Choix... Horreur et Odeur d'Égout

Partie 11

L'histoire touche à sa fin. Juste avant d'entrer dans la phase finale que j'espère vous plaira bien. Je vous dois quelques petites explications suites à mes longs moments de non-publication. Cette histoire, je l'ai écrite en 2014. Après avoir passé des temps à prendre de la poussière dans un coin quelque part sur mon android, j'ai decidé après avoir découvert Wattpad de la publier sur cette plateforme vu que je ne savais que faire de celle-ci. 
Après quelques retouches que je jugeais nécessaire, l'histoire fut fin prête pour être publier. Et je me disais que, vu que c'etait un court texte et que tout a deja été ecrit et finalisé, j'allais la publier segment par segment selon la demande pressante des lecteurs. Mais je n'ai pas eu de lecteurs à avoir demandé une suite et je me suis laissé gagner par la négligence.

Et voila maintenant je me sors de mon trou, pour vous livrer le spectacle finale du macabre destin de Pyram Adhafi. J'espère que l'histoire vous a plus.

Sincèrement,

Eder Apollinaris S.

                                        ***

Certainement ma mort.

Je passai une semaine, dans la cave à manger des rats. Je ne sortais que la nuit. J'ai vu des choses dans ce cimetière (j’ai appris cela en découvrant le corps à moitié putréfié d’un cadavre) qu'on ne me donna pas la permission de vous en parler. Seulement je vous dis :"le monde n'est pas petit".  Je fus réduit à un squelette dont tout ce qu'il restait n'était que la peau.

Ils continuent à me rire. L’aigle plane nuit et jour au dessus de ma cachette. Ils disent que j’allais mourir toute seule. Je marcherai vers la mort de mon plein gré. Elle n’avait à me courir après. Je mange peu afin d'éviter ma mort. Je sors que le soir car je suis déjà marqué avec le sceau du Diable. J'évite tout ce qui me frôle, tout ce qui pourrait être à l'article de ma mort. En ce moment j'écris ces choses avec le peu de lucidité qui me reste pour vous conter mon aventure. Je vais mourir. Et je ne sais par quoi. La Mort a plus d’un tour dans son sac. Je me réserve au pire pour l’avoir défier pendant si longtemps. Je laisse ma tête aller contre la pierre tombale, un mal prenait naissance dans mes intestins. Immédiatement je sentis l’espace de la cave se réduire encore plus sur moi. La mort était en dedans de moi. Elle creusait sa route pour sortir avec un grondement qui ébranla les fondements de mon ventre. Mon sphincter anal se contracta pour l’expulser, La mort sortit avec l’odeur de pourriture, une haleine fétide qui me prend rapidement à la gorge. Je m’étranglais, l’odeur putride collée à la peau et à la gorge. Je manquai d’oxygène. Mes yeux se révulsèrent tandis qu’une voile rouge m’obstrua la vue. J’eus le temps d’apercevoir mes démons, c’était mon père, l’homme que j’avais tué, l’homme qui m’a rendu meurtrier et… Moi.

Bras tendu vers moi, ils m’emportaient loin de cette odeur qui m’achevait. Je levai les yeux et vis un grand ciel noir, faite de ce raz-de-marée d’inconscience qui s’abattait à toute allure sur moi ensuite ce fut la fin… le terminus de ma course.

À suivre...