SLG (fanfiction) - MY OTHERS PART OF MADNESS [TERMINÉ]

Chapitre 15: Le face à face (Partie 1)

Quelques minutes avant l'arriver devant le bureau du docteur Frédéric...

Mathieu commença lentement à se réveiller. Il entrouvrit les yeux et senti qu'il avait la tête posé sur les genoux de quelqu'un. Mais en même temps, il sentait une main lui caresser doucement le crâne. À ce moment là, il pensa immédiatement à sa mère. Cela faisait longtemps qu'il n'avait pas ressentit se contact là. Cette douceur, cette délicatesse, cette gentillesse. Il était peut être vraiment sûr les genoux de sa mère. Peut être même que, soyons fous, il était rentré chez lui! Alors, comme pour se convaincre qu'il était enfin sortie de cet enfer, il tourna la tête pour voir où il était et surtout si sa maman et lui était de nouveau réuni. La première chose qu'il remarqua était que l'endroit dans lequel il était, semblait très sombre, voir totalement plonger dans l'obscurité avec une minuscule source de lumière. Et enfin il compris. Il était dans son esprit, là où il allait pour retrouver ses amis. Eh... mais attends... Si seul lui et ses compagnons peuvent venir ici, cela veut dire que la personne qui lui caresse la tête est.................
Il ouvrit grand les yeux vers son repose-tête et vit qu'il s'agissait du Geek qui le regardait d'un air doux. En un éclair, Mathieu bondît d'au moins deux mètres avec une rapidité à la limite de celle d'un super sayan. Le Geek resta tout étonné de la réaction de son créateur mais se contenta de simplement sourire à ce dernier:

<<-Pour...Pourquoi je suis ici? Et puis d'ailleurs où est Patron? POURQUOI TU ME CARESSAIT LA TÊTE??? demanda Mathieu qui ruisselait de sueur et était rouge comme une pivoine

-Euh... bah... Patron s'occupe des monsieur comme tu lui a demander.... Et si je te caressait le crâne, c'était pour te calmer et pour t'apaiser bégaya le petit gameur avec son air sans cesse triste

-Ah.. et bien... merci Geek de... d'avoir veiller sur moi.... tu..... c'est gentil>> articula difficilement Mathieu encore embarrassé de sa réaction peut être un peut trop... agressive? Il se rapprocha de son ami et le pris dans ses bras. Le Geek ne refusait jamais un calin, et encore plus si il venait de Mathieu. Il resserra l'étreinte de se dernier et commença à sangloter. Après quelques secondes de tendresses, il se séparèrent:

<<-Où est Hippie? demanda Mathieu

-Là bas, il essaye à parement de communiquer avec les coccinelles pour savoir si Patron va bien>> répondit le petit avec un sourire de bienveillance.

Mathieu ressentit alors une étrange sensation. Le sentiment d'être face à quelques choses  d'horrible. Sa vision se troubla. Des flashs, des flashs d'un homme étendu sur un matelas ensanglanté avec le pantalon baissé. Il compris alors que c'était Patron qui faisait tout ça. Il avançait d'un pas déterminé vers le bureau de leur bourau. Sans aucun remord? le garçon laissa le pervers avancer, sans l'arrêter. Il n'en avait pas envie, et de toute manière, il voulait tant se venger de ses tortionnaires que plus rien ne pourrait le faire changer d'avis sur la question. Dix ans. Dix ans de souffrances, de tortures, de manipulations, de mensonges et la perte de celle qu'il aimait. Pour quel raison devrait il avoir de la pitié pour ces types? AUCUNE! Il devait les tuer, il devait LE tuer. Pas le Patron, non! Lui! juste lui devait mettre fin à tout ça, et personne d'autres! Fini le petit Mathieu qui se laissait faire, qui acceptait gentiment de se faire percer le crâne pour de lobotomies, fini tout ça! Aujourd'hui, il allait tuer le docteur Frédéric!

Il rentra dans le bureau en pulvérisant la porte avec un énorme coup de pied. La porte vola sur quelques mètres et retomba sur le sol dans un grand bruit. Le docteur était là... Assis sur un grand fauteuil, encore et toujours, en train de lire ses documents scientifique. Il ne redressa pas la tête. Il semblait attendre ce moment depuis toujours, comme si il savait qu'un jour, son patient viendrait pour le tuer. Patron, toujours au commande, décida de briser le silence:
<<-Eh! Espèce de salope! T'as pas l'impression de m'ignorer?