SLG (fanfiction) - MY OTHERS PART OF MADNESS [TERMINÉ]

Chapitre 8: Des frères..

Mathieu se réveilla. Il ouvrit lentement les yeux mais sa vision était tellement trouble qu'il ne parvenait à rien distinguer. Lorsqu'il essaya de se relever, une douleur atroce lui traversa le crâne et le força à rester allonger. Plus les minutes passaient, plus il arrivait à mieux disserner ce qui l'entourait. Il était dans une pièce, entièrement blanche avec des murs étrange. Comme si ils étaient faits de coussins. À côté de lui, seulement un carré de douche, une table à droite et bien sur un lit à même le sol sur lequel il était allongé. Malgré la douleur, il se força à se relever histoire de mieux évaluer la situation. Puis, une étrange sensation parcourut son corps. Il était toujours attacher en camisole mais, c'était une autre sensation qu'il pressentait. Ses amis ils... Ils n'étaient... Plus là !

<<-Patron? Hippie? Geek? Vous êtes où? Hasarda le petit garçon encore sous le choc et sentant son esprit vassiller...

Pas de réponse...

LES GARS?? PUTAIN MAIS VOUS ÊTES OÙ??? C'EST PAS DRÔLE !!!>> Hurla Mathieu au bords des larmes.

Pourquoi ne lui répondez -t- il pas?

Souvent, quand ils étaient plus jeune, ses amis jouaient à se cacher et Mathieu devait les retrouver. Mais lorsqu'il ne les trouvaient pas, ils sortaient et venait se jeter sur leur créateur pour qu'un fous rire de plus de 2 heures commence. Mais là, rien. Ils n'étaient pas sortie de nul part pour lui faire peur. Il n'était rien sans eux. Ils ne voulait pas être seul. Il ne voulait plus être seul. Plus jamais...
La porte de la chambre "cellule" s'ouvrit dans un bruit métallique infâme arrachant Mathieu à ses penser. Lorsque la porte s'ouvrit, il crut que sont coeur allait décoller de sa poitrine. Une jeune fille, un peut plus grande que lui (en taille hein?) et d'environ une vingtaine d'année. Elle arborait de magnifique cheveux châtain et de sublime yeux vert. Elle arborait un visage souriant et doux, presque comme celui de... Sa maman. Elle s'approcha lentement de Mathieu qui sentit soudain le stresse et la crainte l'envahir. Après tout, il ne la connaissait pas, c'était peut être une autre docteur qui allait lui triffouller le crâne avec une... Perceuse? Elle hasarda un main sur sa tête mais Mathieu recula brusquement dans son lit. Elle semblait troublée mais amusée par se petit jeux d'enfant de dix ans. Elle recommença mais cette fois, il ne pouvait plus reculer car complètement adossé contre le mur. Elle sourit. Le même sourire qu'arboraient sa maman quand ils jouaient tout les deux, que Mathieu perdait et faisait semblant de ne pas être vexer. Il se laissa faire et sentit sa main se poser sur son crâne dégarnit d'où se dressait un fin duvet châtain clair. Son contact était différent de celui des sa maman .Il était encore plus chaud et doux. Il ferma les yeux. Se perdant dans se contact et dans cette tendresse. Une voix s'éleva:
<<-Tu es Mathieu Sommet c'est ça ?

-Oui... Répondit simplement Mathieu timidement, maintenant toujours sa tête dans le creux de sa main

-Mon nom est Élisa Renson mais appele moi Élisa

-D'accord...

-Je serait ta "baby-sitter" si je puit dire,pendant tout ton séjour ici!

-Et mes amis, ils sont où?... Demanda Mathieu qui decida de retirer sa tête, à contre coeur

-Ils dorment... Profondément, et je doute que tu réussisse à les réveiller lui répondit elle avec un sourire qui brisait toute cette image sublime qui englobait son visage et même son... corps?

-Pourquoi vous nous faitent ça?... On a fait une bêtise?

-Non non pas pas du tout! Il faut juste que ces personnes te laisse tranquille car ils te font plus de mal qu'autres choses.>>

L'esprit de Mathieu était complètement embrouillé. Ils lui faisait du mal? Mais c'était totalement faux! Ils étaient ses seuls amis, ils prenaient soins de lui comme personne d'autres, ils riaient, ils s'amusaient... Comme des frères... Comme une vrai famille. En aucun cas ils étaient néfaste pour lui. Élisa se releva lentement et se dirigea vers la porte de la chambre. Avant de s'en aller, elle jetta un coup d'œil vers Mathieu. Se regard... C'était casiment le même que celui que son père lui avait adresser avant de le... Enfin voilà quoi! Un regard remplie de regret, voir même de pitier.

<<-On rediscutera ensemble demain, pour l'instant, tu dois te reposer...

-Vous... Vous êtes gentille vous? Demanda Mathieu avec l'innocence la plus totale dans la voix

-... Pourquoi me demande tu cela?

-Le docteur Frédéric lui est pas gentil du tout mais vous...vous êtes différente...

-Si pour toi je suis gentil, alors c'est que je le suit!>>, lui répondit elle simplement avant de fermez la porte de fer avec un claquement glacial.

Cette fois -ci, Mathieu sentit quelques choses. Dans son coeur. Cette sensation, il ne l'avait pas éprouver depuis longtemps. La solitude. Le sentiment d'être isoler du reste du monde, de...

<<-Eh gamin! C'est bon, on peux sortir? Demanda une voix grave qu'il reconnaitrait entre milles.
Ses amis apparurent tous en même temps et, comme lui, chauve comme des cailloux. Mathieu ne pût se retenir et se jeta dans les bras de ses compagnon en laissant s'échapper toutes les larmes de son corps

-OUIIIIIIN, VOUS ÉTIEZ OÙÙÙÙÙÙ???

-Oooooh, du calme gros, on attendaient juste le bon moment pour se montrer, histoire de pas réveiller les castors. Répondit doucement son compagnon drogué avec un sourire qui se voulait plutôt rassurant

-On avaient pas envie de se faire choper! Renchérit le petit avec sa voix plaintive et son air abatut tout en serrant fort Mathieu dans ses bras

-Et puis cette grognasse auraient puent nous denoncez au docteur donc on préférait rester cacher bien profondément si tu vois ce que je veut dire... Ajouta l'homme aux lunettes de soleils avec un sourit pervers au coin de la bouche mais en maintenant l'etreinte de son créateur

-PLUS JAMAIS VOUS ME LAISSEZ TOUT SEUL! PLUS JAMAIS PROMIS ? Hurla Mathieu toujours blotie contre ses compagnons avec les yeux embués de larmes

-Promis Mathieu! On te laissera plus jamais tomber!

-Je le jure sur la sainte rhubarbe gros!

-Promis gamin, promis...>> Conclua le Patron avec une douceur qu'il ne lui connaissait pas. Pour la première fois, Mathieu ressentie quelques choses de cette étreinte avec ses amis. Une chaleur et une douceur presque enivrante. Il resserra leur étreinte toujours plus fort et senti sa peine disparaître doucement. Ils étaient sa seule famille dans cet enfer. Et une chose était sûr. Il ne pouvait compter sur personne d'autres qu'eux. Ses amis. Ses frères...

À suivre

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Une chapitre super long je sais mais envoyé plis intense que le précédent. Et c'est pas près de s'arrêter les coco! À bientôt pour la suite de cette folle aventure sur l'esprit le plus tordue de YouTube et écrit par la plus grosse fangirl de l'histoire.
Bisous sur vos fesses droites !