Sous-partie I : Le NoirIl est de ces jours ténébreux
Où tout n'est que noir et tristesse
Mais paradoxalement ce qui me rendus moins heureux
Ce fut de devoir dire au-revoir au Noir"Tout est relatif", phrase de sagesse
Car c'est la "lumière" qu'il me laisse qui, mon quotidien, assombrit
Oui c'est bien elle qui me le fait voir
Lumière aveuglante
Qui ne me laisse contempler qu'un vide infini
Qu'une absence latente
Ah froide et obscure nuit
Que m'a tu laissé seul en le désert de ma vieDésormais il n'y est plus que soleil, chaleur accablante,
Me transperçant, de ses rayons semblables à des aiguilles
Darder inlassablement sur ma peau
Ah qu'il me tarde que tu revienne
Pour m'éblouir de ta brillante obscurité, de nouveau
Car au final ma peine est aussi un peu la tienne...Désir :
Je te veux à portée de mon regard
Je suis sourd de l'appel du désir
Et donc n'ouïe celui du devoir
Je ne veux que faire vibrer mon corps de plaisirMourais-je pour cette passion ?
Brûlerais-je au contact de ce feu ?
Serais-je consumé par mes pulsions ?
Qu'importe si j'exauce mon vœu !
Passion de laquelle émanera douce et infinie,
Elle s'échappera en d'inégaux râles,
La mélodie du plaisir , mélodie du Paradis
Pour désir infernalJe veux te sentir contre ma poitrine
Veux-je me brûler de ces flammes
Je veux sentir le souffre de tes narines
Veux-je fusionner nos âmes
Je veux m'insérer en ta matrice,
Effectuer et sentir mille contractions
Tel un astre, ô Soleil je sens ta traction
Entraînant collision, et nos 2 corps se mixent
Enfin, pour éteindre toutes ces flammes
En un ultime effort veux-je me vider
Envoyer en toi la pluie bienfaisante et vivifiante
Concluant ainsi nos jouissances exaltées !!Sous-partie II : Ami
Ah très chère que tu m'es précieuse
Mais que tu es capricieuse
In facto suis-je passionné, suis-je apeuré
Naturelle et magnifique ta voix m'a tant marqué
Attiré d'abord par elle je découvris ensuite ton esprit
Tant il est intéressant de tout ton être me suis-je épris
Alors ai-je besoin de te voir, ai-je besoin de toi mon Ami...Sous-partie III : Darielle
Chère Darielle,
Il faut dire que notre relation fut ambiguë
D'abord je pensais que je t'indifférais
Puis que tu me détestait, enfin que tu m'appréciais
Mais je peux affirmer que pour moi t'es devenu
Un être chère à la personnalité décalée
Au final on se ressemble. sans doute
En effet si t'es si bonne comme fille
Et si moi je suis un être si sexy
On le doit tout deux au "workout"
Et au aujourd'hui j'ai la joie de te compter
parmi mes bonnes amitiésTu m'as souvent semblé lunatique
Un coup rieuse, un coup nerveuse
Parfois, sympathique, parfois apathique
D'abord tant ton attitude fut curieuse
Puis un jours tu te confias à moi
Dès je vus en toi,
Toute la beauté et la complexité
Maintenant avec toi je peux communiquer
Et même de t'appeler "femme", je peux oserO toi jolie fille intelligente
Désormais tu t'en vas, tu voyages
Mais sache que je conserve toujours cette image
De toi, du Grand Einz et de Enzo junior
Car l'avenir est chose intrigante
Du fait que Mïa redevienne l'Amie
De la nuque je l'espère encore
Ainsi que le choses se fassent au plus vite
A vite revenir chez nous je t'invite !!!Sous-partie IV : Soleil
Sans elle je serais encore dans les noir
Où je demeurais avant de la voir
Loin de connaitre la sociabilité dans ma vie
Et puis elle vint, m'éclaira sur l'amitié, cette merveille,
Non sans elle je n'aurais été sauvé
Elle est mon alter-égo, ma meilleur amie,
Enfin c'est par elle que désormais je vois, elle est mon Soleil
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Muses
PoetryEn cet oeuvre je vous livre au travers de poèmes mon expérience avec le beau, l'esthétique, l'élégant, le génie... en bref avec les femmes qui font ma vie, les femmes qui m'inspirent je dit bien femmes et pas "filles" car, bien que toutes lycéennes...