L'amour en cage (HorrorDust)

Chapitre ~ 9

PoV Dust

C'est partie pour une autre rencontre avec le psy. Génial. Il doit avoir rencontrer Horror tout à l'heure. Je me demande ce qu'il a bien pu lui dire... Ou lui faire. Ça je ne le  permettrais pas. PERSONNE touche à Horror sans ma permission! Inspire... Expire... C'est quoi ces pensées? J'avais dis quoi? Plus de pensée étrange envers Horror. Ouais mais c'est pas des pensées étranges parce que tu ne veux pas que quelqu'un tue Horror, tu veux que se soit toi qui le tue! Oui exactement. Tss. J'en viens même jusqu'à parler tout seul pour cet imbécile. Pathétique. On passe devant des prisonnier, comme chaque fois, je les ignore. À quoi bon leur démontrer de l'importance? On continue notre chemin jusqu'à ce que j'entend des bruits comme des soupire et un son de baiser. Je tourne la tête vers la cellule et je vois deux prisonnier s'embrasser et se coller. J'en entend même un dire: Je t'aime. Puis l'autre le plaque sur le lit et commence à promener ses mains sur le corps de l'autre. On me pousse un peu pour que je continue d'avancer. Je dois m'avoir arrêter sans m'en rendre compte.  Bizarrement, ce genre de scène vient diriger mes penser vers un certain squelette à l'œil rouge et au bout de crane manquant. Je secoue discrètement la tête et je continue ma marche. Nous arrivons au bureau du psy. Comme à chaque rencontre, ils m'attachent sur la chaise tendis que le psy n'est pas encore arriver. Lorsque les officiers s'en vont, c'est au tour de l'enculer d'arriver.

"Alors M.Dust, bien dormis?"

"Pas pire."

"C'est sur que dans le torse de M.Horror c'est très difficile de ne pas bien dormir."

J'arrive pas à y croire! Il à tout vu! Il doit en avoir parler à Horror! Je suis tellement dans la merde quand je vais revenir!

"Vous l'appréciez votre compagnon?"

"Pas du tout. Donnez moi une arme et je le tue sur le champs."

"Pourtant, avec vos anciens 'colloc' vous les avez tuer sans l'aide d'outils. Un draps, vos main, les barreaux, vous avez le choix. Alors pourquoi ne pas le faire?"

Il tente de m'embrouiller, le petit criss. Je vais lui montrer, comme à chaque fois, qu'il ne peut pas me jouer dans la tête.

"Non, c'est vrai. Mais je me suis déjà battue avec. Plusieurs fois. Si vous me suivez sur les caméra, comme vous le faites si bien, vous avez pu remarquer que 'M.Horror' est très fort. Il sait bien se battre et ne manque pas l'opportunité de se faire frapper pour pouvoir mieux répliquer."

J'aime ses moments lorsqu'il pense avoir tout compris sur moi, avoir compris comment je fonctionne, puis qu'il réalise que ce n'est pas le cas. Stupide psy.

"Bien... C'est... euh... ce que je croyais aussi."

"Hahaha, c'est ça, c'est ça."

"Parlez moi un peu de vous M.Dust"

"Comme chaque fois, je vais vous dire, non."

"Nous connaissons vos principaux caractères, votre age, votre ville, une partie de votre histoire, mais pourquoi ne pas nous en dire plus?"

"Parce que vous êtes un enfoirer et je vous direz rien. Pourquoi devez-vous tout connaitre de moi? ET ne me dîtes pas que c'est pour mieux me remettre sur le 'droit chemin du civile' vous avez l'air d'un abrutis lorsque vous dîtes ça."

Il est malaisé, je le vois. Il se mord la lèvres, il joue avec son crayon et serre un peu plus sa chemise beige dégelasse. À croire qu'il n'a que cette chemise ou qu'il en a acheté plusieurs de la même couleur. C'est vraiment pathétique dans les deux cas. 

"Mais c'est la seule raison. C'est mon travail de vous remettre sur la bonne voie avant votre réintégration à la société"

"Vous savez très bien que c'est faux. Que je ne changerais pas, que je ne sortirais jamais d'ici"