S.W.A.T

CHAPITRE TREIZE

Nous avons deux entrées possibles. Mais d'après Caro l'entrée Sud est la plus facile d'accès et la plus discrète, nous suivons donc comme toujours les conseils de ma femme qui sont toujours très avisés.

-J'ai réussi à avoir les vidéos surveillance du magasin. deux sur trois sont armés. Petit calibre de ce que je peux voir, mais il y a peut être des armes cachés ailleurs, je ne suis sûr de rien, désolée les gars.

-Ok, les gars. On y va. Pas de somation, on leur fait une surprise, on tire dans les jambes et on laisse les fédéraux gérer le reste.

La chorégraphie prend donc forme et en 1 min, la vitrine tombe en miette, trois coups de feu retentissent et les trois voleurs se tordent de douleurs à terre, pendant que les otages courent en hurlant vers la sortie. Mais du coin de l'oeil je vois, un inconscient reprends une arme et vise un de mes gars. Son bras n'a pas le temps de finir son parcours que je lui tire une balle dans le bras le désarmant pour de bon.

-On rentre les mecs. Fin de mission Caro, à tout de suite.

4 mois plus tard...

Rien n'a vraiment changé, à part Caro, nous sommes toujours très vigilants même si nous n'avons plus de nouvelles de Stacy, mais plus nous approchons du terme et plus je me dis qu'elle va essayer d'atteindre ma fille. Il faut vite la retrouver.

-Je n'en peux plus. Je suis énorme.

-Tu es splendide, ma puce.

-Mais bien sur fou toi de moi.

-Jamais, viens t'allonger sur le lit je vais te faire un massage.

Elle se met sur dos, elle ne porte qu'une serviette que je m'empresse de lui retirer. Elle frissonne. Elle est encore plus sensible depuis qu'elle est enceinte et j'adore ça.

Je lui masse les seins, elle gémit déjà. Je ne peux résister à lui lécher ses adorables tétons. Sa poitrine a doublé de volume, nos jeux érotiques non plus eux beaucoup de limites, Caro étant très demandeuse pendant sa grossesse. Je crois que je veux beaucoup d'enfants.

-Tu aime ma langue sur tes tétons dures? Oui, tu aime et ma langue aussi les aiment. Mais tu sais qui les aime encore plus? Ma queue. Je vais baiser tes seins avec ma queue.

Je glisse donc entre ses seins et fait des vas et vients. Elle sort sa langue et me lèche a chaque passage.

-Hum, trop bon.

-A mon tour chéri, je n'en peux plus. Lèche moi.

-Oh ma coquine veut que je lui lèche sa petite chatte?

Je me retrouve face a son sexe parfaitement épiler et la dévore comme mon plat favori, ce qu'elle est en faite. Je sens qu'elle ne va pas durer longtemps. Sa respiration s'accélère, son corps tremble...

-oh oui, c'est bon, je jouis...

Je ne lui laisse pas le temps de s'en remettre que je la pénètre d'un coup sec, et la pilonne le plus fort possible, et comme je m'y attendais, elle jouit une deuxième fois, et je la suis.

-Oh putain, que tu es bonne!!

Allongés l'un contre l'autre nous retrouvons notre souffle tout doucement.

-Promets moi que ça sera toujours aussi bon toi et moi!

-Promis ma puce. Je vais chercher une serviette, je reviens.

-Ryan, je crois qu'il est temps d'aller à la maternité. Aïe.

-Quoi? Mais non, je ne suis pas prêt. Et où est ta valise?

-Calme toi, la valise est dans l'entrée, je vais aller prendre une douche et on y va, ça va aller, ne t'inquiète pas.

Mon dieu, notre bébé va arriver et je ne suis pas prêt, je ne sais pas comment faire. Déjà il faut que je respire, oui ça c'est bien. J'attends Caroline dans l'entrée valise à la main.

Elle a de plus en plus de contractions et elle respire façon petit chien, enfin c'est ce qu'ils disent au cours de préparation à l'accouchement.

Arrivés à l'hôpital nous sommes pris en charge par les sages sages qui nous installent en salle d'accouchement.

-Très bien, Caroline, le col est dilaté a 10, donc vous allez pouvoir pousser à la prochaine contraction.

Ma femme souffre, je ne peux rien a faire à part l'encourager et lui dire comme elle est forte et que je suis fier d'elle.

Quinze minutes plus tard, le cri de ma fille retentit enfin. Elle est magnifique. Brune comme moi avec de beaux yeux bleu. Elle est mon portrait craché. Et voilà qu'en quelques mois je suis tombé amoureux deux fois. De ma femme et maintenant de ma fille.

-Alors comment s'appelle cette merveille.

-Léa. Elle s'appelle Léa.