Histoires Sombres

Partie I: Tristesse

Tous les soirs. Tous les soirs j'ai ce dégoût, ce dégoût profond dont l'origine m'as été longtemps inconnue. Maintenant je sais. Maintenant je sais d'où vient ce dégoût, ce stress constant, seul entre quatre murs j'écrit ces lignes. Ces lignes remplie de tristesse et qui regorge de ce fameux dépit. Ces lignes en lesquelles j'espère évacuer ce stress. Ce maudit stress que beaucoup connaissent, ce stress d'un manque de confiance en soi, d'un manque d'ambition et de goût pour la vie et ses plaisirs multiples. Ce stress qui envahi mon corps chaque soir et qui regorge d'idée noires et autres boules aux ventres en tout genre. Ce stress est souvent accompagné d'une puissante angoisse amenant à de multiples questionnement plus sot les uns que les autres, à des questions auxquelles si on y réfléchit trop les larmes montent et finissent par couler le long de nos joues. Alors on essaye de pas y penser, mais cette angoisse constante ne te quitte jamais. Jamais elle ne te lâche cette angoisse sordide et déprimante. « Que pensent-ils de moi ? » « Vais-je arriver à m'assumer ? » « Qu'ai-je donc fait pour qu'un tel ne m'aime pas ? ». Toutes ces questions, toutes ces foutues questions occupe mon esprit peut importe ma pensée, peut importe la foutue musique triste que je met en fond comme chaque putain de soir, peut importe l'heure ou mon taux de fatigue. Elle ne me quitte jamais. Ces questions sans réponses s'allie à mes faux pas des journées passées, ces faux pas qui sur le coup me paraissent plus benin les uns que les autres mais qui au final viennent me clouer au sol une fois le soir venu. Au final ces fameuses erreurs plus banales que les autres me font peur: « l'ai-je blesser ? » « a-t-il compris que c'était de l'humour ? » et autres craintes s'ajoute donc à mes questions stupides qui font monter ces fameuses larmes. Larmes qui telle une lame affûtée te déchire la peau tellement elle brûle à force de couler. Jamais elle ne s'arrêteront de couler. Jamais.