Chapitre 16: Le face à face (partie 2)

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Mathieu était de nouveau lui même. Face à la source de toutes ses souffrances. L'homme le regardait d'un regard hautain, supérieur voir prétentieux. Il était toujours assis dans son fauteuil et regardais son patient droit dans les yeux. Il avait réussi à attirer son attention. Le simple fait de prononcer le mot "maman", suffisait pour totalement déstabiliser Mathieu:
<<-Alors comme sa vous avez vu ma mère?

-Oui, et elle est venu hier même. Elle voulait de tes nouvelle...

-Et bien sur vous lui avez dit toute la vérité !

-Comprend moi mon garçon, ta mère à fait appelle à nous pour te soigner et te guérir! Je ne pouvais pas refuser vue l'état dans lequel tu était déjà il y a dix ans.

-Mais ces bien ÇA le problème! Je n'ai aucun problème ! OK, peut être que mes amis sont un peut particuliés et parfois insultants mais, ils ont bons fond! C'est des types bien! J'ai plus personne à part eux! Ma mère m'a abandonné ici et celle que j'aimais vous...
Vous l'avez tuez...
Le docteur était pris entre deux feux. Sois lui avouez qu'il est skyzophrène et prendre le risque qu'il devienne incontrôlable. Ou tout simplement continuer les traitements jusqu'à ce qui sois soigné...
Ou sombre dans la folie et donc passible de devoir être tuer.

-Écoute Mathieu, je suis docteur depuis plus de vingt ans. Et des cas comme toi, je n'en avais jamais rencontrer...
Ce lien que tu entretiens avec tes...amis et d'une puissance impossible à briser. Vous vous aimez vraiment comme des frères, et ça, je l'ai parfaitement compris. Mais il se peut qu'en grandissait, ton ami pervers deviennent encore plus incontrôlable et tue encore plus de personnes!

-Si il fallait tous vous tuer, vous violer, vous vomir dans la bouche, vous revioler et vous revomir dans la bouche, soyez certains que je m'en occuperai moi même....
Mathieu commençait à perdre de sa luciditer. Ce désir de sang, de violence et de tuer commençait peut à peut à reprendre le dessus.

-Je suis désolé d'avoir détruit ta vie...
Je m'en rend compte aujourd'hui...
Lorsque tu es arrivée ici, tu n'était qu'un petit garçon apeuré, un peut comme ton ami Geek...
J'avais pitié de toi... Et en même temps... Je voulais te sauver de la folie qui s'emparait peut à peut de toi...
Bien sur, la plupart de mes méthodes était un peut trop exagérés... Mais je voulais te sauver... Pour que tu ne souffre plus ou pas dans ton futur.... Je voulais enfin réussir à sauver quelqu'un... Sans qu'il ne souffre d'avantage...
Mathieu était troublé. La manière dont se livrait le docteur Frédéric était étonnante. Presque touchante. Tandis que lui ne voulais plus jamais souffrir de la solitude, l'autre voulais avoir cette satisfaction d'être utile. De montrer ses connaissances, d'être suffisement respecter pour être admiré. Un étrange sentiment de culpabilité s'empara de lui. Il se demandais finalement si :"Est ce qu'il mérite vraiment de mourir?"









-Non gamin... Ne te laisse pas attendrir par cet enfoiré... Il dois mourir

-Mais... On dirait vraiment qu'il est sincère là... Je sais pas si il merite de...

-Mais il t'a torturé pendant dix ans, il a tué Élisa et en plus il pensait le faire avec de bonnes intentions!

-Je sais...

-Tu es trop gentil gamin...
Laisse moi m'en occuper...

-NON! Patron je dois...

-Réglé ça ? Mais t'as pas les couilles pour! Laisse moi faire! Je vais lui archer sa teube de puceau et ensuite, on se casse!

-NON ARRÊ...

Les yeux de Mathieu devinrent plus dur, plus froid, plus malsain, et surtout plus pervers. Le Patron était de nouveau aux commandes et se rapprochait dangereusement du docteur Frédéric. Le scientifique compris que ce n'était plus son patient qui se tenais devant lui et commença à se lever de son fauteuil. Il recullait, bientôt aculé à son bureau et d'en l'incapacité de pouvoir s'en sortir.
La Patron se rapprochait toujours. Déterminé. Mathieu se débattait, faisait tout pour sortir, reprendre le contrôle mais c'était trop tard. Il était comme pris d'une étrange fatigue qui anesthésiant presque son cerveau et l'empêchait de bien bouger et parler. La vengeance et la folie ou la pitié et la fuite? Même lui ne savait pas quoi choisir. Mais sans doute était ce mieux de laisser le Patron faire se choix.

Soudain, une sensation affreuse parcourut chacuns des compagnons de Mathieu. Une douleur indescriptible dans la tête. Patron était figé. Face au scientifique qui tendait une objet étrangement falique vers lui. Mais surtout, fumant. Un flingue. Mathieu constatat son état. Ils venaient de prendre une balle dans la tête. Puis, comme mus par un besoin et un désir trop longtemps refoulé, une larme coulât sur la joux du jeune garçon. Ce n'était pas lui qui pleurait, mais son compagnon pervers. Lui? Il pouvait pleurer? Était ce la douleur qui provoquait ça?

Je suis désolé gamin...
Je n'ai pas réussi à nous venger...

Non. C'était du regret. Mathieu tomba à genoux, se tordant de douleur tandis que le docteur Frédéric le regardait toujours, les yeux remplit d'effroi et de peur. Puis, sentant que son agresseur était maintenant inoffensif, il se releva et s'approcha de lui. Mathieu avait peut à peut retrouver le contrôle de son corp et de son esprit mais le trou qui se trouvait dans sa tête ne disparaissait pas pour autant! Il voulait dormir. Se reposer. Enfin, après tout ce temps. Mais non! Il ne fallait pas sinon il ne se réveillerait plus jamais!:

<<-Bonne nuit mon enfant, tu en as besoin...>>

Le docteur était toujours pencher au dessus de lui lorsque ces mots sortirent de sa bouche.

Mathieu voulait l'étrangler, lui sauter à la gorge, lui bouffer la langue pour que plus jamais il n'ose lui parler une nouvelle fois.

Mais sa douleur et son effroi de sentir la mort arriver le privait de tout moyen de bouger.

Puis lentement ses yeux se fermèrent. Ses compagnons accoururent à son chevet pour le prendre dans leurs bras.

Tous pleurait, sauf Patron qui avait pris soin de bien essuyer ses larmes.

Il pouvait sentir leur contact.

Si chaud, si doux.

Son mal disparut lentement et désormais il ne sentait plus rien. Il les pris dans ses bras, les larmes aux yeux et le sourire aux lèvres:

<<-Ensemble jusqu'au bout hein? Murmura le Geek qui retenait ses larmes tant bien que mal

-Oui... Jusqu'au bout...>> Ajouta Mathieu qui, dans la vrai vie était étendue sur le sol du bureau du docteur Frédéric, baignant dans une flaque de sang encore chaude, les yeux mis clos et immobiles.

Ton heure n'est pas encore venu...

À suivre...

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Pffff se chapitre à mis du temps à être fait, mais j'hésitais beaucoup sur le déroulement de se dernier. Mais soyez sans crainte, cette l'histoire n'est pas fini! (bah oui, sinon sa voudrait dire que Mathieu est mort depuis le début😑)
Et je compte bien sortir encore 2 ou 3 chapitres pour conclure toute cette fanfiction de dingue.
Alors rendez vous dans très peut de temps pour le dénouement final!
Bisous mes chéries!
Je vous ❤!

SLG (fanfiction) - MY OTHERS PART OF MADNESS [TERMINÉ]Où les histoires vivent. Découvrez maintenant