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Je suis dans un monde étrangers.

Je suis né sur cette terre mais j'en suis rejeter par tout les vents violents qu'il existe. Les éléments se déchaînent rien pour une personne qui ne mérite plus rien, moi.

Le diable n'en a pas fini de me voir pleurer nuit et soir ?! Il est toujours obligée d'aller trop loin rien que pour satisfaire sont besoin. Sur ce monde d'inconnus violent, arrogant et rare ceux avec une sagesses, il n'avait pas assez de choix monstre à torturés ici qu'il à fallu que le sort s'imprègne en moi. Je sais que je dis que ce sortilège s'abat sur toute formes de vie mais pourquoi l'en a qui souffre plus longtemps que les autres esprits ?
Je sais que je ne peux abandonné, je sais que je ne peux parler, je sais que je ne peux agir, je sais surtout que je peux qu'obéir aux ordres devenu affolé si aucun n'est fait.

Je suis une poupée, aussi inexpressif et belle. Surtout aussi fragile que dû polystyrène. Un coup encore et un crie partout. Ces hurlements sont restreint et je me retrouve abasourdis par les bruits qui les entoure.

Je ne peux rien.

Je me demande encore pourquoi je pleure. À quoi bon sangloter si aucun progrès n'est avancé.

Je me retrouve seul, encore... Dans une solitude, cette froideur se propagent indéfiniment en rappelant là chaleurs des ces souvenirs me traversant. Mon regarde ébène commence à perdre ça dureté. Les éclats qu'on y voyait avant se sont perdu en chemin du labyrinthe qui est un tracé sinueux, muni d'embranchements, de beaucoup d'impasses et de fausses pistes, destiné à perdre mon âme qui cherche à s'y déplacer.

Ma vie d'avant était remplie de couleur variés et ce distinguer toute les une et les autres mais à cette instant même la rose la plus flamboyant n'a pas résister et à succombé dans les abîmes. Tout mon être ce recouvre de cette texture sombre. Mon énergie si pure, ce transforme.

       Y a-t-il une autre présence dormant dans mon essence ?

Je suis rongée, fatigué de cette réalité. Je ne fessais que rêver et m'en volé  mais les chaînes dû destins mon rattrapée et projeté au sol d'une force titanesque. Je ne peux que déchirer les espoirs passée et ouvrir les yeux et arrêtée de m'émerveillais.

J'ai l'esprit brisée, mon corps écorché. Je me sens étouffée de ce sang exposé. Les pieds et mains liés je cherchée la véritable fin de mon avenir. Marcher est devenu impossible.

Je suis indiscernable avec ces tâches bleuâtre sur toute la chair pâle. Pour la terre je suis transparente mais quand ils s'agit de maltraitance tout les regards se retourne que sur une figure.

Je renonce à me regarder.

Ce monde est insensée et cherche à me punir avec cette voie toute tracée ?! Je suis tombée bien trop bas pour supplier de remonter. Je me sens prisonnière et c'est ce qu'il veux me faire sentir. Deux entiers entremêlés,deux entier écorchés.

Le droit vous les connaissez pas !

Je demeure altérée, je ne voulais pas changer. Déliquescence mais florissant dans l'obscurité. Je ne peux que laisser les gens décelé mes parties bien caché  me taire à jamais. Au beau milieu de l'impasse où l'on nous a rapproché la colère à surgir et mon avenir était déjà arraché à mes mains, que je tenais avec un fil souriant, devenue un fil

mal...

Le malOù les histoires vivent. Découvrez maintenant