Chapitre ~ 15

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PoV~ Dust

C'était presque l'heure du souper, même si on ne peut pas voir l'heure, lorsqu'on a reçus la réponse du transfert de cellule. Tout le monde s'emmerdait ferme et on ne faisait que ça, espérer. Espérer que la demande soit accepter pour pouvoir finir l'étape #1 du plan. Geno et Cross était ravis, mais pas Reaper. Il fit son possessif et refusa. Nightmare fit semblant également d'être en colère de devoir se séparer de Cross. Mouais "semblant" Il n'avait pas vraiment l'air heureux, même si c'était pour une bonne cause. En ce moment, on mange tranquillement. C'est pas mal silence comme ce matin. Bien sur, les folles sont un peu plus bruyantes, mais pas comme les fois précédentes. Je touche à peine à ma nourriture, n'ayant pas très faim. Je me sens étrangement triste. Non, pas triste... Juste... On va appeler ça de la fatigue. Horror semble m'ignorer depuis ce matin. Enfin, depuis l'incident avec le couteau cacher dans l'éclaire au chocolat. Bien sur, il doit avoir la bouche qui lui fait mal, ou un truc débile dans ce genre et je fais ma Drama Queen. C'est que je me suis dis au départ... Sauf que LÀ il parle avec Killer qui est à ses côtés. Je commence à comprendre ce que ressent Cross lorsque cet enculé parle avec la personne qu'on... Euuh... APPRÉCIE! J'ai beaucoup penser à ça et j'en suis venu au résultat que j'apprécie Horror. J'aime bien sa présence et le sentiment n'est pas désagréable lorsque nous sommes ensemble. Je me sens tout débile de penser à lui tout le temps. Il hante mes pensées comme un fantôme qui hante son lieux de mort. Je soupire et je continue de jouer dans ma bouffe. Je lance des regard par-ci par-là à Horror, dans l'espoir qu'il reporte son attention vers moi. Je peux sonner égoïste, mais je déteste lorsqu'il ne me prête aucune attention. Encore une fois, j'ai découvert ça très récemment, à l'instant même en fait. Je regarde la petite horloge dans le fond de la pièce et je suis la "trotteuse" des yeux. Je veux juste que le souper passe plus rapidement! Au moins, dans la cellule, j'ai des moyens subtiles pour qu'il s'intéresse de nouveau à moi. J'ai un autre atout, mais... Je ne vais pas l'utilisé souvent... Je ne veux pas finir comme Lust.

Je repousse mon plat intouché et je croise les bras sur la table pour pouvoir poser ma tête dessus. Je sens un mouvement à ma gauche, Nightmare. Il s'approche de moi, poke mon épaule, mais je ne réagit pas.

"Horror... Ton petit-copain est triiiiiiste"

Je ne bouge toujours pas. Attendant sa réaction. Bien sur, je suis en colère après Nightmare pour avoir dit que je suis le petit-copain d'Horror, mais lui... Comment il va réagir? Je me sens aussi pathétique que le psy en ce moment... Si c'est ça qu'il ressent lorsqu'il nous épie à travers les caméras, alors là, il est sombrer dans un profond et très grand trou.

"Dusty, mon chou~ Qu'est ce qu'il y a?"

QUOI?! COMMENT IL M'A APPELER! Je redresse la tête vivement et lui lance une menace de mort silencieuse.

"Naaah, tu vois? Il est juste fatigué. Il va super bien mon petit Dusty~"

Il fait exprès ou quoi?! Il doit avoir remarquer mon expression faciale, car il arrête de sourire. En moins de temps qu'il n'en faut à Lust pour dire sexe, je lui saute dessus. Les mains sur sa gorge, les dents serrer, le regard en flamme. Il tente de me repousser mais je garde une bonne emprise sur lui et j'ai eu la brillante idée de lui maintenir les bras près de son corps avec mes jambes pour pas qu'il me repousse. Il gigote et je peux voir sa pupille tressauté à cause du manque d'air. Il réussie tout de même à bouger légèrement les bras. Je le sens pousser sur mes jambes, changer de prise, pousser et le cycle recommence. Je le voit fermer les yeux et je m'attendais vraiment pas à ça. Dans un couinement, je me retire de sur lui et je recule le plus possible. Il s'assoit et reprend son air goulûment. Sa poitrine monte et descend sur un rythme rapide et il me regarde dans les yeux. Je baisse le regard, rougissant tellement que je dois ressembler à une grappe de raisin. Je glisse ma main vers l'endroit où Horror à toucher et je me relève. J'enlève la poussière de sur moi et je vais à ma place sans dire un mot trop perturbé. Je sens encore le regard pesant d'Horror sur ma personne et ça fait augmenter le petit je ne sais quoi, que je ressens dans ma poitrine.

L'amour en cage (HorrorDust)Où les histoires vivent. Découvrez maintenant