Magnifique, mécanique parfaite
Argile, ô si bien pétrie
Rare, rare sont les filles
Comme elle aussi bien faite
Étrange sensation ai-je, mais
Linéaire, élégante, belle
Linéaire, intelligente est-elle
Irréelle mais charnelle elle fait
Nourrir à mon cœur maints noirs désirs
En effet parfois pour elle mon frère j'ai vu mourir.
Marcelle :
Ses yeux, yeux par lesquels je vu son âme
Âme laquelle embrasa mon cœur
Cœur lequel parti en flammes
Flammes lesquelles brûlèrent tout mon heur
Heur lequel renaquit en son sourire
Sourire lequel seul m'enivre
Ivre je deviens lorsque je vois ses lèvres
Lèvres lesquelles des baisers me délivrent
Faisant galoper mon cœur tel un lièvre
Oh ! Mais que dis-je ?
Damnation sur moi, mais pourquoi ?
Suis-je épris de l'amante de cette "tige"
Mon frère, mon ami à moi
Du jour je suis indigne
Vais-je trépasser
De la mort je sens passer l'étreinte glacer
Déjà vois-je de l'Enfer les signes
Mais ça en vaut la peine, je le crois
Belle elle est, amoureux je suis
Combien même passerais-je de vie à trépas
En mon cœur demeurera cette fille
Femme intelligente, femme passionnante
Dans tes mensurations
Que tu es élégante !
Femme excentrique, femme intrigante
Mourrai-je pour cette passion
Car tu es une veuve noire
Ô femme africaine, toi femme noire...
Elle :
Ses yeux, yeux par lesquels je vis son âme
Âme, laquelle embrasa mon cœur
Cœur, lequel parti en flammes
Flammes, lesquelles brûlèrent tout mon heur
Heur, lequel renaquit en son sourire
Sourire, lequel seul m'enivre
Ivre, je deviens lorsque je vois ses lèvres
Voulant goûter à ce sérum venimeux
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Muses
PoesíaEn cet oeuvre je vous livre au travers de poèmes mon expérience avec le beau, l'esthétique, l'élégant, le génie... en bref avec les femmes qui font ma vie, les femmes qui m'inspirent je dit bien femmes et pas "filles" car, bien que toutes lycéennes...