Je t'aime bordel!

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Ce monde que je pensais aux couleurs de notre amour devint saturé. Son cœur se brise en une fraction de seconde, on entend les débris tomber, éclater dans sa cage thoracique. Sa respiration se coupe, ça fait mal.

L'écran de son téléphone toujours allumé sur la conversation de celle qui vient de tout brisé. Malgré ça elle ris, elle ris nerveusement n'osant pas y croire.

Ça raison de vivre, celle qui avait recousu toutes son âme venais de la réduire à un tas de cendre. Malheureusement elle aurait aimé être un Phoenix pour renaître de ses cendres, impossible. La page ne voulais pas se tourné c'était la dernière; le reste des pages reflétaient leur avenir à deux, toutes c'est pages étaient partis en fumée.

Le téléphone était désormais un écran noir, cachant ce qui a tout détruis. Les premières larmes arrivé alors qu'elle regarder le mur de sa chambre, ce mur avec des photos d'elle, les places de cinéma ainsi que ce billet de train. Les larmes devinrent de plus en plus abondantes, creusant ses pommettes rosie.
Les souvenirs flou et vague affligeant la pire des douleurs défilé dans sa rétine. La douleur fût elle que sa respiration se coupa. De violent spasmes l'avais pris en assauts, ses larmes roulé le long de son visage, elle ne visualisez plus rien, ni ses cris déchirant que personne n'entendait.

C'était sa raison de vivre, sa vie, celle à qui elle avait tout confié mais maintenant celle qui lui avait volé toutes traces de joie. Cela faisait une semaine, une semaine où elle se forcé à sourire, cette semaine si éprouvante.

A quoi bon vivre si plus personne ne me retiens, pensa t'elle.

Son état était pitoyable, les yeux rouge, elle ne mangé plus, elle voulais mourir. C'était ça, mourir. Dans sa famille on l'a détesté parce que elle est pansexuelle. Elle ne manquerai à personne. Alors ça décision fût prise, elle allait mourir. Elle voulait briller dans le ciel pour reflétaient toutes c'est souffrance de sa courte existence.

Le soir à l'internat du lycée elle pris ça boite de médicaments et les pris un par un. Le lendemain ne resté qu'un cadavre pâle dans le lit de cette jeune fille, une camarade de sa chambre avait hurlé et réveiller tout le dortoir.

Une simple lettre, une lettre rempli d'amour et d'excuses. Une lettre, celle de son adieu.
Une lettre tellement triste.
Une lettre, cette lettre.

«Salut!
Je sais pas qui va lire ça, sûrement personne. Je suis morte si vous la lisez.
Je suis désolé, désolé d'avoir aimé et d'avoir vécu. Je suis désolé d'avoir eu envie de rêvé. Je suis désolé de me reposer à jamais.
Je suis désolé mais je pouvais plus, je suis morte. J'en suis heureuse, dite à Mélissa que je l'aime malgré tout, dite à ma famille que je les aimes et que je leur en veux pas.
Mélissa, ma raison de vivre aujourd'hui je meurs parce que sans toi je ne vis plus alors autant terminé ton travail correctement toi qui terminé tout ce qui était déjà entrepris.
Je peux plus pleuré, mourir oui. Pleuré est ridicule. Je suis ridicule.
Je t'aime BORDEL!

J.B»

State of MindOù les histoires vivent. Découvrez maintenant