Quelle partie de la vie de Dako, le Dako le plus Dako de tous les Dakos pourrais-je vous raconter maintenant ?
L'enfance.
Les Dako sont cons. Dakon est le plus cons des Dako. Mais notre Dako à nous à la particularité d'être en-dessous de la moyenne. Il ne réussissait pas les tests -le modèle scolaire n'était pas adapté à lui-. Au début, cela ne lui posait pas de problème avec ses camarades, jusqu'au jour où il eu un professeur assez malhonnête.
- Bonjour à tous, Dako et Dako, je serai dorénavant votre nouveau prof cette année, mais ne serai pas votre ami. Je demande régulièrement les devoirs à temps sous peine d'être sanctionné.
Dako, le Dako le plus Dako de tous les Dako, arrivait, malgré la sévérité apparente du prof, à toujours conserver son rythme de vie habituel, jusqu'au premier examen. A ce moment là, le professeur convoqua les parents de Dako, Mr.et Mme. Dak, et le ridiculisa devant ses derniers. Ce ne fut pas tout pour Dako. Au milieu de l'année s'opérait une festivité, un événement littéraire où chaque élève devait écrire pour sa classe une satyre de la société, à la manière des auteurs du subspatiale, à la fin de l'ère spatiale, avec la Dakonquete. Dako, abusé, n'avais pas vraiment envie d'écrire pour tomber une nouvelle fois sur une mauvaise note et les réprimandes exagérés de son professeur qui tombait avec, -comme sur chaque élève d'ailleurs-. Dako eu donc l'idée d'écrire une satyre de son professeur, pour qu'il puisse comprendre ce qu'il fait de travers.
Les jours passant après que Dako ai rendu son travail, le professeur se montra de plus en plus désagréable. Lorsqu'il rendit les copie, Dako reçu la pire note de sa vie, un résultat nul.
- Dako, tu te contentera, comme d'habitude, d'un zéro, dit le prof accompagné des rires de ses étudiants.
- Mais monsieur, comment est-ce-possible ? J'ai tout de même écris certaines choses interessante.
- Voyons ça, dit le professeur en tendant sa copie à Dako.
- Mais, monsieur, ce n'est pas ma copie, répondit Dako, étant persuadé d'avoir vu le prof esquisser un sourire maladroit.
- Comme ça, Dako, on ne reconnait plus son oeuvre - si on peut appeler cela comme ça-. Tu fais honte à l'ère spatiale, comme Dakon, c'est peut-être comme cela que l'on devrait t'appeler.
Dako pensa que cela allait s'arrêter ainsi. Mais plus tard, voyant les personnes le fuyant, même ses plus proches amis, il commença à se sentir Dakon. Il finit son cursus seul, plus personne ne lui parlait. Même les professeurs des années suivante ne lui adressèrent plus la parole. Il était marqué à vie -enfin le pensait-il-, car son dernier prof fut pour lui le meilleur ami qu'il attendait. - Que veux-tu faire plus tard, Dako ?
- Je sais pas, je veux être apprécié pour ce que je fais et que personne ne se sente comme moi ce moment.
- Tu sais, Dako, tu peux partir, recommencer ta vie à zéro l'an prochain.
- Je perdrais de vue tous mes amis, s'exclama Dako.
- Quel ami ? Dako ne put répondre.
- Ceux qui t'appellent Dakon ? Qui s'amuse ainsi ? N'y a-t-il pas de meilleurs moyen de s'amuser ?
- Si ... je veux faire ça ! Je veux faire s'amuser les gens, je veux être ... Animateur. C'est ainsi que je conclus cette partie de la vie de Dako. Vous savez maintenant ce qui l'a poussé à être Animateur et rencontrer l'amour de sa vie, Dakine. Puis qui l'a amener à se perdre sur Engouement.