Chapitre Vingt-trois

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Rania Akrour

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Rania Akrour

Le visage fatiguer du grec se baisse vers celui de ma grand mère et un faible sourire se forme sur ses lèvres. Il la prend automatiquement dans ses bras et Nonna se balance légèrement de droite à gauche en embrassant plusieurs fois la joue de Nek.

Nonna : On était tout juste en train de parler de toi
-dit elle en se séparant de lui

Il détourne son regard de ma grand mère et le pose sur moi, avec toujours un faible sourire scotcher aux coin des lèvres.

Ken : Ah ouais ?

Mekra : Certaine personne vous on poucave -dit il en se dirigeant vers l'entrée

Ken fronce ses sourcils en tcheckant Hakim et ce dernier lui fait un signe de tête vers Idriss qui tcheck Nek en le regardant innocemment. Mon copain roule donc des yeux ayant compris puis serre la main de mon grand père.

Jeddi : C'est donc à toi qu'appartient le cœur de ma petite fille à présent ?

Je roule des yeux et vais les rejoindre. Ken sourie a mon grand père en acquiesçant légèrement.

Moi : Appartient, toujours les grands mots Baba Rachid

J'embrasse la joue de Ken timidement puis me tourne vers ma famille. Mes grands parents me regarde avec de grand sourires scotcher aux lèvres.

Depuis cinq ans ils avaient l'espoir que je reprenne confiance en moi et que je me remette de ma rupture avec Jonathan, même si ils ne l'avaient jamais rencontrer, et me soûlais pour que je trouve un copain et que je leurs fasse des petits enfants.

C'est donc pour cela qu'ils se comportent de la sorte, comme si je venais de leurs annoncer que j'étais enceinte. Rien que d'y penser ça me fait rouler des yeux car ils sont toujours dans l'excès et que juste le faite de savoir que je suis en couple est pour eux comme une bénédiction.

Moi : Arrêtez la -leurs dit je en soufflant

Nonna : Enfin !

Jeddi : En plus il est bien mieux que l'autre bouffons, dit donc vous aimez vraiment bien les Samaras vous

Mon grand père me regarde puis regarde Idriss et ce dernier souri faussement en me regardant mal à l'aise.

Mekra : On mange la ou quoi ? -demande t'il pour casser cette ambiance malaisante

Nonna : Tout est prêt ! Rania vas donc mettre la table pendant que je discute avec ton mari -dit elle en enroulant son bras autour de celui du grec

Moi : Nonna ! -m'exclamais je en soufflant

Nek ce contente de rire et mon grand père me prend soudainement dans ses bras.

Jeddi : Je te le dit pas souvent mais je suis fière de toi hbiba, tu es devenue une magnifique femme et indépendante et je t'aime

𝐉𝐮𝐬𝐭𝐞 𝐩𝐨𝐮𝐫 𝐯𝐨𝐢𝐫Où les histoires vivent. Découvrez maintenant