1. L'Envol de la Liberté.

4.3K 201 85
                                    

Aujourd'hui, nous sommes le quatorze octobre deux milles dix-huit et dans quelques heures, je dois aller apporter un objet de valeur à des gars peu fréquentable, un diamant plus précisément. Ce diamant c'est moi qui l'ai volé durant notre dernière escapade. Braquer des banques, cambrioler des personne riches, voler des objets de valeur dans des musées, tout ça est mon quotidien. Bien sûr, les gens avec qui j'effectue ce genre de choses, se servent de moi à leurs guise pour effectuer le travail le plus difficile. Je suis petit et mince et donc assez passe partout. C'est moi qui dois me faufiler dans les conduits d'aération par exemple. Je dois aussi faire le sale boulot. Tuer les personnes successible de nous repérer. Je suis un voleur et un meurtrier. Je suis bien obliger malheureusement, je n'ai pas le choix. Si je décide de changer d'air, ils me butteront, et ils sont beaucoup trop nombreux pour que je puisse me défende.

C'est bientôt l'heure. Je me prépare pour sortir les rejoindre. Toilette, douche, coup de brosse, habillage, j'enfile mes chaussures, prend une sacoche où se trouve le diamant et me voilà parti. Je dois passer inaperçu, les autorités ne connaissant pas mon visage puisque à chaque fois, j'ai une cagoule. Il est environ 18 heures 30, je dois y être pour 19 heures. Je prend le métro pour m'y rendre, y aller à pied serait possible mais beaucoup trop long, je n'ai pas le temps de traîner. Je hais les transports en commun, c'est dégueulasse, les gens sont chiant. Entre ceux qui hurlent au téléphone, ceux qui ne connaissaient pas le déodorant et encore moins la douche, ceux qui se croient chez eux en foutant leurs putain de pied sur les sièges alors que des gens s'assoient juste après, ceux qui te bousculent sans s'excuser et j'en passe. Sans parler des gosses insupportable qui chialent. Je supporte pas les gens, je ne suis pas sociable du tout, le contact physique, ça me dégoute. J'ai déjà envoyer quelqu'un à l'hosto juste parce qu'il ma bousculer en me regardant de travers. En bref, si je n'étais pas presser je m'en serait fort passé. Je préfère marcher de toute façon. Me voilà à mon arrêt, je descend du train en prenant soin de bien me désinfecter les mains et remonte à la surface. Après 5 minutes de marche, je me trouve au point de rendez-vous, il est 18 heures 59. J'attend mais personne en vue. Ils m'ont oublier ou quoi ces cons ?
Je prend mon téléphone, va dans le répertoire et appelle le bosse du gang.

- J'y suis, tu fous quoi ?
- Je crains de ne pas pouvoir venir, mon chère Levi.
- Qu'est ce que ça veut dire ?
- Vois tu, je te trouvais un peu trop insolent, à te croire au dessus de tout le monde. Ça m'agacer. Oh et puis on a trouver quelqu'un de mieux pour te remplacer. Je t'ai donc réserver une petite surprise.
- Quoi tu te fous de moi ? T'es trop con, t'oublie que j'ai le diamant ?
- Quoi ce caillou ? Il ne m'intéresse plus tu peux le garder. Quoi que... Je ne pense pas qu'ils te le laisseront aha.
- Ils ?!         

Tout à coup, des gyrophares bleu et rouge envahissent mon champ de vision, je me couvre les yeux avec mon bras gauche et me retrouve encercler par des véhicules de police.

- Qu'est ce que t'as fais connard...!?
- Oh je leurs ai simplement dis qu'un des braqueurs, activement rechercher tu le sais autant que moi, était dans les parages et qu'il s'apprêter à faire un autre coup au lieu de notre petit rendez-vous. Et qu'il avait un diamant volé récemment sur lui. T'es fais comme un rat, mon petit Levi.
- Fils de chien j'vais t'crever t'entends !!?
- Oui oui, m'enfin derrière les barreaux tu feras pas grand chose. Tu salueras les autres prisonniers de ma part.~ Adieu Ackerman.
- Connard t'as pas le droit !!

Il raccroche, et moi je me retrouve piéger. Les flics sont déjà sortis de leurs voitures. Armes braquer sur moi, des regards haineux, d'autres munis de microphones...

L'un d'eux prend un mégaphone et cris: On ne bouge plus !! Tu poses la sacoche et à genoux, mains sur la tête !! Je le répéterai pas !!

Je suis piéger, je ne sais pas quoi faire, je tremble comme une feuille, je suis perdu. Je veux m'enfuir, mais si je fais le moindre pas ils me tueront. Je n'ai pas d'autre choix que de leurs obéir. Je m'exécute avant de retiré la sacoche et de la posée devant moi. Dès ce moment là, ils courent tous vers moi, me plaquent au sol en jetant mon téléphone et prennent la sacoche et me mettent les menottes.

- Tu as le droit de garder le silence, toute parole sera retenue contre toi. Alors vaut mieux que tu la fermes.

Un autre flic ramasse la sacoche et l'ouvre en prenant ce qu'il y'a dedans.

- Ouais c'est bien le diamant du musée Maria volé le 12 de ce mois ci !
- Sale petit voleur ! Voleur et meurtrier en plus de ça !
- C'est bien l'un deux c'est sûr. De plus, il correspond parfaitement aux description ! Petit environ dans les 1 mètre 60, mince, brun et jeune.

Il relève ma tête par les cheveux et me regarde d'un air hautain. Je le dévisage d'un regard noir sans prononcer un mot.

- T'iras dans la prison la plus proche !

L'un d'eux l'interrompt.

- Non, non. La prison Shiganshina.
- La prison Shiganshina vous dites...?! Mais chef...
- Des criminelles comme lui méritent que ça. Après ce sera au juge de décider mais c'est garantis qu'il ira là bas.

Cette prison là ? Non... C'est la pire prison qui soit.

Ils m'ont emmener avec eux, j'ai passé la nuit dans une cellule pour être juger le lendemain et voilà ma sentence, condamné à perpétuité. Je vais finir ma putain de vie en prison.
Tôt le matin, ils m'embarquent dans une voiture pour me transférer là bas, dans cette fameuse prison. J'en ai entendu parler, j'ai vu des reportages dessus, c'est l'enfer. Ce fils de chien va me le payer.
Les heures passent, je suis toujours en route. Cheveux devant les yeux, je me colle à la vitre pour y admirer le paysage, c'est sans doute la dernière fois que j'en vois. Le soleil vient de se lever et les rayons viennent caresser mon visage ce qui me fait plisser les yeux. J'envie tellement les oiseaux, car ils sont libre. Mais en fin de compte, c'est quoi la liberté ? Je n'ai jamais été réellement libre...
Je veux pas aller là bas, je préférerai mille fois la mort plutôt que de m'y rendre.
Je ne tiens plus et tombe de sommeil, la voiture me berce et je m'endors aussitôt.
Plus tard, un flic me réveille en me foutant une tape sur la tête, ce qui a le don de m'énerver. Il me tire par le bras pour me faire descendre du véhicule. Nous sommes au bord de la mer, mais c'est totalement désert, seul un pont avec un bateau au bout y sont. C'est la première fois de ma vie que je vois la mer, mais jamais je n'aurai imaginer que ce serait dans de tels circonstances. C'est si beau, l'eau est à perte de vue, on y voit le reflet du soleil. Je sent l'air salé souffler sur mon visage et balayé mes cheveux ébènes, c'est tellement agréable. Je n'ai pas le temps de profiter de ce plaisir qu'ils me conduisent jusqu'au bateau. Et oui, la prison se situe sur une île, tentative d'évasion impossible. Une fois tout le monde installer à bord, le bateau quitte la rive et nous voilà en pleine mer. Je regarde la terre s'éloigner petit à petit avant de me retourner et de regarder droit devant moi, la prison est à quelques kilomètres d'après ce que les flics m'ont dit. Quelques minutes se sont écoulés et je la vois enfin, la prison Shiganshina. C'est vraiment immense, elle fait l'intégralité de l'île, tout le tour est encercler par de long grillages barbelées ainsi qu'un long mur juste derrière. Au moins six tours de surveillance sont présentent aussi. Ouais, c'est vraiment la merde. Le bateau accoste et ils me font descendre violemment pour ensuite m'emmener dans la prison. Un agent de la police prend son microphone et donne des informations à un de ses collèges pour ouvrir la grande porte principal suivis d'une alarme. Ça y'est, je suis dans l'enceinte de ces grands murs, la prison Shiganshina.

_____________________

Hey, bienvenu sur ma nouvelle fan fiction Ereri ! Je me lance dans un domaine un peu inconnue pour moi, c'est une prison sortie tout droit de mon imagination, il se passera des choses qui ne sont sans doute pas possible ou logique dans la vrai vie.

J'espère vraiment que ce premier chapitre vous plaira, n'hésitez pas à me faire part de votre avis et si vous n'avez pas lu ma fan fiction « I'm Sorry Levi » je vous invite à la lire, c'est ma toute première fan fiction ereri qui est terminée au passage ! Mais coeurs sensible, s'abstenir.

On se retrouve bientôt pour la suite ou dans les commentaires.~

Enclosed by four walls [Ereri]Où les histoires vivent. Découvrez maintenant