Chapitre 18

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ROBIN

-Vite Jenny tiens moi la main, on doit sortir !

-D'accord...

Nous arrivions à la porte de sortie, Jenny sors la première, je me retourner pour voir la poupée, elle était vraiment dans un sale état.

-Robin tu viens ?!

-Oui oui, je suis là !

Je ferme la porte et revois pour la dernière fois cette grande poupée d'une longueur de presque de mètres de long.

-Viens, c'est par la !

-La porte, la porte, la porte, la porte, la porte...

On courait de plus en plus vite, nous avions passé devant le comptoir, ce qui prouvait que nous arrivions a la sortie, et c'est à ce moment que je me suis rendu compte d'un des portraits accroché, se visage me rappeler quelqu'un.

C'est en sortant que nous nous sommes rendu compte que nous avions failli perdre nos vies. Jenny ne savais pas si elle devait pleurait ou rire.

-On est sortie ! ON EST SORTIE ! On a réussi ! Dit-elle en me faisant un câlin.

-Oui je sais !

-Robin ? Hummm... Mademoiselle ?

C'est monsieur Durand, j'avais oublié qu'il devait revenir en pleine nuit.

-Il y a eu un problème ?

-OUI ! UN GROS ! VITE APPELEZ LA POLICE !

-Jenny ! Du calme... Oui monsieur, il se pourrait que les poupées... sont vivante.

-OUI ! ELLES VOULAIENT NOUS TUEEEER !

-Jenny !

-Vous tuer ?

-Oui c'est bien cela...

Durand n'avais pas l'air d'être choquer ou quoi que ce soit.

-Humm... Dites-moi monsieur, vous connaissez une certaine Betty Snively ?

-Oui, c'est ma femme.

-Votre femme c'est celle qui as écris le livre Lost Girl c'est elle ?!

-...Ecoutez, il faut que je vous dise quelque chose, oui Betty est ma femme, elle est morte il y a maintenant une bonne dizaine d'année, oui, Jerry c'est bien moi, et oui, le créateur des poupées... c'est moi.

-Vous êtes ...

-C'EST VOUS ?! Je vais rentrer chez moi...

-Jenny ... ?

Elle était déjà partie, il ne rester plus que moi et lui.

-C'est vous... ?

-Robin, je ne pouvais pas m'en séparer.

Lorsque que je l'es avait terminé, je l'es avait envoyé au royaume d'Harmonia, et moi je vivais dans une grande prairie.

Le jour de leur disparition, elle était revenu chez moi, je ne voulais pas qu'elle fasse des victimes de plus, alors je l'es ai gardé.

-Et c'est elles qui ont tué votre femme ou...

-Non, elle est morte d'un cancer du poumon...

-Toute mes condoléances... Et... c'est vous qui aviez arraché les autres feuilles du livre ?

-Oui c'est bien moi. Si le livre s'appelle comme ça c'est tout simplement parce que le dernier enfant qui a été tué par ces poupées est une petite fille... Ma fille

-Votre...

-Tu n'a rien à dire, rentre chez toi, il est préférable que tu te reposes, merci d'être venu travailler ici, bonne nuit.

Il est déjà partit.

DOLLHOUSEOù les histoires vivent. Découvrez maintenant