Ace x Tora(oc) - La fille de...

Chapitre 5 : Torture

Flash Back 2

???: « Qu'allais-tu faire ? »
Tora : ...
???: « Réponds. Tu comptais t'enfuir, c'est ça shulolololo ?»
Tora : ...
???: « Par où ? Tu ne connais pas le labo et il n'y a pas d'issue de sortie shulolololo ! Et puis, tu n'as toujours pas fini ton traitement shulolololo... Tu es malade et j'ai besoin de toi pour trouver l'antidote shulolololo... »
Tora : ...
??? : « Tu ne réponds toujours pas ? Sache que c'est un grand honneur pour toi de servir le grand Caesar Clown dans ses expériences shulolololo ! »
Tora : ...
C. C (César Clown) : « Très bien, comme récompense une punition ça te va ? »
Tora : ...
C. C : « Temps écoulé ! Tu n'as plus le choix shulolololo !!! »

Il prit une seringue et la planta dans le cou de Tora. Celle-ci n'eut même pas le temps de crier, qu'elle tomba et fut prise de convulsions. Elle avait été droguée. Il l'emmena alors dans une pièce vide. On pouvait y voir des murs colorés avec des motifs hypnotisant et hallucinatoires. Il la tortura ensuite avec ses expériences.
Elle fut maltraitée ainsi pendant un an entier. Elle fit entre temps la connaissance d'enfant cobayes comme elle. Sauf qu'elle était différente. Les autres devenaient des êtres difformes et géants, et mouraient quelques jours après, tandis qu'elle grandissait normalement, mais était vide. Elle n'avait plus d'âme. C'était une coquille vide qui ne ressentait même plus la douleur.

Un jour, César vient la chercher, mais ne l'emmena pas dans la pièce habituelle. Il la prit par son collier, la sortie de sa cellule et la traîna dans une pièce ressemblant fort à une salle de torture. Il y avait des tables et des étagères remplient d'outils rouillés par le sang de leur ancienne victime, des machines d'écartèlement et bien d'autres. Il l'attacha à un poteau en bois planté au centre de la pièce et il attendit. On entendit alors un grand fracas et quelqu'un défonça la porte avec sa jambe. Il entra et il la dévisagea. Il portait des lunettes de soleil dont les verres violets avaient la forme de têtes de flamants roses inversées. Il avait une chemise blanche à rayures rouges, une ceinture verte, et un pantalon orange avec des bandes blanches. Il portait aussi des chaussures noires à talons hauts ce qui lui donnait une démarche dégingandée. Ses cheveux étaient blonds et courts. Son trait physique le plus évident et le plus remarquable était ce grand manteau de plumes roses qui lui donnait une apparence plus robuste qu'il ne l'était vraiment. Il était cependant très grand, 305 cm et tirait très souvent la langue ou gardait les dents serrées. Il partit ensuite avec César hors de la pièce. Quelques minutes plus tard, l'homme revient, seul. Il sortit un coffre en bois de la poche de son manteau et prit un fruit. Il avait une apparence étrange : il avait une forme de pêche, orange, avec des rayures noires.

L'homme lui prit le menton et la força à ouvrir la bouche. La jeune fille avala le fruit. Elle eut un goût de sang amer et sucré en même temps. Soudainement, elle sentit qu'elle s'affaiblissait et entra en transe. « Tu vaudras plus cher » disait-il. Depuis ce jour, elle avait mal. Elle avait l'impressionque son cœur se serrait, que ses poumons éclataient. Le pouvoir en elle était trop grand à supporter pour ses frêles épaules. L'homme détacha les chaînes et traîna la jeune fille jusqu'à son navire. 

La petite fille de 8 ans fut enfermée dans la cale du navire pendant deux jours, jusqu'à ce qu'on vienne la chercher. Ils avaient débarqué sur une île, Marie Joie. L'homme se nommant Doflamingo la traîna dans les rues de la ville jusqu'à un grand manoir. Il passa la porte où était fièrement inscrit le blason d'une famille noble. Un vielle homme grincheux avec une bulle sur la tête, une coiffure qui laisse à désirer et une combinaison blanche les attendait. Les deux hommes parlèrent puis le plus vieux sortit une bourse de sa poche et la donna au plus jeune. Elle venait d'être vendue à un Dragon céleste. Pour quelle raison ? Elle n'en savait rien. Ce qu'elle savait, c'était qu'elle allait passer sa vie à être traitée comme une esclave. Enfin, c'est ce qu'elle pensait. L'homme lui enleva son haut, prit un fer brûlant, le plaça sur l'omoplate, et lui marqua à vie la peau.