Je suis damné.

Revelation.

 - Ton frère est un professionnel il n’a pas besoin que tu t’inquiète pour lui alors oublie le un moment car là…Il frôle ses lèvres sur les mienne une dernière fois. C’est juste toi et moi. Me chuchota t-il doucement.

Non, je rêve, cet idiot à oser me violer les lèvres ? Il me prend pour qui ? Je ne suis pas comme toutes ces filles qui lui tombent dans les mains et je ne veux pas qu’il le pense. Je me mets donc à le taper de toute mes forces, je criai, taper, laisser couler des larmes, l’insultait mais par-dessus tout me libérai jusqu'à épuisement.

-Eh bien, il faut croire que tu en avais beaucoup sur le cœur parce que je les ai bien sentis tes coups. Dit-il en grimaçant.

-Tu m’avais dit de me libérer non ? C’est ce que j’ai fait. Dis-je en reprenant mon souffle. Et de qu’elle droit oses-tu m’embrasser ? Tu as cru que j’étais comme toute les autres filles ou c’est comment ? Tu as cru que c’est en m’embrassant que j’oublierai tout le mal que tu ma fait ? Il faudrait te faire soigner dans se cas. Dis-je en colère.

-Je voulais que tu te mettes en colère contre moi pour que tu te mettes enfin à me taper, à te libérer et je vois que ça à marcher. Et ne viens surtout pas me dire que tu n’as pas aimé car je ne te croirai pas. Dit-il avec un sourire au coin des lèvres, toujours torse nu.

- Je t’enmerde ! Tu m’énerve, je ne te supporte pas. Argh. Dis-je en m’en allant.

-C’est bien beau tout ça mais qui vas te ramener chez toi ? Toujours avec son sourire.

-Bah c’est simple…Je vais prendre un taxi. Dis-je en souriant et en m’en allant.

***

-C’est moi ! Je suis de retour. Bastien où es-ce-que tu es ? M’exclamai-je

-Dans ma chambre ! Viens. Me cria t-il en retour.

Je dépose mes chaussures devant la porte ainsi que mon sac et me dirigea vers la chambre de mon frère qui est toujours décorer de ses posters de groupe de rock et son mur bleu sombre.

-Pourquoi tu ne ma pas dit que tu faisais des matches de boxe ? Demandai-je énerver.

-Ecoute, ce n’est pas fréquent et ce n’est que des matches amicaux. Tu n’as pas à t’inquiéter pour moi. Et d’ailleurs qui te la dit ?

-Oui mais et si un jour tu revenais a la maison tout défigurer comment veux tu que je réagisse hein ? Et l’as-tu dit aux parents ?

-Non ! Ne leur dit rien okay ! Je ne veux pas qu’ils s’inquiètent tout comme toi d’ailleurs ça n’en vaut pas la peine. C’est Antoine qui te la dit ?

-Comment ne veux tu pas que je m’inquiète ? Je te promets de ne rien leur dire si tu me promets de faire attention à toi. Dis-je en me calmant.