Entre l'Amour et la Haine, il n'y a qu'un seul pas🇰🇲 (TOME 1)

Partie 2 :

Naari Naari, on retourne 5 ans en arrière, je me lève aujourd'hui faut se lever lire le Coran chez une femme à Marseille, les comoriens se savent faut lire sourate Yaa-Sin pour tout et pour rien : t'as trouvé ton vœu sur postsup sourate Yaa-Sin, tu sais faire tes lacets hop sourate Yaa-Sin non j'abuse pas dans ces situations là mais quand même on le lit tout le temps.

J'ai vraiment pas envie d'aller à Marseille mais bon (j'habite à 1h de Marseille) je prends ma douche, je mets mon jilbeb violet je prends mon téléphone et hop direction Marseille.

Je retrouve mes cousines, Rehana et Rumeyssa puis une nouvelle que je n'avais pas vu depuis longtemps Faïna.

Rehana : Ma sauce ça fait un bail t'as mis les pieds ici
Rumeyssa : Parce qu'elle préfère rester dans sa ville de wahindi (arabes) là
Moi : Mort votre ville avec une équipe de foot qui perd à chaque match, Dieu est avec vous seulement
Rehana : Rappelle moi ta ville est combien sur le classement ?
Rumeyssa : On me chuchote à l'oreille qu'il faut coulisser bien bas
Rehana : Allez ziak
Moi : Ah ma soeur oussi changué (ne t'inquiète pas) Ligue 2 bientôt on commence doucement mais sûrement.
Rehana : Ewa bon on va dans la chambre alors j'entend les hommes qui commencent déjà à rentrer.
Rumeyssa : Vole des mabawas (ailes de poulet)  et ntrovi (bananes vertes frites) non ? Rend toi utile orh !

Les hommes commencent à lire mais je vois ma mère qui m'appelle sur mon téléphone :

📱 [Ummî👸🏾] :

Ummî : Hé wa de havi ? (Tu es où ?)
Moi : Je suis dans ma chambre la, ma trini ? (Pourquoi)
Ummî : Bassi co rengué mabawa yaho ! (Bah viens prendre tes mabawa là)
Moi : Ouais attend j'arrive
Ummî : Haya. (Vas-y.)

Donc là je me lève vif, hehe quand tu me parles business je cours seulement. Donc je sors de la chambre et je cogne un homme, un grand colosse comme ça là.

?? : Ah ouais les lunettes c'est pas donné.
Moi : Ah bon ? Pousse toi seulement la nourriture m'appelle.
?? : Hé wawé mlamo ! (Hé toi t'es une morfale)
Moi : Oe dak, puis-je passer ?
?? : Ça va passe là.

Donc là je prends mon plat, mais il est hors de question que des parasites mettent leur pattes dans mon plat déjà que la femme a été radine sur le bail, j'ai dead ça en 11 secondes je suis repartie dans la chambre.

Rumeyssa : T'étais où toi pendant tout ce temps ?

Jawaria... déclare pas les bails sinon elles vont toutes ses lever.....

Moi : Hein ? Euh ouais passer un appel dehors, mais vas-y j'ai cogné un grand bonhomme je sais même pas qui c'est.
Rehana : On peut le voir de la ? Montre moi du doigt je te dis qui c'est.

Je lui montre

Rehana : Mddddr ahhh c'est mon cousin mais reste à le prouver, tu connais les noirs.
Fayna : J'habite chez lui je le connais depuis petite il s'appelle Sajad.
Moi : Ah d'accord.

Elles continuaient de parler mais moi j'étais grave absorbée sur mon téléphone et comme par hasard tu lèves la tête tu tombes sur qui ? L'autre imbécile. Il m'a souri bêtement mais ne sachant quoi faire bah je lui ai rendu aussi.

La journée enfin terminée, je rejoins mon père, mais avant ce Sajad me retient :