Chapitre cinquante-trois

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"Finalement." Henry annonça alors qu'ils gravissaient les marches de la maison. "Je ne pensais pas que nous arriverions jamais ici."

"Tu n'es pas le seul." Klaus a répondu d'accord. Sur le chemin du retour, les deux jumeaux demandaient quand ils arriveraient ou quelque chose de similaire à chaque minute depuis qu'ils avaient quitté leur maison pour aller chez Elijah et Katherine. Il ne pouvait pas leur en vouloir, c'était Noël après tout, c'était le jour férié qui mettait fin aux vacances dans les yeux d'un enfant et il savait qu'ils étaient impatients de voir quels paquets colorés les attendaient, sans parler des listes d'échange de ce qu'ils avait déjà eu avec leurs cousins. Néanmoins, cela n'a pas changé le fait que six pouces de neige sont tombés sur Boston pendant la nuit, ce qui a fait en sorte que le trajet normal de vingt minutes a duré plus d'une heure. Pas avec ses enfants directement mais avec la situation.

Malgré son irritation, il se sentit se détendre un peu quand il sentit la main de Caroline prendre la sienne, la serrant dans le confort. Elle lui sourit avant de dire. "Ce n'est pas long maintenant, et je suis sûr qu'Elijah aura probablement une bouteille de quelque chose que tu aimes pour calmer ces nerfs éreintés."

"Je ne pense pas que je sois le seul à avoir besoin d'un verre, mais dans votre cas, cela pourrait être un courage liquide." Klaus a déclaré. "En fait, je retire cette déclaration; vous êtes déjà assez courageux en étant prêt à vous lier à cette famille, alors vous n'avez pas besoin d'alcool."

"C'est vrai, je devrais peut-être repenser cela avant de le dire à ta famille." Caroline lui suggéra un masque de contemplation en faisant semblant de la considérer.

"Trop tard mon amour, tu as déjà dit oui, alors tu es coincé avec nous." Il a taquiné.

"Oh vraiment? Si je me souviens bien, nous ne sommes pas encore arrivés au mariage." Elle lui a rappelé. Caroline savait qu'il verrait directement à travers elle et sait qu'elle plaisantait.

"Juste un détail technique", déclara Klaus en la rapprochant. "Vous êtes à moi Caroline."

"Et tu es à moi. Et je ne vais nulle part. Si ta famille ne m'a pas encore fait peur, alors je doute qu'ils puissent faire quelque chose." Caroline a répondu. C'était vrai; elle aimait sa famille et était sur le nuage neuf à l'idée d'en faire partie. Elle allait d'une famille minuscule à une famille énorme.

"Ne tente pas le destin." Murmura-t-il en leur ouvrant la porte. Dès qu'il s'est ouvert, de la lumière, de l'air chaud et du bruit ont éclaté, leur disant qu'ils étaient effectivement au bon endroit.

"Eh bien, il est temps." Caroline a entendu Katherine annoncer. "Je pensais que nous devions envoyer la garde nationale pour vous amener les gars ici."

"Joyeux Noël à toi aussi Katherine." Klaus la salua en regardant sa belle-sœur.

"Tu sais qu'il y avait une chose appelée tempête de neige qui nous a empêché de marcher."

"Les excuses ne vont pas le couper quand la nourriture est froide." Katherine a argumenté. "Ce n'est pas comme si tout le monde n'était pas arrivé à temps. Qu'est-ce qui s'est passé? Vous êtes tous les deux coincés dans la guirlande?"

"Katherine!" S'exclama Caroline, sentant un léger rougissement venir sur ses joues à ce qu'elle impliquait. Elle était très heureuse que les jumeaux aient déjà jeté leurs manteaux et couru dans les escaliers ou elle aurait été très embarrassée. "Est-ce que ton esprit doit toujours aller comme ça

chaque fois que nous sommes en retard? "

"Avec vous deux? Oui." Katherine répondit alors qu'elle se tenait devant Caroline, attendant qu'elle finisse d'enlever son manteau. Une fois remis à Klaus, la brune a remarqué quelque chose. "Caroline, ton collier est coincé sous ton pull."

Le seul espoir pour moi c'est vous de LivingdeadblondequeenOù les histoires vivent. Découvrez maintenant