Je suis damné.

Se battre ou baisser les armes ?

Dans le chapitre précédent :

« Elle était allongée sur lit de l'infirmerie depuis maintenant trente minutes. Quand je l'ai vue allonger en plein milieu du couloir, inerte. J'ai bien cru qu'elle était morte. La première chose qui m'est venu à l'esprit était de l'emmener à l'infirmerie. Je ne vous dis pas quelle a été la réaction de l'infirmier.

-Qu'est-ce-que...je fais ici.....Mais qu'est-ce-que tu fais ici ? Me demanda-t-elle d'une faible voix. Faut croire qu'elle est enfin réveillée. Il était temps. »

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-Pour tout te dire j'étais en route vers mon casier quand je t'ai vu allongée sur le sol tu me semblais, désoler du terme, morte j'ai donc paniquée et je t'ai emmenée a l'infirmerie. Peux tu me dire ce qui c'est passé ?

- Écoute Lauren (NDA: vous vous attendiez à qui ?) je te remercie vraiment pour ton aide mais s'il te plait ne t'en mêle pas plus que ca.

- Mais Mélanie comment peux tu me demander de ne pas m'en mêler ? Nous sommes tout de même amies ? Il est normal pour moi de m'inquiéter tu ne penses pas ? Me dit Lauren légèrement blessée par mon attitude envers elle.

-Ne le prend pas mal Lauren, mais je ne veux pas que tu ais des problèmes avec Ethan. Je ne me le pardonnerais jamais si ce la devait arriver. Dis-je en baissant la tête, les larmes aux bords des yeux.

- C'est donc lui qui t'as laissé dans cet état, qui t'as étranglé...

-Com...ment sais tu qu'il m'a... ? Demandais-je intriguée.

- Ne me prend pas pour une idiote Mélanie ! J'ai bien vue les marques de strangulation autours de ton cou ! Tout comme l'infirmier d'ailleurs. Je me crispe à l'entente de cette information et lève les yeux pleins de paniques vers mon amie. Ne t'inquiète pas j'ai nié toute tentative d'agression, je lui ai juste dit que tu as fais une crise de panique. Je commence à regretter ce mensonge. Me dit-elle.

- Merci. Lauren, merci beaucoup pour tout. Tu es la seule amie qui me reste. Je ne te remercierai jamais assez.

-Mais de rien mon petit panda ! Tu n'as pas à me remercier autant tu sais.

Nous nous mettons à rire du surnom qu'elle ma attribuer mais quelques minutes plus tard, l'infirmier nous demanda de retourner en cours vu que je semblais aller mieux. Malheureusement Lauren et moi n'avions pas la même matière donc nous dûment nous séparer. Arriver devant ma salle classe je toquai et après avoir entendu un faible "entrer" ben...j'entrai.

-Eh bien Mlle Strukfill, je vous avoue que je suis étonnée de vous voir si en retard ces derniers temps. M'annonça mon professeur d'Histoire-Géographie.

-Veuillez m'excuser Madame j'étais à l'infirmerie.

-Que cela ne se reproduise plus. Allez donc vous assoir à votre place. Me dit-elle avant de reprendre son cours.

Je me dirigeais vers ma place en question mais quand je vis Ethan, le sourire aux lèvres, assis a MA place aux cotes d'une fille qui le dévorait des yeux bien sûr. Je fis demi tour pour pouvoir m'assoir aux cotés d'un autre élève. Apres tout c'était la seule place de libre dans la classe. Sauf que j'avais oublié un léger détail... Je n'étais pas trop aimé dans cette école. La faute a qui hein.

-Euh, qu'est-ce-que tu fais comme ça ? Tu ne vas quand même pas t'assoir à coté de moi j'espère ? Me demanda le garçon une mine dégouté colle sur son visage.

-Mais euh...je...Oui. C'est la seule place de libre...

- Bah reste debout alors il est hors de question que je me mette à coter de toi, aller dégage pauvre thon. Me cracha t-il au visage.

Je n'en pouvais plus de cette situation. C'en était trop, tout le monde riait, se moquait de ma situation. J'en suis venue au point ou même la professeure souriait tellement je faisais pitié c'est bien ca hein ? Le plus heureux de tous vous savez c'est qui ? Ethan. Comment pouvait-il rire sachant qu'il m'avait laissé pour morte dans les couloirs du lycée il y a peux. Etait-il humain ? J'en doute.

- Et tu sais quoi ? Bah le thon il t'emmerde Ducon ainsi qu'a vous tous bande d'hypocrite de merde. Criais-je à toute la classe.

- Mlle Strukfill surveillez votre langage. Vous ne devez pas manquez de respect à vos camarades voyons. S'offusqua ma professeure d'histoire-géo. La bonne blague.

-Selon vous cette classe est l'exemple type du mot camarade hein ? Lui demandai-je. De quel droit osez-vous parler de respect ? C'est bien vous qui souriez tantôt quand JE me faisais manquer de respect par mes « camarades » ? Lui demandais-je la voix pleine de colère.

- Strukfill DEHORS ! Cria-t-elle a son tours (NDA : C'est a celle qui crie le plus fort en fait haha)

-Ne vous inquiétez pas pour ça. Criais-je encore plus fort (NDA : Je vous l'ai dis non.)

Je sortis de la classe en trombe les larmes collant à flot. Je souffrais, j'avais mal, je ne voulais qu'une chose, être acceptée et rien d'autre. Je n'avais rien fais de mal vous savez. Cette situation avait trop durée, j'en portais beaucoup trop sur les épaules. Je ne voulais qu'une chose, en finir, me reposer, être heureuse rien d'autre. Je suis endommagée, brisée, seule au monde. Sans même m'en rendre compte je me suis retrouvée sur le pont non loin de l'école. La hauteur me donnait le tournis ayant le vertige ce n'est pas étonnant. C'est à ce moment qu'une idée me vient en tête, une idée suicidaire. Si je saute, serais-je heureuse ? Serais-je enfin en paix ? Serait-ce la fin alors ?

-Je pensais que tu étais plus forte que ça tu sais ? Mais bon il faut croire que je me suis trompé(e). Annonça une voix qui m'est inconnue sur le moment.

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Cc désolé du retard et merci à tout ceux qui lisent et vote Je vous aime... Selon vous,  qui est le ou la mystérieux/se inconnu(e) ?