Muses

Muse 7 : Ytou

Ytou :

Quel bel instrument que le papier

Il est beau, simple et discret

Je peux venir y déposer

Tous mes désirs secrets

Un jour je suis rentré en PS

Et ce pour la troisième fois

Mais cette fois je vu une déesse

Qui naguère n'était pas là

Elle était petite, l'air fier

Véritable pépite, aurifère

Des yeux d'orient si intenses

Et ces lèvres... délice pour mes sens

Et quand la 1ère fois sa voix j'entends

O seigneur, mais quel son

En mon cœur, que de vibrations

Charmé comme par enchantement

Et lorsqu'enfin je l'efflore,

Que de tendresse et douceur

Sa peau est semblable à du beurre

C'est du lait qui recouvre son corps

Comme venu d'une autre dimension

D'elle, émane un cosmos, arôme

Chargeant l'air d'une grande tension

Électrique, par sa présence la classe embaume

D'y gouter m'a plusieurs fois traversé l'esprit

Mais je n'écouterais ce serpent

C'est un fruit défendu, et je ne veux de ces paradis,

Qui brûleraient nuuma raison

Petit être étant surtout passif

N'actant que par son imagination,

Et que par sa sœur au mode de vie intensif,

Cette procuration, lui procure cette admiration

Elle vit mais, son existence n'est en affirmation

Qu'à travers récits bien fait,

Son imagination est en ébullition

A l'image son corps en chaleur

Lorsque ces écrits la pénètrent ce qui fait :

Cytosine, dopamine, euphorie... affolant son p'tit cœur

Petite lionne, forte de son caractère

Beaucoup voudrait la faire reine

Mais elle veut elle-même faire son règne

Femme affranchis, à la Django, libre telle l'air

...

Ps : y aurait tant eu à dire sur cet être, mais entre Avril 2019, date à laquelle j'ai commencé ce chapitre, et maintenant tant de choses ont changé. Les gens mentent, l'humain est égoïste bref... Je crois en avoir fini ici... Je vais commencer une new oeuvre dans le même genre...