Lorsque que je descendis enfin du bus, il était 8h30. Je remarquai au coin de l'oeil une autre personne sortir du véhicule. Je me tournais et découvrit la même femme qui avait attendue à l'arrêt de bus avec moi.
"Tient quelle coïncidence"
Je la regardai partir vers la droite puis je m'en allai de mon coté.
L'université ne s'ouvrant qu'à 9h, je décidai d'aller à une cafétéria qui se trouvait juste en face. Après 2 minutes de marche dans la ville j'arrivai devant un bâtiment aux peinture gris-rouge. On grosse lettre marron on pouvait lire "La fève de cacao". J'entrai dans la cafétéria et m'installai à une table. La pièce bruyante était bondée d'étudiants et de travailleurs plus au moins en retard. Certains riaient ou prenaient leur café l'air maussade. D'autre lisaient le journal, captivé par les nouvelles. Et moi, je les regardais. Je regardai la femme qui fumait dehors l'air perdu. Le messieur qui mangeait sont croissant, en n'en rejetant la moitié lorsqu'il s'exclafait. Ou même le petit chien qui essayait malgré le bruit de dormir sous la chaise de ses maîtres. Bref, je rêvassai dans mon coin tranquillement .
D'un coups je sentis des mains glacées se plaquer sur mes yeux. Après un moment d'incompréhension, je compris que je retrouverai la vue que lors que je saurai à qui appartenait ses mains."Tatiana ! M'esclamais-je.
-Mais comment tu a trouvé, se plaigna-t-elle.
-Ce n'est pas compliqué tu es la seule à faire ça."Retrouvant la vue j'aperçue mes deux meilleurs amies prendre des chaises pour s'assoire avec moi. Il était drôle de voir le contraste vestimentaire qu'il y avait entre elle. Kayla portait un pantalon noir avec un tee-shirt bleu sur lequel était écrit "épine vénéneuse " accompagné de plusieurs motifs floraux. Le tout étaient accompagnée par des créoles et des baskets blanches. Tatiana, elle, faisait souvent tourné les regards vers elle. Pas éttonant quand on portait une salopette millitaire avec des boots moutardes à talon!
Mais Kayla avait un atout majeure. Malgré qu'elle affirme être timide, j'avait après 9 ans bien compris que n'importe où elle passait elle se faisait des amies."Salut, dis-je.
-Vous avez compris, vous l'exercice de math? S'inquiéta Tatiana.
-Euh...comme ce n'est pas pour aujourd'hui, je ne les pas encore regardé, dit Kayla.
-Moi non plus, avouais-je.
-Il m'énerve ce prof, je comprends jamais rien avec lui! S'énerva-t-elle.
-Chaque années tu dis ça et chaque années tu regrettes toujours ton ancien prof de math, la taquinais-je.
-Et puis tu sais des fois moi aussi je comprends rien à ce qu'il dit, la rassura Kayla. "On continua à parler de tout et de rien. Entre temps un serveur vint nous voir pour savoir ce qu'on voulait prendre. On pris toutes un chocolat chaud avant de reprendre notre discution.
"Tient, tu n'as pas ton porte clé, remarqua Kayla en regardant mon sac."
Je me retournai vers celui-ci. Effectivement le porte clé que Tatiana m'avait offert il y a un an avait disparue de la zipette de mon sac.
"Je suis sur de l'avoir, lorsque je suis decsendu du bus. Il a du tomber sur le chemin."
Je regardai ma montre: 08:45.
"J'ai le temps, rajoutais-je. Je vais voir jusqu'à l'arrêt de bus. Il doit être par là-bas. Je vous laisse mon sac, dis-je en me levant.
- Tu es sûr que tu veux pas qu'on t'accompagne? demanda kayla.
- Oui sûr.
-J'ai un mauvais pressentiment, avoua Tatiana.
- Comme d'habitude alors, lançais-je en m'éloignant."Je sortis de la cafétéria et regrettai de ne pas avoir pris ma veste lorsqu'un vent glacé effleura ma peau. Je mis alors mes mains dans les poches de mon pantalon et protegeai mon visage grâce à mes cheuveux.
Je me glissai dans la foule qui s'amassai sur le trottoir et, du regard, essayais de repérer mon porte clé. Je bifurquai à droite et repris le même chemin qu'à l'aller. La nouvelle rue que j'avais pris, était déserte ce qui me soulageai. Je n'aimai pas la foule.
Après 2 minutes de marche je vis au loin l'arrêt de bus. Tout espoir de revoir le porte clé s'évapora."C'est ça que tu cherche?"
Je me retournai mais ne vis pas la personne qui avait parlé. Je marchai alors jusqu'à atteindre une ruelle qui débouchait dans la mienne. C'était une impasse où se trouvai la femme qui avait pris le bus avec moi. Celle-ci était accompagné d'un homme. Je vis alors dans les doigts de la femme une objet qui en pendait.
"Mon porte clé ! M'exclamais-je. Oh, merci. J'ai bien cru que je n'allais jamais le trouver."
Je marchai dans la ruelle jusqu'à la femme. Je voulu prendre mon porte clé mais elle leva le bras pour m'en empêcher. Je la regardai surpprise et commençai à regretter d'être venue ici.
"Il faut croire que tu as la poisse, dit la femme calmement."
Je crus au début qu'elle parlai du faite d'avoir éguaré mon porte clé mais je me mis à douter sérieusement lorsqu'elle ajouta:
"Et je ne crois pas que pour toi ça va s'arranger.
- Quoi...pourquoi dite vous..."Je n'eu pas le temps de finir que je vis deux mains venir par derrière, plaquer un chiffon au niveau de ma bouche et mon nez. C'était l'homme. La terreur prenant possétion de mon corps, je me débattue rageusement pendant que la femme me regardait, amusé. J'essayai d'enlever les mains de mon agresseur mais celui-ci me tenait fermement. Je mordais le chiffon emprissonant ma bouche en espérant mordre un doigt, mais rien y fait. En désespoir de cause je voulu donner un coup de pied à la femme mais je ressus seulement la douleur de mon pied se cogner sur le mur lors que la femme s'écarta. Une intense sensation de frustration m'envahit, lorsque je compris que je ne pouvais pas me libérer de cette étrainte malsaine.
"Le produit va bientôt agir, informa la femme"
Après quelques secondes de lutte je sentir alors la fatigue arriver. Je luttai pour rester les yeux ouverts. Mais très vite, je me laissai emporter par une ombre noire qui m'emporta loins de la réalité. Je perdis connaissance.
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Le jeu des meurtres
ActionVous devez sans doute jouer à des jeux, telle que: les jeux de société ,de vidéo, de stratégie ect... Mais connaissez-vous le jeu des meutres? Je suppose que vous avez la chance de répondre non. Malheureusement Dévra n'aura bientôt plus cette aubain...