Le jeu des meurtres

part:1

Hey!
Avant tout je voulais à l'avance m'excuser des futurs fautes (d'ortographe) que vous allez rencontrer durant votre lecture. Mon correcteur est en vacances. Mais bon, au moins c'est une facons de me reconnaitre ! Quand il y a des fautes, chercher pas, c'est moi!

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J'ouvris la fenêtre de ma chambre et sentit l'air glacial du matin piquer mon visage. Il était 5h30 et déjà plusieurs voitures avançaient paresseusement dans le rue.
Je refermai la fenêtre et regardai, nostalgique, mon lit. J'aurai voulu avec grand plaisir mit glisser pour continuer ma nuit.
J'entrepris de me doucher pour me réveiller. J'allai donc dans la salle de douche et fit escale devant le miroir. J'avais des cheveux lisses et noirs qui m'arrivais au niveau des côtes. Mes yeux, quant à eux, étaient marrons clair et étaient accompagnés par de belles cernes violettes.
Ayant mare de me coucher tôt, j'avais la veille décidé d'échapper à la règle que je m'étais fixé. Une très mauvaise idée quand on savais que le lendemain il fallait se lever tôt.
La raison de ce réveille matinal était que l'université qui m'intéressait était à 2 heures en bus. Et bien sûr, comme à mon habitude, je m'étais inscrit beaucoup trop tard pour avoir une place en étant interne. Je m'étais donc trouvée un des rares studios pas trop chère qu'on peut dire ''pas trop loins'' de mon université .
Après mettre regardé maussadement, je décidai enfin de me doucher.

J'ouvris la grande porte du ré-de-chaussé de mon immeuble et me retrouvai dans la rue. Je tournai à droite et marchai 5 minutes sur le trottoir avant d'atteindre l'arrêt de bus. Une fois arrivé,s je m'assayai sur le banc en métal glacé. Je voulu sortir un livre de mon sac mais stoppai mon geste losqu'une femme s'asseya à côté de moi. Cela faisait 3 mois que je prenais se bus et jamais personne à part moi n'était venu à cette heure-ci attendre le bus. Je haussai les épaules. Après tout elle avait bien le droit. Sur ce, je sortit le livre "À la vie à la mort" de Paule du bouchet et allai à la page que j'avais préalablement cornée. Je me laissai alors plonger dans les méandres des pages.