allait vraiment regretter de s'être interposé. Je ne pu m'empêcher de sourire. Je sentais en moi l'adrénaline monter, j'allais adorée déballer mon sac, à la personne qui m'avait fait enfermer plus de deux jours en garde à vue.


FateOù les histoires vivent. Découvrez maintenant