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Un jour, une lame.

Je me sens mal. Mon cœur ne répond plus au battement rythmique d'une batterie mais mes yeux eux signale toute la tristesse approuvé.

Je ne peux pas dire que je me sens mal, aux gens qui m'entoure des leurs bras griffé.

Je vois cette eau devant moi et aussi posé sur ma chair. Je suis assis tout devant pour admire la scène, de cette mer douce sans violence. Bizarrement la mer et calme alors qu'une épée est sur ma tête. Les reflets qui si glisse bouge au sons de la marée, des nuages, des arbres, des bateaux, tout bouge sauf moi qui ne peux plus avancer. Je suis rester planté au statue d'une plante morte, je suis déracinés.
Mes espoir, mon rêve, mon âme, mon amour est parti. Je n'est plus rien. À part l'impression d'avoir une vie comme un fruit de 10 ans, pourri et répétitif, puisque son concept résume à naître, être cueilli et à être manger tout comme moi à naître, être cueilli pour être puni et manger par les abysses.

Tout est si compliqué alors qu'il a une solution simple. la mort. Celui qui décide cette voie par choix n'est pas lâche, il est juste emprisonné avec le diable qui a enfin s'essaie les souffrances. C'est pareil pour ceux endurant la douleur et qui ce mutile sauf qu'ils ont peur de la mort, pour le moment. Un jour viendra où toute personne connaîtra la tristesse absolue. Ce pouvoir n'est pas désiré mais il hante bien vaut penser. Même le plus heureux sur cette terre confrontera le malheur. Il peut sourire le plus sincèrement possible, il n'évite pas ce passage du démon. C'est comme la mort, impossible à enlever aux règles de la vie.

On dit souvent l'a des hauts, l'a des bas mais on n'est pas une montagne pourtant et surtout ils y en a qui ne revienne jamais des basse hauteur.
Je ne crois pas en dieux vu que je ne vois pas c'est miracle venir mais je me demande quand même pourquoi il a créé ce bâtiment enfuis au sol, tapissé de rouge et de noir avec seul but de te haïr.
Je n'aperçoit plus le bout d'une sourire charmant mais celui de la fille qui pleure se représente toujours dans mon miroir.

Les couleurs existe t'il vraiment ? À part celui du sang verser par les gens mes yeux ne voient plus. Mes oreilles eux entende bien par mon insu, je ne veux plus écouter ces injures prononcer que pour mon seul nom.
Cela pique tout mes organes et eux veulent qu'une chose. Une dernier souffle. Il rêve du paradis, l'a ou blancheur resplendis, ou les fleurs fleurissent, ou la mort peu s'appeler une vie de paix.

Mais je ne peux pas...

J'ai des choses à faire encore.

Le malOù les histoires vivent. Découvrez maintenant