Jumeaux Assassins

l'arrivé en classe E

Aujourd'hui allait être mon premier jour en 3E. Le collège Kunugigaoka était organisé en un système de classement. Les plus intelligents se trouvaient en classe A. Ensuite venait la classe B et ainsi de suite, jusqu'à la classe E. La classe des cancres. Une classe constituée d'idiots et de brutes. Mais il ne fallait pas s'y tromper. Ces élèves cachaient un secret. Un secret dont je n'étais pas censé être au courant. J'ai fait croire au directeur que j'avais suivie Karma et ses amis, et que j'avais decouvert de cette manière l'existence de Koro-sensei. Et c'était à cause de ça que mon frère s'est retrouvé à demander au principal de me laisser rejoindre la classe E. Car je poyvais être un atout. Bien évidemment, tout ça etait faux. Tout avait été orchestré et planifié des jours à l'avance. Par ma famille et nos employeurs. Je m'avançais dans la colline qui menait en bâtiment des 3E. Un préfabriqué délabré. Je soupirais intérieurement puis je m'avançais à l'intérieur. Un homme vint m'accueillir. Il était sur le point de se présenter et de m'expliquer toute l'histoire mais je le coupais, affirmant que j'étais déjà au courant. Il me tendit mes armes et me dirigea vers la salle de classe. Il entra et se plaça devant Koro-sensei.

Karasuma- aujourd'hui nous accueillons une nouvelle élève. Faites en sorte qu'elle s'intègre. Sur ce, je vous laisse.

J'inspirais calmement et mis mon masque en place. Ils n'allaient y voire que du feu.

Aisu- bonjour, je m'appelle Aisu et je suis ravie de vous rencontrer.

Mes paroles etaient fluides et mon sourire-en-coin ne pouvait que leur faire croire à une gentille fille. Koro-sensei demanda si on avait des questions à me poser et une jeune fille blonde, que j'identifié comme étant Nakamura Rio, leva la main

Nakamura- c'est quoi ton nom ?

Sa question m'etonnait quelque peu. J'étais pourtant persuadée que Karma avait déjà parlé de moi à ses camarades. Il était censé en faire ses amis mais il leur caché l'existence de sa cadette. Certe, cadette de quelques heures, mais quand même.

Aisu-  mon nom de famille est Akabane. Je suis la jumelle de Karma. D'ailleurs, je suis étonnée de savoir qu'il ne vous a pas parlé de moi.

La classe etait devenue silencieuse et Koro-sensei m'indiqua la place à côté de Karma.Je me dirigeais vers elle en faisant semblant d'être heureuse d'être dans cette classe. Une fois assise, je fis signe à Karma de rester un peu après la sonnerie. Il ocha la tête et je me concentrais sur le cours. Entre temps, mon frère s'était assoupi, et vu ke peu de réaction de la part des professeurs, il devait faire ça assez souvent. Quand la sonnerie annonça la fin du cours, des personnes vinrent à ma table pour me poser dest questions. J'aurais du anticiper. J'étais nouvelle, après tout.

Nakamura-  pourquoi t'étais pas là dès le début d'année ?

Aisu- et bien, j'avais plusieurs choses à faire qui étaient assez importantes pour que je ne viennent pas en cours.

Kayano- quels etaient ces choses importantes ?

Aisu- c'est que en fait, c'est privé... Ne le prend pas mal !

Je m'efforçais de garder mon calme face aux questions plus qu'undiscrète et d'y répondre. Quand se fut fini, je jettais un coup d'œil à mon frère et je le vis en pleine conversation avec une fille à lunettes. Okuda Manami. Très forte en chimie mais faible dans les autres matières. Je repassais dans ma tête kes information que j'avais obtenu à son sujet. Elle ne sera d'aucune utilité au plan. Ne perd pas ton temps avec elle, Karma. Je l'interpelais calmement afin que nous puissions aller discuter seul à seul.

Aisu- Karma ? Je peut te parler, s'il te plaît ?

Karma- ok.

Je lui pris la main en ne regardant même pas la jeune fille et nous allâme dans la forêt.

Aisu- pourquoi lui parlais-tu ? Elle ne nous seras d'aucune utilité.

Karma- dois-je te rappeler que je dois faire ami ami avec eux ?

Aisu- je ne l'aime pas.

Karma- ne soit pas jalouse.

Aisu- je ne suis pas jalouse. Je me préocupe juste de ton bien-être. Et cette fille m'a tout l'air d'etre un pot de colle.

Karma- ne t'en fait. Dès que le travail sera terminé, je ne reverrais plus aucun d'eux.

Aisu- je ne t'ai pas dit ça. Karma... Nous avons toujours fait du bon travail. Il vont peut-être nous laisser du temps libre, après. Si tu pouvais te faire des amis, des vrais amis, tu serais plus heureux. Et tu sais que ton bonheur est la chose qui m'importe le plus au monde.

Pour seule réponse, il m'ouvrit ses bras et je me blottissa contre lui. Personne ne pourra jamais nous séparer. Je me l'étais promis.

Karma- on a reçu quelque chose ce matin...

Aisu- c'est...

Karma- * la coupe * oui. Au plus tard la semaine prochaine. Je te donnerai plus de détail ce soir.

Aisu- d'accord.