chapitre 1« C'est vrai à quoi bon se presser pour au final se mettre à stresser

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Mon réveil sonna je me décidais alors à ouvrir les yeux difficilement malgré moi et je fixais le réveil et remarquais qu’il était déjà super tard. On était en septembre ce qui signifiait : la rentrée. L’université commence à 8h25 et là il est 7h35 oui je sais, vous allez me prendre pour une folle vous allez vous dire il n'est pas du tout tard et beh si je dois me préparer et tout le monde dans mon entourage sait que je prends mon temps quand il s’agit de me préparer.
C’est vrai à quoi bon se presser pour au final se mettre à stresser ? Je me décide enfin après plusieurs minutes à me lever de mon lit parce qu’à force de penser à tout et n’importe quoi je n’avais pas bouger d’un pouce.  Je prends ma douche m'habille prends mon sac, ensuite je descends dans la cuisine pour dire au revoir à ma mère.
-Bonjour Maman lui dis-je en prenant un bout de pain sur la table, au revoir maman lui dis-je en prenant le chemin de la sortie.

-Dépêche-toi tu es en retard me dit-elle.

-Oui je sais merci du rappel en fait maman elles sont toutes parties ? lui demandais-je en parlant de mes sœurs.

-Et oui ma chérie tu es tout le temps la dernière !

-Ce n'est pas vrai des fois c'est moi la première lui répondis-je en lui tirant la langue

-Allez allez dépêche-toi !

Je venais à peine de sortir de la maison que j’y rentrer à nouveau pour demander quelque chose à ma mère :

-Dis moi maman je peux prendre ton vélo juste pour cette fois ?

-Oui tu peux mais fais gaffe à toi sur la route.

-Ok merci beaucoup maman.

J’ai pris le vélo de ma mère parce que je suis grave en retard il était 8h10 j'ai 15 minutes pour arriver à temps, j’avais vraiment traîner au lit ! Pour aller à l'université à pieds c’est au moins 25 minutes mais si on marche comme une tortue c’est un peu plus… Oh non la roue du vélo est crevée il manquait plus que ça ! Ce n’est vraiment pas mon jour de chance je dois courir je commençais à marcher un peu quand une voiture s’arrête, je reconnais l’homme à l’intérieur et je suis intérieurement soulagée. Peut être que j’ai finalement un peu de chance.

- Tonton Anoir ! Comment vas-tu ?

-Bien et toi ? Je viens juste de déposer les filles à leur lycée.

-Ça va aussi. C’est un miracle que tu sois là !

-Laisse moi deviner : tu es en retard ? Vas-y monte je te dépose.

-Merci beaucoup, tu me sauves la vie !

-Ce n’est pas la première fois.

Je monte dans la voiture et je me place devant , la voiture était noire elle était super méga
magnifique.

-Tu es toujours en retard tu n’as pas changé me dit-il en se moquant.

-Tout ça c'est à cause de Aifas.

-Vraiment ?

-Elle m'a oublié ! Moi qui lui ai demandé de me réveiller… Maintenant je suis super en retard
heureusement que tu es là.

-C'est bon on est arrivé me dit-il.

-Encore merci tonton grâce à toi je suis arrivée à l’heure.

Je descends de la voiture et tout le monde m’observe c'est normal attendez je sors d'une superbe bagnole.

-Encore merci tonton je lui fait signe de la main genre bye bye.

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