3.

42 7 0
                                    

Dans la vie tout change.

  Pourquoi ?

Je ne peux répondre, je ne suis qu'une mortelle enchaîné. Je ne connais les lois du monde souterrain. Je me pleins toujours mais je n'agis plus. Je me débattais, par pitié disais-je mais maintenant tout change. Je ne répond que par des beuglement d'affliction. Je ne me suis jamais vue ainsi, avec une pluie abondante d'engloutissant sur ma peau  tacheté de cicatrices. Elle a était marqué par les personnes qui n'a le souhait que de voir les tourments d'une fille d'à peine seize ans.

Je n'ai pas pris l'habitude de cette impure flamme ardente et trépidante. Aussi, qui pourrai prendre en colocataire le mal, qui sinon autrement !

  Le mal résigne dans le monde et engouffre les gens sans demandes. Cela n'a qu'une règle, amusé la galerie.
Si je devrais être un musée, il serait casser de l'intérieur et ces œuvres serait que cette empreinte charnel que j'utilise et qui s'use à force d'être rudoyer. Les visiteurs mineurs regarderaient avec leurs visions d'adultes, et les majeurs agiraient avec leurs manière de grands. Ils auraient trois entrées se trouvant toute à des niveaux différents. Les murs bien courbaient et attachaient entre eux. Le sol bien douillet pour le plus de plaisirs à chaque élans. Et tout sera répétitif comme une boucle temporelle que tu peux échapper. Ils savent te guidés et utilisé les bonnes clés. Ils enseignes là méthodes de m'appâter avec des mots qui doivent être rassurent et aimant.
   Un mot et difficile à cerner, comprendre mais certains sont si imposant qu'il nous frissonnes d'un coup de corde vocale. Ils ont plusieurs sens mais une catégorie n'en a qu'une et nous pétrifie. Un mot peux nous détruire au plus profond de nous et nous rendre dépressif ou même agressif. D'autres ont le pouvoirs de guérir les failles agrandi et imaginé par ceux qu'ils m'appelle la "plus" désirer; d'une voix rocailleux.

Je suis comme une princesse autour d'une tour.

L'impression de pas pouvoir bouger, s'exprimer, avoir d'autres émotions que la tristesse. Mais ça voudrais dire que mon prince part le plus petit dès hasard serait jamais à ma fenêtre et à m'aider. N'aurait jamais emprunté dans le sombre chemin la voie qui m'élèvera vers le pays au dessous de ma tête. Que nul ne pourra me tirer la corde jaune. Celle de dieux et de la bonté. Celle d'un avenir sain et sans problèmes.
   Je me demande que sont ce avec la bénédiction d'avoir ces mots et leurs doigts chaleureux. Je peux qu'avoir des injures si l'obésité nul n'y était. Ils me détestent mais adore le savoir en l'écrivant sur tout plateforme existantes que l'on peut effleuré de nos mains pour plus de sensualité du mauvais. Comme le papier, coller au mur. Leurs manières la plus belles de s'engager et m'humilier dans ma colère.

    Enfaite à quoi ressemble mon existence, s'y nul ne m'aime ? À part l'ange déchu il me reste que ma pensée traficoté par les emblèmes dure. Ils ont tous un goût âpre dans les lèvres. Personnes ne peux s'en n'empêcher de me dénaturer alors que j'ai rien réclamer. Il me reste donc personnes. Ma mère elle n'a rien vus quand la surprise de ce don est venu. Mon père quand à lui n'est plus de bas monde et en est sortie en lâchant prise. Il n'avait jamais eux une grande force, comme le psychologue l'avait dit il était abandonnique. Une fragilité, un besoin d'être rassuré tous ça quand ses parents son parti de leurs monde. La mort nous attrape sans qu'on y aperçoivent une lueur d'une famille. Le plus dur et passer mais le résultat, le rêves a était accomplie mais moi encore jeune ne voyais que le bout du soleil à l'établissement et le bout de la lune quand je rêvais dans le noir, n'a pu réussir d'avoir que des remords. J'ai pu fantasmé quelque année et d'un coup brute tout c'est vite arrêter.

Je veux souvent pendant les petits instant seul, savoir pourquoi m'avoir choisi moi ?

Le malOù les histoires vivent. Découvrez maintenant