« C'qui brille sur ta main veux dire que tu m'appartiens »
Partie II
La musique que j'ai choisi pour mon entrée à la mairie de fit entendre je m'avança donc vers l'entrée et vit tout les invités se lever.
Par stresse ou simple pudeur je n'ai pas osé regarder droit devant moi pour pouvoir poser mes yeux sur celui avec qui j'allais être uni jusqu'à la fin de notre cours séjour ici bas.
Mon Papa et moi s'avancions doucement vers le maire et une fois à son niveau mon père passa mon bras dans celui de Jawhar.
Jawhar me regardait le sourire au lèvres, un sourire que seul Dieu pourrait lui enlever.
Il était si émerveillé et ému face à moi que sa m'en a même rendu mal à l'aise de ne pas l'être autant face à lui.
Je ne l'avais pas encore regarder dans les yeux plus de 5 sec parce que je sais que sinon mes larmes allait monter et ce n'est pas le moment là.
Le maire commença tout son spitch pour en venir à la phrase suivante.
Le Maire : Monsieur Jawhar, Gabriel Boughalmi, consentez vous à prendre pour épouse Mademoiselle Zaïnab, Ajar Ould Kaasi ici présente ?
C'était grave pas le moment de rigoler ni de se déconcentrer mais dès que le maire prononça le prénom « Gabriel » je manqua de pouffer de rire devant tout le monde.
Moi je savais pas que monsieur s'appelait Gabriel ! Alors là ! Sa va tout changer !!
Jawhar : OUI !!
Les invités se mirent tous à crier, youyouter ( Oui j'en ai fait un verbe ) et rigoler.
Moi j'étais encore dans mon fou rire silencieux
Jawhar : *chuchotement* tu rigole je t'éclate devant tout le monde
Cette phrase m'a encore plus donner envie de rire parce que à cette instant je me suis imaginer en train de tomber devant tout le monde et comme une hmara j'ai tout lâcher et j'ai rigoler.
Merde alors ! Au moment où je me suis mise à rigoler comme un ogre les invités avaient déjà fait le silence, putain la hooooonte.
Jawhar : *doucement* bien fait !
Tout le monde rigola, même le maire.
Le Maire : C'est très joyeux ici dites-donc...
Alors Mademoiselle Zaïnab, Ajar Ould Kaasi consentez vous à prendre pour époux Monsieur Jawhar Gabriel Boughalmi ici présent ?Moi : Oui !
Un sourd apparemment : ON A PAS ENTENDU !
Moi : OUII !
Et les cris de joie se remirent à fuser dans la salle.
Le Maire : Par tout les pouvoirs qui me sont conférés je déclare Mademoiselle Zaïnab et Monsieur Jawhar ainsi unis par les liens sacré du mariage ! Vous pouvez embrasser la mariée.
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Tout N'est Que Meckthoub...
General FictionTome II de : « Mon Destin Était Déjà Tracé... »