Après quelques secondes, la lueur cessa, mais la chaleur, elle, était toujours présente. C'est alors que j'entendis une voix émerger de derrière la porte :
-"Putain de changement de dimension de meeeeeeeerde ! J'ai encore cramé mon costard..."
-"Euh... Il y a quelqu'un ? Je peux vous aider ?"
C'est alors que la personne dont provenait la voix entra, c'était un homme à en juger par sa silhouette, dans les 1m80, il portait un costard qui effectivement avait l'air brûlé à certains endroits, notamment aux bras. Il portait néanmoins un chapeau, des lunettes de soleil, et une grosse écharpe. Tout ceci m'empêchait évidemment de voir le visage de cet inconnu...
Je me pris alors le visage dans les mains en signe de désespoir.
-"BON. On va commencer par le commencement hein ! Bonsoir monsieur ! Je suis monsieur Durst, psychologue. Et vous ? Comment se fait-il que votre tenue soit brûlée et que vous vous habillez si chaudement alors que nous sommes en été ?"
-"Alors, vous allez rire monsieur Durst, mais en fait moi je suis Satan... Enfin, Hadès, Loki, Lucifer... Vous êtes athée donc je suppose que ça a pas vraiment d'importance, vous pouvez m'appeler Richard de toute façon. Ma tenue est plutôt cramée, pas trop quand même... Si ?"
-"Ouais un peu quand même hein..."
-"MERDE ! À chaque fois je me foire et a chaque fois je me fait griller... Bref, quand je switche entre le monde des mortels et l'Enfer, ben je dois réapparaître dans un pentagrame de feu qui apparaît où je veux. C'est super classe, mais ça nique un peu les vêtements, et comme je galère un peu à jauger bah c'est pas top... Ensuite, si je m'habille comme ça, c'est pour éviter de montrer aux gens le visage du diaaaaaaaaaable ! Nan je déconne en fait c'est juste que je complexe un peu du coup j'évite de trop me montrer."
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Le psychologue du Diable
Cerita PendekAprès une longue journée de travail de psychologue, M.Durst s'apprête à rentrer chez-lui, mais quelqu'un ne semble pas être de cet avis... Est-ce que les grandes figures qui représentent le mal absolu sont-elles aussi méchantes et sans-pitié qu'on l...