chapitre11

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Après elle m'a donné une dernière biz et elle est partie.
Mon homme est venu se coucher à côté de moi,je me couche sur son torse,et me blottis dans ses bras,en respirant fort son parfum,l'air heureuse ,mes jambes entre ses jambes, nos mains entremêlées, il me caresse les cheveux.

-dis moi,comment t'as fais pour savoir que j'essayais de me suicider,  qui t'as ouvert la porte, et qui t'as montré ma chambre ?

-lui:tu sais mon cœur, je n'ai pas besoin qu'on me le dis pour que je le sache,quand l'amour est véritable, sincère, unique et fort comme le nôtre, on ressent tout ce qu' à notre partenaire, sa joie,ses peines,pas besoin de paroles , aussi notre amour est trop fort ,il est incassable,interminable et inchangeable,et je te connais comme je connais ma poche,je sais de quoi t'es capable, et je sais aussi que t'es une grande cinglée quand tu veux,j'ai pensé à la possibilité d'essayer à te suicider,ou de faire une dinguerie, alors j'ai essayé de te rattraper,mais c'était trop tard,alors je t'ai suivie ,je t'ai harcelé de textos et d'appels mais tu ne répondais pas ,j'ai commencer à flipper, je conduisais,comme un attardé mental,quand suis arrivé, j'ai sonné à la porte, ta tante m'a ouvert sans la demandé je suis entré dans ta maison et je cherchais ta chambre j'avais du mal à la retrouver,car ta demeure est tellement grande que je pourrais m'y perdre,je ne te trouvais pas, alors je m'apprêtais à descendre quand des gémissements ont attiré mon attention, j'en ai déduis que c'était toi,et comme un missile je me suis empressé dans ta chambre,et il se tient la tête, en soupirant fort très fort,je t'ai vu couché par terre,continua t'il, et de la mousse sortait de ta bouche,tu m'as souris et tu m'as dis jtmeuuuuuuuuuuuhhhh, et ensuite t'es tombais dans les lambeaux, et franchement te voir dans cet état, m'a fais vraiment froid au dos,et j'ai réalisé que sans toi,ma vie n'avait plus de chance,t'es la seule capable à me comprendre, à me connaître, à me supporter,t'es mon soutien,mon amour,ma vie tu constitue mon TOUT,et j'ai eu l'impression qu'une partie de moi était entrain de s'en aller,de s'éloigner de moi,je ressentais un vide immense,je t'ai amené à l'hôpital,on t'a fait un lavage digestif,et il se lève quand le docteur m'a demandé je représentais qui pour toi, j'étais qui pour toi?,il me regarde, et continue, je lui ai dis que j'étais ton ma...,ton mari,dit-il en balbutiant, il guettait ma réaction, mais je ne laissais aucune expression apparaître sur mon visage,et je ne voulais pas mais je tenais tellement à savoir ce que t'avais et si ça te dérange j'en suis désolé et çà ne se reproduira plus jamais à moins que tu deviennes mienne,j'étais tellement heureuse, le fait qu'il à dis qu'il était mon mari,le fait qu'il se comportait comme tel, j'étais hyper heureuse,certains diront que ce n'est pas aussi spéciale,mais moi je répondrai que si,car ça montre qu'il tient vraiment à moi,que je représente et que je suis quelqu'une pour lui,ça était comme une baume dans mon cœur, je me suis levée, et j'ai pris ses deux mains,je l'ai regardé droit dans les yeux, et je lui ai dis.

-t'as pas à t'excuser, tu pensais que c'est ce qui avait de mieux pour moi,et tu ne t'es pas trompé, tu m'aimes, je t'aime,tu me soutiens,tu me comprends,tu me supporte ainsi que mes caprices,tu me conseille,tu me réprimande quand je fais quelque chose qui va à l'encontre de la norme,tu n'hésite po à me dire la vérité quand elle s'impose,tu prends soin de moi comme un bébé, tu me fais oublier tout mes soucis,ta bouche me procure autant de plaisir,tu m'aide à retrouver mon chemin quand je suis égarée, tu me connais, tu es capable de me faire passer d'une humeur à une autre,tu me traite comme une princesse,et tu me fais vivre une vie paisible comme dans les conte de fée, alors dis moi qu'est ce qui te reste,qu'est ce qu'un mari fait pour son épouse plus que ce que tu fais pour moi,y'a même bcp de choses que tu fais pour ma simple personne, et qu'un mari ne les fait pour sa femme?,alors qu'eux qu'ils sont liés par les liens sacrés du mariage,toi et moi,certes nous nous sommes po mariés mais nous nous comportons comme tel, car nous nous aimons et nous nous soutenons et nous nous comprenons mutuellement, physiquement,nombreux sont des couples qui ne partagent pas ces choses,combien d'hommes sont prêtes à tout pour leurs simples copines,qui leur prouvent à chaque jour que dieu fait, qu'ils les aiment ,qui les soutiennent,leur comprennent, qui prennent soin d'elles, au contraire, dans ces moments de détresse,ils en profitent pour fourrer leurs verres de terres là où tu sais,à profiter de leurs faiblesses et tout, mais toi tu es Toi,un vrai gentleman, un vrai Homme,ils pensent qu'être HOMME, c'est  l'érection d'assurer au lit,mais non,être homme c'est prendre soin de la femme qu'on aime, et de lui vouer protection,soutien,bonheur,.....,mais pour certains c'est un mot vide de sens,et toi tu m'aimes à ma juste valeur, et ce qui ne fait qu'augmenter mon estime pour toi,mon amour,je t'aimeuuuuhhhhhhh Mohamed Moustapha Niang,il m'écoutait  religieusement, je me suis rapprochée de plus, plus  près de lui, et je capture ses délicieuses lèvres roses,on s'embrassait tellement que j'en perdais le souffle, j'avais tout d'un coup chaud,mes mains se baladaient ainsi que les siennes,il se couche sur moi,on se dévorait tellement, il enlève mon haut,ainsi que  mon soutif tout en m'embrassant,une belle paire de seins toute fraîche,s'offre devant lui,et il  me les lèche un frisson d'enfer m'envahisse, j'étais surprise et j'avais peur aussi,il laisse ma poitrine,et descends à mon ventre,le même cirque,il caresse mes cuisses,et je gémis, je me suis rappelée de sa mère, elle pourrait bien nous attendre ,

-bb ar,arrê ....,arrêt...,arrêteuhh, dis-je difficilement, ta mère pourrait nous entendre,et j'aurais honte à lui faire face, mais on dirait qu'il ne m'entendait po,il était tellement concentré à me faire gémir de plaisir, ces caresse devenaient plus excitantes,plus osées, il me caresse mon point V,à travers mon slip,je gémis encore,je voulais me lever, l'arrêter, mais mes membres ne n'obéissent po,je voulais mettre fin, à cette passion envoûtante, à ce désir lascif,ma conscience me disait d'arrêter, mais mon coeur ainsi que tout mon corps me disait le contraire, ses mains devenaient de plus en plus baladeuses,il se collait à moi,et je sentis son mini Mohamed, se pointer, il enlève mon slip,et d'un coup,je me lève comme une automate,

-je pense qu'on ne devrait po faire ça, en détournant le regard,je ne savais où me mettre tellement que cette situation m'exaspère,dis-je en ajustant ma robe,

-lui:excuse moi mon amour,je suis l'homme et même si ce n'est po l'envie qui me manque,je devrais me contrôler, et ne po céder à la tentation,mais tu sais à ce moment, j'avais ma raison,mon esprit ma conscience dans mon pantalon,qu'on ose se dire la vérité, on s'attire comme l'aimant et l'acier, on a du mal à se retenir ,on s'aime, on se désire,on veut être ensemble, alors je ne sais qu'est ce qui nous empêche de nous lier à jamais avant qu'on ne commette l'irréparable, l'incorrigible, car je te désire tellement,et je ne pense po tenir encore plus longtemps,dit-il en me regardant dans les yeux,j'aime quand il me regarde comme ça en me témoignant tout son amour.
Je ne dis rien et le regarde,il attend sûrement une réponse de ma réponse de ma part,mais franchement je ne sais quoi répondre.

-lui:je ne veux te mettre quelconque pression,mais je veux me caser,et je sais que t'es la femme qu'il me faut,ne te précipite po,prends tout ton temps,je te laisse y réfléchir,et j'espère que tu prendras la bonne décision, et sur ce bonne nuit ,repose toi bien,jtm il me fait un bisou sur le front et s'en allant,je me pose sur le lit,et je repense à ce qu'il vient de dire.
Je me posais tant de question du genre.
Suis-je prête à m'engager dans cette vie à deux?
Serais-je à la hauteur pour gérer mon mariage?
Serais-je une bonne épouse ?
Je me suis endormie vk toutes ces questions.

Cc mes chères lectrices, je m'excuse vraiment pour les fautes,j'essaie de les éviter comme je peux ,écrire c'est po facile dh.

Un Amour ÉpineuxOù les histoires vivent. Découvrez maintenant