INQUIETUDES ET MENACES

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(Même point de vue)

Cela faisait 2h que nous étions à l'hôpital, attendant le réveil de May.
Notre père et sa mère restaient dans le couloir ayant l'attitude inquiétante attendant le médecin, moi et Arren restions dans la chambre auprès d'elle. Je ne voulais pas qu'il soit là mais état donne les circonstances dans lesquelles il l'à trouvé je ne pouvais pas le sortir de la pièce.
Mon inquiétude grandissait à l'absence du médecin. Sur ce lit d'hôpital comme enchaînée par des files et tuyaux représentant les chaînes d'une prison, les yeux fermés et allongée laissant penser qu'elle ne pourrai plus se réveiller, cette vue me noyait de regrets. Je n'aurai jamais dû l'a laisser reprendre les cours, je l'avais averti mais pas obligé de rester chez nous.

Nous voyons le médecin arriver, les résultats en mains, le regard neutre mais pas joyeux.

- Vous êtes les parents de May BOYOCO ?
- Oui. Alors docteur pourquoi elle ne se réveille pas ?! Exprime sa mère.

Arren et moi rejoignons cette discutions afin d'écouter.

- Et vous, vous êtes ?
- Je suis son frère et lui son amie, dis-je.
- C'est nous qui l'avons retrouvé souffrante, ajoute Arren.
- Três bien, avez vous fait récemment des tests à une date prévue ?
- Non son prochain test est dans un mois, cependant nous nous y somme rendu parce qu'elle ressentait des douleurs à cette oreille, encore utile, il y'a quelques jours. Ils ont affirmé que son oreille était endommagée.
- D'accord, en effet son oreille est endommagée et ses derniers sifflements ont provoqués des douleurs cérébrales.
- Cérébrales ?! Que voulez vous dire ?? S'inquiète notre père.
- Rassurez vous, le cerveau n'est pas touché. Mais concernant son oreille, je crains qu'elle ne l'a perde un jour. Explique le médecin confus.
- Il n'existe aucun traitement.. ? Demandai-je gardant espoir.
- Je suis vraiment désolé. Le traitement dédié pour ce genre de problème n'est pas au point et fonctionne très rarement. Nous pouvons essayer tout de même, c'est un traitement sans complications et sans effet secondaire violent, il exigera seulement beaucoup de repos et une surveillance constante.
- Elle pourrai aller en cours ? Elle a travaillé dur pour avoir son bac blanc..
- Oui mais sous surveillance comme je l'ai dis et le sport a évité. Elle aura peut être des signes de fatigues mais pas inquiétants.

Nous étions quelques peu soulagés même si ce traitement n'est pas une garanti de sa guérison.
Il part avec nos parents pour discuter de ce traitement.
Arren et moi restions toujours auprès de May.
On ne se parlait pas, même ce tragique événement nous laissait distants. C'est mieux comme ça.

Soudain, une voix interrompit nos pensées et notre inquiétude au chevet de May. Cette voix m'était familière et apportait le danger.

- Je ne vous dérange pas ?
- Barros. Tu n'as rien à faire ici, informé Arren en se levant face à lui.
- Ahh tu parles enfin, je vous trouvais bien silencieux tout à coup. Je ferme la porte.
- Tu cherche quoi cette fois-ci ? Demandai-je.

Il avance et de place face au lit de May l'a regardant.

- C'est triste ce qu'il lui arrive. Pauvre enfant, sa faiblesse s'agrippera à elle toute sa vie. Votre garde devra être renforcé.
- Tu n'as aucune idée de qui est May. Tu gâche de la salive pour les sourds, dit Arren le regard noir.
- En parlant de sourds, n'est ce pas son problème plutôt sur le mien ? Demande t-il le sourire en coin.
- Attention à ce que tu dis Barros, conseillai-je en m'avançant vers lui.
- Ahah. Vous savez cette situation m'est bénéfique, May affaiblie et moi fort, je suis satisfait.

Il lui tient la main ce qui ne nous enchanta pas.

- Retire ta main de la sienne, tes menaces ne nous impression pas. Je te préviens, si il lui arrive encore quelques chose je te tue c'est clair ? Menace Arren la colère en lui.
- Comme c'est amusant. Deux cœurs pour cette unique créature. Je ne sais pas lequel lui correspondrait le mieux, ajoute Barros touchant un point sensible.

Arren et moi nous regardions faisant mine de ne pas comprendre. Je sais pourtant qu'Arren est touché de ces paroles. Je dois discuter avec lui.

- Je te le dirai pas deux fois, pars d'ici et ne t'avise plus de venir nous défier. Tu ne sais pas à quoi t'attendre, ordonnai-je en ouvrant la porte.

Il part souriant, ces menaces se faisaient de plus en plus fréquent et maintenant que May est ici, les choses se compliquaient.

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