chapitre 14_ Harold_lemon

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« Astrid, tu me cherches vraiment, j'ai soufflé en nous posant sur le lit

-Je ne vois pas de quoi tu parles, a t-elle dis avant de m'embrasser

-Je ne sais pas ce que tu cherches mais- j'ai commencé

-Chut, a t-elle dis en m'embrassant de nouveau

-Astrid je- ai je tenté

-Tu réfléchis trop Harold, elle a soufflé

-Mais si tu- j'ai tenté

-Harold, si je tombe enceinte on se mariera ? Elle a demandé

-Oui bien sûr, j'ai répondu

-Alors ne réfléchis plus, a t-elle dit d'une voix plus ferme que tout à l'heure »

Elle s'est levée et a retiré son t-shirt à son tour. Je l'ai regardé, tout de même gêné.

Elle s'est rallongée et a essayé de retirer mon pantalon, je l'ai donc aidée en quelque sorte, et elle a retiré ses bas aussi. Nous nous sommes embrassés et avons retiré nos sous-vêtements, avant de placer la couverture au dessus de nous.

«Normalement on attends le mariage, j'ai soufflé.

-Alors marions nous, elle a répondu, le plus tôt possible

-Je te demanderais en mariage convenablement, j'ai répliqué »

Elle m'embrassa, probablement pour me faire taire, et je senti encore cette sensation dans mon cœur, comme s'il se serrait et s'agrandissait en même temps.

Je sentais ses mains se balader un peu partout et elle continuait de m'embrasser, je caressait doucement son dos, remontant à ses omoplates, et dans sa nuque, elle eut un frisson et je redescendis ma main.

Elle me fit pleins de bisous légers dans le cou et je mis mes mains de chaque côté de sa tête.

« Bordel Astrid.. j'ai soufflé

-Si tu t'arrêtes pour me dire qu'il faut qu'on attende d'être mariés je te frappe Harold, elle a dit d'une voix forte

-Non, comment peux tu me rendre si déraisonnable, j'ai murmuré, l'embrassant avant qu'elle ne puisse répondre »

Nous avons continué à caresser le corps de l'autre pendant de bonnes minutes puis elle a enroulé ses jambes autour de moi.

« Pas de marche arrière, elle a soufflé

-Pas de marche arrière, j'ai répété »

Je suis délicatement entré en elle et elle s'est crispée, serrant mes épaules.

« Tu peux mordre pour atténuer la douleur, je ne t'en voudrais pas, j'ai chuchoté »

Elle a hoché la tête avant de me mordre l'épaule, les yeux fermés. J'ai observé son visage quelques minutes, ça n'avait pas l'air de s'atténuer, je commençais à me reculer quand elle resserra son emprise.

«Pas.. de.. marche arrière, elle a chuchoté toujours crispée..

-Mais tu- j'ai tenté

-Essaies.. de- elle a laissé en suspens »

J'ai donc fait ce qu'elle m'avait sous-entendu de faire et au bout de quelques minutes, son corps se décrispa. Je continua tout de même inquiet.

« Ha-Harold, dé-tends- toi, elle a dit par accoues »

Elle a ensuite attrapé mon lobe d'oreille entre ses lèvres et a commencé à le mordiller.

« A-A-A-Astrid, tu-tu recommences là, j'ai tenté de dire.

-Je sais, elle a chuchoté, arrêtes de penser et ressens juste.. »

Elle a lâché mon lobe d'oreille mordillant tout en descendant le long de ma mâchoire, de mon cou jusqu'à mon épaule, j'eus un frisson et entamait à mon tour un trajet de son oreilles à son épaule de bisous. Elle souffla,et fit de même sur l'autre côté de mon corps. Une fois qu'elle eut terminé, j'entamais mon second trajet de l'épaule à l'oreille.

Son corps se mit à trembler et j'arrêta tout mouvement, je posa mon regard sur son visage, mais elle ne pleurait pas..

«Non, n'a-rrête-pas, elle dit »

Je ne m'arrêtais donc pas, elle était la seule à savoir si elle avait mal.

Au bout d'un certain moment, je me retirais et nous nous blottissions l'un contre l'autre.

« Je t'aime, avons nous dis au même moment avant de nous endormir »

Un temps indéterminé plus tard, j'entendis quelqu'un toquer à la porte.

« Vous pouvez utiliser la cuisine maintenant, a t-elle dit

-Oui, merci maman, on arrive, j'ai crié

-Qu'est ce qu'il se passe ? A marmonné Astrid émergeant du sommeil.

-Ma mère nous informe que l'on peut utiliser la cuisine, j'ai expliqué

-La cuisine ? Elle a demandé, mais pourquoi ? Elle a demandé

-On a perdu les jeux on doit cuisiner, j'ai expliqué

-ah oui, désolée pour tes draps, il va falloir changer le lit, elle s'est excusée

- Ce n'est rien, je vais m'en occuper, j'ai dis

-Non non non, on va s'en occuper tout les deux, elle a dit, »

Nous avons alors pris et enroulé les draps avant de les faire brûler quelque part.

DragonOù les histoires vivent. Découvrez maintenant