Que de beauté et de grâce devant ce ballet de géant.
Elles glissent comme de la soie sur le corps bleuté de l'océan, traînant derrière leurs longues nageoires, des billes de filants faisant scintiller, par millier, le blanc écumeux des vagues.
On ne voit nulle part ailleurs de pareil tendresse que dans l'iris voilée de ces souffleuses d'écume.
Elles leurs puissantes nageoires et vous frôlent à peine, collant à votre peau nue, un délicieux parfum de sel.
Les hommes jalousent leur divin Royaume,
C'est êtres cupides vivent dans la haine et la soif de sang,
Quand ces souffleuses d'écume, elles,
Dansent et chantent au grès des océans.
E.D
VOUS LISEZ
Recueil de Estelle
PoetryUn jour, un vieil homme m'a donné ce carnet et m'a dit " Écris avec ton cœur". Depuis, je lui rend hommage en écrivant. 1 er poème : 3 eme prix du concours International de Poésie En Liberté /!\ Je n'ai jamais osé publier mes poèmes, car je n'est...
