Chapitre onze

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Voila un nouveau chapitre ! Ce chapitre comporte quelques mauvais mots, donc ne soyez pas choquez...

Bref, bonne lecture ! Et a la prochaine !



Canada, Jardin royaux

Ont se fixe intensément. Je me pince.

Eh non tu ne rêves pas, ma vieille ! Bravo ! Après tant d'effort ton secret est révélé par le plus idiot ! Félicitation Alice !

La brise fraîche de la soirée souffle dans mes cheveux bruns, les fessant volé. Je croise les bras sur ma poitrine, affichant un air de je-m'en-foutisme, alors qu'a l'intérieur je suis terrifiée. Mon cerveau travaille à mille à l'heure. Je dois trouver une solution, non, rectification, il le faut !

Que-ce-que je dois faire ?! Bon sang, quelle galère ! Bon respire, Alice. Tout va bien aller. Utilise tes charmes et il tombera dans le panneau... ouais bonne idée !

Je replace mes cheveux et lui offre mon plus beau sourire craquant.

- Je suis désolée, dis-je d'une petite voix. Je me sentais tellement stressée...

- Ça va, me coupe-t-il. Pas besoin de faire ton petit numéro.

Bon arrêtons la comédie et essayons de parlementer en bon gentleman.

Je laissai échappée un soupire.

- Ouais bon... tu vas tout révéler, hein ?

Il ne répliqua rien. A la place il s'approche de moi, se baisse et ramasse la bouteille de champagne.

Sous mon regard perplexe il boit dans la bouteille. Je me pu m'empêcher de rougir. Un baiser indirect...

Idiote ! Reprend toi ! Bon sang rougir pour rien...

Il fait les cents pas, toujours muet.

- Bon tu vas l'ouvrir oui ou non ? m'impatientai-je.

- Oh ! dis-t-il en s'arrêtant. Madame est impatiente ?

Je me retiens de lui sauter au visage.

- Oui, dis-je à la place. Très. Alors, monsieur va-t-il répondre à ma question?

Il prit un air pensif.

- Hum... aucune idée..., mais j'ai pas envie!

Je serre les poings. Je bouille de rage. Je lui souris.

Pense, pense... Appart ces multiples conquêtes et ces soirées arrosées, le prince a-t-il fait quelque chose de scandaleux ?

Je fronce les sourcils, concentrée. Soudain, il ouvre la bouche :

- Oui, je pense que je vais dire la vérité à tout le monde. Vois-tu être fiancé et encore mois marié ne me tente (il se tourne vers moi.) toi aussi je suppose, non ? Être mariée a moi dois être humiliant.

Non, non. Je dois restée au château. Vivre avec cette vieille peau et ces hypocrites... plutôt enduré Camille et le Roi Père-Noel !

- Ah désolée, mais non.

Sa réponse sembla le surprendre.

- T'es bizarre comme fille, toi.

- « Toi » a un nom.

2121 [ en pause ]Où les histoires vivent. Découvrez maintenant