Chapitre 5

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J'avais quitter la supérette après avoir dit au revoir à Aiko, je terminé avant elle. J'étais devant chez moi, je fouiller mon sac et mes poches à la recherche de mes clefs de maison.

- * Mince, j'ai du les laisser à la supérette, normalement se soir Aiko fait des heures supplémentaires, j'espère qu'elle les fera. *

Je me remets à marcher dans l'autre sens, arrivé devant la supérette, je lâche mon sac tellement que je suis surpris. La supérette est en feu. Je fonce dedans sans réfléchir aux conséquences.

- Aiko!! Repond moi!! Aiko!!!!

Je cherchais Aiko désespérément, puis je fus arrêté dans ma course par une poutre qui était au plafond, elle m'ecrasa le bras.

- Putain! C'est chaud!!

Je continuais de chercher Aiko du regarde et le feu se propager de plus en plus. Je remarqua une ombre noir au milieu, elle semblait dirigée le feu. J'essaya de me dégager mais je tomba vite dans les pommes, je me réveilla quand un des pompiers me mit un masque à oxygène sur le nez et la bouche.

- Ça va aller mon garçon, comment tu t'appelle?

- M....Mahiru...S...Shino...t..trouver Aiko...I..shii...s'il vous plaît..c...c'est ma co.... collègue...

Je m'evanouit. Quand j'ai réouvert les yeux, j'étais dans un hôpital, avec des policiers en face de moi.

- Bonjour Mahiru.

- Bonjour.

- Je suis l'inspecteur Shelter et voici le policier Anderson.

- Enchanté.

- Ont voudrai te poser des questions sur l'incendie. Pourquoi était tu la bas?

- J'étais revenu chercher les clefs de ma maison, je les avais oublié dans l'arrière boutique. Quand je suis arrivé là bas, elle était en feu.

- Et le feu, il venait de commencer ? Ou il était plus grand?

- Je pense qu'il venait de commencer, mais il avait déjà pris une grande partie du magasin entre ses griffes.

- D'accord, pourquoi tu étais dedans, tu n'aurais pas risquer ta vie pour des clefs quand même ?

- Non bien sûr que non! Ma collègue, étai en service de nuit elle devait arrêté de travailler à 23h, et vu qu'elle fait souvent des heures supplémentaires, je me suis dit qu'elle devait y être encore.

- Donc tu es aller l'aider.

- Oui, mais ditent moi, les pompiers ont trouver une trace d'elle?

- Non.

Je souffle de soulagement. Cela voulais probablement dire qu'elle n'avait pas fait ses heures supplémentaires.

- Il faut que tu nous disent se qui aurait pu déclancher le feu.

- Honnêtement, je n'en sais rien. J'ai juste vue une silhouette noir, et elle semblait dirigée le feu. Mais c'est tout.

- Ok, décrit nous Aiko s'il te plaît.

- Elle es plus petite que moi, 1m62/63, elle a les cheveux brun qui lui arrive au début du dos, des yeux noisette, mais un des ses yeux est plus clair que l'autre, c'est l'oeil droit qui est plus clair, elle a un visage plutôt rond. Son nez est petit en trompette, et au millieu du nez elle a une bosse, qu'elle a hérité de sa mère.

- Depuis combien de temps travaillez vous ensemble ?

- Elle était déjà là quand je suis arrivé, je pense 2/3. Elle n'a que 17 ans, mais monsieur Aoi la prise très tôt, car elle avait dit qu'elle avait besoin d'argent.

- Pourquoi a t'elle commençais aussi tôt?

- Elle ne m'a rien dit à propos de ça.

- Elle a une famille à qui on pourra rendre visite ?

- Elle n'a que sa mère, je sais pas vraiment ou elle habite, mais je sais qu'Aiko mettait 15 minutes à pieds pour arriver de chez elle à la supérette, ou de la supérette à chez elle.

- Comment s'appelle sa mère?

J'allais répondre quand la porte s'ouvrit à la volée, c'était Aiko, elle se dirigea vers moi en courant et elle se jetta littéralement dans mes bras en pleurant, elle était la et elle n'avait rien, je lui rendit donc son étreinte.

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