! Couverture réalisée par @AuroreCht !
Ce livre contiendra, comme indiquer dans le titre, des imagines sur James Buchanan Barnes uniquement.
Il s'agira uniquement de traduction donc les textes originaux ne seront pas de moi mais vous aurez pour cha...
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Tes yeux s'ouvrirent, toujours pleins de sommeil. Tu as t'es étiré un peu, redressant tes jambes. Tes membres étaient douloureux et raides par ce qui semblait être de la fatigue. La lumière du soleil filtrait depuis la fenêtre de ta chambre, rendant les draps plus blancs qu'ils ne l'étaient et donnant à la pièce une lueur douce.
C'est à ce moment-là que la nuit précédente t'as submergé par petits flash-back. Ton nez sentait encore le sueur et le sexe, l'air était encore lourd. Ta peau encore picotée par son toucher, et tes oreilles résonnaient encore au son de ses gémissements et des ses grognements. Tu as laissé échappé un souffle et tu t'es assise, le drap tombant pour révéler ta forme nue.
Tu ne pouvais pas y croire. Une année à te languir, à le désirer et tu as couché avec Bucky Barnes. Tu as regardé le lit vide à côté de toi, plaçant une main sur l'espace pour le trouver froid. Il était parti il y a déjà quelques temps.
Ton cœur avait mal à cette pensée. C'était toute la confirmation dont tu avais besoin. Bucky ne voulait rien avoir à faire avec toi. LA nuit dernière avait été une erreur pour lui, tu en étais sûre. Et tu étais encore plus certaine qu'il ne voulait plus jamais la répéter.
Tu voulais te sentir heureuse. Tu voulais rejouer, encore et encore, tout ce qu'il c'était passé la nuit dernière et tu souris en espérant que cela ce reproduise. Mais tout ce que tu ressentait était un vide qui faisait écho. C'était tout gris.
Tu ne pensais pas que tu pourrais te sentir plus nul jusqu'à ce que tu sortes de ta chambre pour trouver tout tes amis réunis dans l'espace de vie. Ils étaient comme ils ont toujours été après une des fêtes de Tony, à moitié mort et encore un peu ivre. Ce sont dans des moment comme ceux-là que tu étais heureuse d'avoir du sang mutant dans tes veines.
Bucky ne t'as même pas regardé pendant que les autres marmonnaient leurs enfer. Il resta silencieux, ses yeux te regardant brièvement avant de retourner à la vue de la fenêtre. Ton cœur s'est serré à son action. SI tu étais à moitié aussi ivre que le reste de la bande, tu aurais douté que le nuit dernière soit arrivée.
Mais tu étais sobre, et lui aussi.
Était-ce juste la chaleur du moment ? Avait-il juste besoin du confort d'un corps chaud pour une nuit ?
Était-ce tout ce que tu avais été ?
Il était clair que c'était la réponse à toutes tes questions.
*********
« Okay, on est à l'intérieur. » Tu as gardé la voix basse alors que tu te glissais dans la pièce par la fente étroite de la porte. Tu as entendu Sam et Bucky suivre, mais tu n'as pas regardé derrière toi. Tu as gardé les yeux grands ouverts, entraînés devant toi et prêts à agir au moindre signe de danger.
Steve et Tony marmonnaient quelque chose dans ton oreillette et tu l'es écoutaient une seconde. Tes yeux se sont rétrécis alors que tu ressentais une sensation étrange dans ton dos.
« Quelque chose ne va pas. » Sam exprima tes pensées et tu hocha la tête.
« C'est trop silencieux. »
Bucky recommença à avancer pendant que tu restais immobile, cherchant le moindre mouvement, un grincement, un bruit sourd.
Tu as suivi sa stature de tes yeux alors qu'il avançait dans la pièce, se tenant entre deux tables et se tournant pour te regarder.
« Je ne vois rien qui n'aille pas. »
C'étais juste un coup d'œil, un clignotement d'un feu rouge, et tes pieds se mettaient à bouger, courant vers Bucky. Ton corps est entré en collision avec le sien, le faisant trébucher dans un placard ouvert. Il y eut un clic, puis un bruit assourdissant, plus fort que tu n'en ai jamais entendu. Un mur de feu a claqué à tes côtés et t'as fait volé, jusqu'à ce que ton dos soit entré en collision avec le béton et que ton corps se soit écroulé. Tes oreilles ont sonnés, noyant tous les autres bruits. Ensuite, tout était noir.
*******
Cela faisait une semaine que l'explosion avait eu lieu. Une semaine depuis que Y/N était à l'hôpital. Les machines bipaient et sonnaient, annonçant qu'elle était encore en vie. Mais ses yeux restèrent fermés, peu importe combien Bucky essayait de les ouvrir. Il était assis à ses côtés chaque jour, la suppliant silencieusement de se réveiller, de le laisser la voir sourire et rire à nouveau.
Tout était de sa faute. Elle l'avait poussé de côté et pris le plein impact de la bombe. Sa composition unique l'avait sauvée, mais personne ne savait quand ce coma prendrait fin. Si ça devait arriver.
Bucky était encore de remuer, essayant toujours de se faire à l'idée qu'elle avait si facilement donner sa vie pour la sienne. Depuis qu'il avait retrouvé ses souvenirs, il avait lutté pour vivre avec lui-même et tout ce qu'il avait fait. Il s'était qualifié d'indigne, d'irrécupérable, et il avait essayé de rester aussi loin que possible de quiconque.
Jusqu'à elle. Il a pris soin d'elle et elle a presque perdu la vie.
La main de Bucky tremblait alors qu'il tenait la sienne, plaçant sa tête sur le bord de son lit. Il avait presque perdu la chose la plus précieuse pour lui. Elle flottait, au bord de la vie et de la mort. Il pourrait la perdre et elle ne saurait jamais combien elle comptait pour lui.
Elle ne saurait jamais à quel point il était amoureux d'elle.
« S'il te plaît, réveille toi. » Bucky sentit sa voix craquer. « Je ne peut pas faire ça sans toi. Je peut pas vivre sans toi. Je t'aime trop. S'il te plaît ne me laisse pas. »
Il n'aurait pas dû être déçu quand ses mots se sont tus, mais il l'était. Il soupira et enfonça sa tête dans le matelas, souhaitant pouvoir disparaitre complètement.
Il sentit sa main se serrer.
Cela a fouetté sa tête avec une telle force qu'il en presque sentit le coup. Mais il s'en fichait car elle était là. Des yeux larmoyants fixèrent les siens, sa main serrant les siennes à plusieurs reprises.
Bucky émit un bruit étouffé et se rapprocha du lit, son visage à quelques centimètres du sien.
« Je t'aime aussi. » Sa vois était enrouée, probablement par manque d'utilisation, mais cela ne faisant aucune différence. Elle le pensait. Il pouvait dire qu'elle le pensait.
Bucky ne réfléchit pas à deux fois quand il appuya doucement ses lèvres sur les siennes, sentant ses propres larmes venir. Elle l'a embrassé en retour. C'était chaste, pur et doux, l'exact opposé de leur soirée d'il y a quelques semaines. Mais c'était parfait et il ne l'aurait pas voulu autrement.
Comme vous avez pu le voir j'ai pas posté mercredi parce que j'ai des problèmes d'ordi. Je ne plus rien faire sur Word je peux même pas modifier un texte déjà écrit donc voilà c'est la merde et ce chapitre est le dernier que j'avais en stock donc je ne sais pas quand sera poster la prochaine partie.
