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Ont ce jugent tous ses dommage mais ont joué tous le jeu, ce qui peut mené si pieds sous terre.

L'enfer je voulais en sortir j'ai voulu brûler mon cœur . Tu comprend je voulait que c'est dernier coup dans mon cercueil cesse cette vie.  Je ne connais plus les temps, mais lui me connais et m'étripe. Je connais plus la lumière étincelante dans le font de mes pensées. Je ne ressens que l'amour non avéré de ces personnes sans sens.  L'odeur de agissements ne sent pas si mauvais, mais les actes sont horriblement dégoûtant.

La vie est triste surtout dans mon cas insolite. Je ne peux respirer dans des moments où le soleil devient nuages. Un jour je serai plus la à cause de ces déchets instruit sur ma peau si pâle que le fantôme. Je suis piqué par les organes de la vue, les organes quand des nerfs en tout genre sont la. Tout ces souillure se propage de jours en heures tellement que ces devenu un quotidien aussi dégelassent que le sang de plusieurs nuit sur une toile blanche devenu marron par ces goutte coulante.

La belle mélodie cardiaque qui réjouis les personnes les plus aimantes quand ils apprennent qu'elle bat toujours et comme avant me donne plus en plus envie de vomir. Pour moi qui sera là si je m'en sort ? Qui sont mes personnes tombées du ciel pour embrassé les blessures causées ? Je n'en pourrai en avoir en restant bloquer sur la chaise de mon jugement. Qui me dirais «S'il te plaît ne pleure pas tu me fais déjà sourire» avec une voix aussi belle que le coucher de soleil qu'on entrevoit à la venu de la nuit et des étoiles. Je peux voler avec une personne me tenant la main pour la plus grandes gentillesse. Je ne vies qu'avec de manipulateur obsédé que par leurs besoins.

Ont ma élevé correctement et tout part en fumer avec des simples représailles. Vous m'aidiez à ma relever mais maintenant je me retrouve toujours tirais vers le bas sans corde à ma venu. Je peux dormir sans le cauchemar de sa vie imprégniez en la mienne. Vos mains son non pure mais pourtant intacte et empoisonné pour vos actions contesté par la loi si bien aimer. Certains ne répond pas à cette vie et décide de contressai les limites de l'impossible. Je peux pas répondre à la question que je me pose depuis le plus court instant du début de cette histoire, pourquoi ? Et pourquoi pas va ton me dire. Et je ne peux répondre à cela mais je peux le dire que ton personnel avec un dignité et vie parfaite ne fera rien de ce genre.

Je veux danser de toute mes forces qui sont à leurs limites et non danser l'horrible danse qui me dégrade. Je dois me répète mais c'est mon habitude quand je n'aime pas une situation des non amusante. Alors oui, je crie, je crie de colère divine et implore pardon par vous, destin de la vie. Exaucer mes veux les plus grand. Cela fais déjà des années pour moi que je vous attend, vous les gens en bleue venir me délivrer. Mais je ne vois personne passer cette porte, la seule qui peut être une entrée. Je veux voir votre beauté. Et mes yeux couleront de joie. Je ne veux plus vivre cela. J'en suis consciente tellement que j'en est mal. Pourtant vous au regards des gens des protecteurs et des dangereux, ils mettent les méchants derrière la barre alors qu'ils en a comme moi qui sont toujours avec leurs agresseurs et devienne nos dresseurs. On reste effectivement au bout de notre laisse.


J'avais des passions, des parents, des amis, une vie banal mais agréable. Je pensée pas que ça m'arriverais. Ça est allé si vite que j'ai pu réagir comme je voulais. Je surgis désorienté. Encore et encore. Je peux empêcher la cascade qui devient rafale et emporte les vies sans défense. Elle est des plus forte que j'ai vue descendre vers les sombres chemins.

Je peux promette que je succomberai pas, je me vide de l'intérieur et l'extérieur. On peut reboucher les trous causer part le désespoir qui ressemble au feuilles d'un arbres qui noirci au fil des années passées à les regardé tomber. Je veux défiler la pente qui m'emmène vers la colombe qui s'élance dans les forêts. Alors s'il vous plaît, achevé moi d'un coup frais qu'on n'en finissent sans faire de chamaillerie. Mais un soir de décembre la petite fille que j'étais se demandé si elle allait devenir là meilleur princesse musicienne du monde mais maintenant c'est rêve d'enfant , comme les autres se sont volatilisait à jamais alors je prend mes ailes et m'envole vers la paix. Pour qu'on m'embête plus avec ces mauvaise conneries des moins gaie, que je hais.
Une chose à dire:

Je n'en peux plus que quelqu'un m'aide !

Le malOù les histoires vivent. Découvrez maintenant