Lionne

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Moi: Taxi! Badalabougou!

Taximan: 1000f

Je rentrais sans faire d'histoire. Car le prix n'étais pas exagéré. Mon patron, ou plutôt Bouba, me dit un Aurvoir de la main quand je m'en allais. Il était vraiment un homme charmant.

Après quelques minutes de route j'étais arrivée chez Aïssa, au même moment Oumar rentrait enfin à la maison.

Oumar: Bonjour Maman!

Moi: Ça va mon chérie tu as passé une bonne journée? Et Alima elle a été gentille avec toi?

Alima était la bonne d'Aïssa, elle était une jeune fille vraiment adorable d'à peine 17ans. Généralement ici, quand les filles du village atteind un certains âge on les envoient en ville, pour qu'elle puisse apprendre d'avantage dans leur formation en tant que future épouse. Dans les tâches ménagères, tel que la cuisine, la vaisselle, où encore la lessive.

Oumar: Oui Maman!

Moi: Bon va te laver et on va manger.

J'avais une faim de loup. Mon ventre était complètement vide, je n'avais rien avaler hormis le café de ce matin. On dirait que la mort me guette.

C'est avec un plaisir immense que je mangeais le déjeuner qui était de la sauce tomate et du riz. Un de mes plats préférés. Avant qu'on ne finisse de manger Oumar et moi. La voiture d'Aïssa était enfin rentrée dans la maison.

Elle rentra ensuite et se joingnit à nous pour le repas.

Aïssa: Et ton entretien? Tu as eu un Travail?

Moi: J'ai effectivement eu un Travail. Dans une pâtisserie.

Aïssa: Pourquoi!? Mon oncle ne renumerait pas assez?

Moi: C'est un peu plus compliqué, Jtexpliquerais plus tard.

En montrant Oumar d'un signe de tête.

Elle aquiesca et ne posa plus de question. Je donnais les friandise que j'avais acheter à Oumar, pour qu'il en choisisse une, Ainsi qu'à Aïssa. Je pris quand à moi la mini tarte au pomme.

Après avoir manger et papoter, Oumar était retourner Jouer au foot. Et moi je m'étais retirée dans ma chambre pour dormir un peu. Je me changeais, et enfilais une longue robe très grandes pour moi, qui était vraiment confortable. C'était généralement avec elle que je dormais.

Quelques minutes après Aïssa pénétra, dans la pièce et s'assit sur le lit. Elle aussi c'était changé, et portait à présent un jogging et un haut.

Aïssa: Maintenant tu m'expliques!?

J'étais plutôt franche comme personne, je n'aimait pas tourner au tour du pot quand je parlais, mais cette fois ci cetais un peu plus compliqué. Elle le considérais quand même comme son père. Et d'un autre, côté j'avais quand même fait une crise de colère contre les mégères qui ne m'avait pas avertit de ce que je risquais en y rentrant.

Moi: Il voulait que je couche avec lui.

Sur le coup Aïssa ne répondit pas, son visage restait choquer. Et figer dans une surprise épouvantable.

Aïssa: Oumou....

Moi: Je sais que tu le prends pour ton père et tout. Mais il a réellement voulu couché avec moi, il n'a pas fait que le supposé... Il m'a même touché à certaine zone... Comme il pensait qu'on était seuls, je n'avais pas trop les moyens de me défendre et il tentais d'en profiter.

Aïssa: Il t'a violé!?

On dirait quelle était sur le point de pleurer.

Moi: Au moment où il m'avait enlacés, je lui ai mit un coup de poing entre ses jambes. Et je suis partie...