Ce soir.
Ce soir, encore, depuis HUIT ans, je pense à toi.
Je repense à nous, nos souvenirs ensemble, enfin, surtout mon point de vue de l'histoire pas toujours fait de joie et d'arc en ciel mais c'est ça qui me plait: nos erreurs. Encore une fois j'ai plus fauté que toi mais, toi, tu sais que je suis maladroite de nature ou alors je ne fait aucun effort sûrement les deux, qu'en pense tu?
Il fait trop chaud dans ma petite chambre, le chauffage au maximum parce que je n'ai plus de couverture. Le plafond blanc légèrement rongé par l'humidité, je pense à toi comme chaque soir et chaque seconde depuis huit longues années.
Je suis pas doués pour parler, j'ai eus étais une gamine menteuse et égoïste. Je m'en suis excusé, tu m'as dis que c'était pas grave et que c'était oublié mais apparemment je ne t'avais pas assez supplié et pleuré, ce soir-ci.
Chaque jour, te voir seulement à quelques mettre de moi sans qu'on s'adresse la parole, me brise le cœur, j'ai mal mais je garde espoir comme tu m'as appris. Maintenant je te surpasse, je ne fuis plus mes sentiments, enfin presque. Je fuis mon amour pour toi, on s'est aimé un temps, j'ai éteint ton étincelle mais je me consume parce que la mienne à pris de l'ampleur.
Quand nous étions petits, on etait inséparables. Je sais pas si tu te rappelle mais on s'appelait "Les Guerrier Marseillais" seulement parce que on venait des bouches du Rhône et que on était les seuls dans cette école de ce petit village perdu de la campagne du Sud-Ouest à venir de là-bas. Puis un jour, je suis partis, sans rien dire. Moi même je n'étais pas au courant que je déménager alors je n'ai pas pu te prévenir. Je sais que tu as pleuré, je m'en veux. Je t'avais abandonné!
Ce n'est que, un jour on c'est revu, de base j'étais venu voir Corentin pour l'aider en mathématique, je ne savais pas ce jour là que j'allais te revoir. J'avais grimpé les escaliers après avoir salué les adultes, j'était rentré dans la chambre de notre ami mais il n'y était pas, je ris intérieurement en me rappelant que ce petit fan de jeux vidéos n'était jamais dans sa chambre mais qu'il était plus souvent dans la chambre de son frère, ou se trouvait toute les consoles de la maison. Alors, j'avais ouvert la porte brusquement en criant le prénom de notre ami, vous avez sursauté, en voyant qu'il n'était pas seul, j'avais rougi. Finalement, j'avais dormis chez lui, avec toi, on c'était balader tous les trois malgré que la plupart du temps Corentin passait au second plan quand je me noyé dans tes iris bleu clair. On s'est remis ensemble, tu semblais plus m'en vouloir pour t'avoir abandonné. J'étais heureuse.
J'ai été lâche, même pire. Je t'ai largué par message:"je t'aime plus" voilà le message de nos destruction commune. J'ai fait ça parce que je désespérer de plus te voir, on était trop loin. Ensuite je t'ai fait croire que j'aimais ton meilleur ami et pour appuyé mes dires je lui est donné une lettre d'amour mais tout ces mots ne lui été pas destiné, de toute façon j'ai reçu le plus gros râteau du siècle! Bref, je t'aimais encore.
Un an plus tard on s'est retrouvé, quand je t'ai vu je me suis fait violence pour te sauter dans les bras. J'avais mal, je restais avec toi, on c'était réconcilier il y a de ça six mois, mais j'avais peur. Une semaine plus tard tu m'as dis d'arrêté de restait avec toi, tu m'as littéralement brisé mais je t'ai souris et avais murmuré un faible d'accord.
Ce soir je sais que tu voulais me faire mal comme je t'ai fait souffrir, tu avais réussi, tu voulais juste m'oublier.
Au cours de l'année suivante je t'ai vus te mettre en couple, je te souriais souvent, j'étais heureuse pour toi. Je te parlais moins mais toujours un peu. Puis j'ai disparu, je voulais resté à tes côtés mais je me sentais mal, alors je t'ai encore abandonné sans rien te dire. J'aurais tellement voulu te dire que je t'aimais.
En réalité, je t'ai parler tous l'été comme avant je souriais, je montrais ce que je voulais que tu vois; mes problèmes et mon passé tu n'avait pas besoin de le connaître, enfin, j'aurais peut-être du t'en parler pour éviter que tu me prenne pour une menteuse.
A la rentrée je parlais tout le temps de toi à mes nouveaux "amis". Je t'ai fait rencontré une fille qui je sais, elle n'allait pas resté avec toi. J'ai brisé un ton couple avec une fille géniale pour le caprice de mademoiselle et surtout parce que je pensais que ça te ferais plaisir. J'étais heureuse pour vous quand vous vous êtes mis ensemble malgré que je t'aimais inlassablement.
Un soir je t'avais envoyé un message remplis de remords et d'excuses du passé, je pouvais pas te le dire en face parce que j'aurais pleuré et tu sais très bien que je déteste ça! Tu m'as rassuré en disant que tout étaient oublié depuis bien longtemps alors j'ai de nouveau souris.
Je commençais à me plaindre mais genre TOUT LE TEMPS! Je comprend bien que ça t'agacer, même moi ça me soûle de parler de ma vie, les autres et même toi vos vies sont plus intéressante et importante que la mienne.
Il y a six mois, en sortant des cours, après une discussion avec cette fille, je t'ai envoyé des tonnes de messages, je t'ai harcelé... J'ai honte, je t'ai posé des questions auxquels tu n'as pas répondu, tu m'as juste renvoyait le passé en pleine face en m'accusant de tout mais tu as oublié que je n'était pas un robot, je suis humaine. Toi aussi tu as fait des erreurs et je te les reproches pas... Mais je t'aime toujours!
Un soir, peut-être, j'oublierai ce sentiment à ton égard mais en attendant si tu sens un regard pesant en classe; sache que c'est moi qui attend patiemment pour te présenter des excuses convenables pour mon comportement d'enfant durant huit ans.
Mais en attendant, ce soir, je t'aime encore plus!
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State of Mind
RandomUn recueil de TOUT et n'importe quoi! Un rantbook en soit mais avec des nouvelles. J'espère que ça vous plaira, je l'espère de tout coeur! Bon assez bavarder, bonne lecture!