Chapitre quarante-neuf

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Sept mois plus tard

"Caroline? Puis-je avoir un autre cookie?" Henry supplia alors qu'il regardait la table des friandises au gymnase. Ils avaient l'air si bon. il avait vraiment besoin de plus, même si c'était juste un. Il n'allait même pas être pointilleux sur quel genre il a eu, il aimait les pépites de chocolat mais il mangerait un sucre aussi facilement.

"Non ma chérie, tu en as assez." Caroline répondit alors qu'elle retirait sa bouche de son téléphone pour se concentrer sur lui.

"Mais tu ne m'en as donné qu'une, Lexi et ses amis avaient plus que ça." Henry se disputa alors qu'il se rassit avec une moue sur le visage. Ce n'était pas juste, après tout, son père a toujours dit qu'ils devaient partager et être égaux alors pourquoi est-ce que cela ne pouvait pas compter pour les cookies?

"Eh bien pour un, il s'agit d'une fête de Noël pour Lexi et les autres membres du gymnase, alors ils ont le droit d'avoir un peu plus de deux, je vous en ai peut-être donné un mais Je ne cherchais pas. " Dit Caroline en levant les sourcils. Il baissa les yeux pour se faire prendre. "Ton père et moi ne voulons pas que tu te lèves toute la nuit sur un haut niveau de sucre; nous devons nous lever tôt pour pouvoir arriver à l'aéroport."

"Bien." Henry a dit avec une bouffée. "Au moins à Mystic Falls, je sais que le shérif Liz aura des biscuits et des bonbons. Elle a promis."

Caroline supprima à peine le sourire sur les lèvres d'Henry. Cela la stupéfia de voir avec quelle rapidité les jumeaux dépendaient de sa mère pour les gâter, considérant qu'ils ne l'avaient vue qu'une seule fois. Les quatre d'entre eux étaient censés se rendre au cours de l'été, comme l'avait suggéré sa mère, mais les horaires ne semblaient jamais le permettre. Il y avait eu une frénésie dans la ville de Mystic Falls afin que sa mère soit trop occupée pour la compagnie. Tout le monde avait été déçu, surtout Caroline et Klaus détestaient la voir comme ça pour l'anniversaire de Caroline, alors il la surprit en emmenant sa mère à Boston pour une visite. Pendant les quelques jours où elle était venue, Liz Forbes avait acheté les jumeaux à peu près tous les maux qu'ils rencontraient dans la ville et avaient volé leur cœur.

"On dirait que quelqu'un prend à cœur le rôle de grand-mère." Bonnie répondit à l'oreille, entendant évidemment toute la conversation de Caroline et Henry.

"Bonnie!" Caroline s'exclama si ce que dit son amie la fit sourire. Cela avait été agréable de voir à quel point sa mère avait été chaleureuse et ouverte envers les jumeaux, mais elle ne pensait pas que sa mère les éviterait, après tout, ils étaient des enfants. Cependant, la façon dont sa mère avait agi avec eux était plus que cela et Caroline était reconnaissante. Elle se demandait si ce n'était pas à cause de sa propre relation avec les jumeaux, et sa mère réalisant que sa relation avec Klaus était la plus grave qu'elle ait jamais eue.

"S'il-vous-plaît, faites attention, vous savez que j'ai raison. Vous êtes aussi proches que possible de la famille, il est donc naturel que votre mère agisse comme ça." Bonnie répliqua.

Caroline ne pouvait pas discuter de ce que Bonnie avait dit et elle ne voulait pas. Au cours des sept derniers mois, depuis qu'elle a emménagé dans sa chambre, Klaus et les jumeaux étaient devenus leur propre famille. Les choses étaient loin d'être parfaites, Klaus et elle se disputaient de temps en temps, surtout au début, alors qu'ils essayaient de s'installer dans leur nouvelle situation, les jumeaux étaient des enfants typiques et se comportaient parfois mal mais c'était la vie. Une vie qu'elle a beaucoup aimée.

Caroline se souvenait du jour où ils avaient parlé aux jumeaux des changements dans leurs vies. Après qu'Elena soit partie et que les jumeaux avaient fini de nettoyer la salle de jeux, Klaus et Caroline les avaient assis au dîner et leur avaient expliqué que Caroline n'allait plus vivre dans sa chambre. Au début, les deux avaient paniqué en pensant que malgré leurs efforts, une nouvelle nounou avait été retrouvée mais Caroline leur assura rapidement qu'elle n'irait nulle part. Klaus leur dit que Caroline allait renoncer à sa chambre pour pouvoir partager une chambre à la place. Les jumeaux avaient trouvé étrange que leur père et Caroline ne partageaient pas la même chambre depuis qu'ils dormaient ensemble tout le temps, mais comme cela semblait signifier qu'ils n'allaient pas la perdre, ils étaient heureux.

Le seul espoir pour moi c'est vous de LivingdeadblondequeenOù les histoires vivent. Découvrez maintenant