Partie 51: Trop...

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(Moi: aller viens on va voir Wassil et Samia.

Ikram: vas-y je te rejoins

Je l'ai embrassé et je suis retourné dans le salon)

***

P.D.V de Samia::;::

Après être rentrée chez Farès, j'ai joué avec Wassil quand Farès est arrivé. Quand il est redescendu, il m'a dit ce que Ikram avait et j'ai rigolé parce qu'il était choqué.

Moi: faut pas chercher à comprendre les meuf des fois on est incompréhensible *rigole*

Farès : ouais je sais *rigole*

Wassil c'est mis à rigoler aussi.

Wassil: gabagaga *langage de bébé *

Farès : toi t'as intérêt à trouver une bombe, je veux pas que mon fils soit avec un thon.

Moi: Farès!

Farès: quoi? *rigole*

Moi: parle pas comme ça c'est encore un bébé et...

Quelqu'un a sonné à la porte.

Farès : faut bien le préparer *rigole* j'vais ouvrir

Il part ouvrir

Farès : qu'est-ce que tu fait là ?

Il avait l'air énervé, je me suis approché et j'ai vu que c'était Youssef. Ça faisait 3 semaine que je l'avais pas vu, il m'a manqué mais je dois faire semblant de lui en vouloir.

Youssef: je peux parler à Samia ?

Farès : et t'as attendu 3 semaine pour venir??

Youssef: je.. je dois lui parler

Farès : nan c'est mort qui me dit que tu vas pas encore la frapper

Un frisson à parcouru mon corps, rien que d'y repenser.

Moi: Farès laisse nous steuplait

Il m'a mal regardé et a pris une grande inspiration

Farès : fait attention à toi *il est parti*

J'ai avancé vers la porte d'entrée et lui ai fait face.

Moi: qu'est-ce que tu voulais me dire?

Youssef: je peux pas sans toi, t'es ma sœur, la deuxième femme de ma vie et savoir que je t'ai fait tellement de mal que t'as peur de moi ça me fait mal au cœur. Je viens t'embêter pour la dernière fois et si tu peux vraiment pas me pardonner je te laisserais tranquille pour de bon mais sache que depuis que j'ai su la vérité, la culpabilité me ronge, j'ai tout raconté à maman, je vous ai tous déçu mais sache que plus jamais je recommencerai et que je t'aime tellement, tu me manques j'ai compris la leçon wallah je m'en veux vraiment, steuplait je t'en supplie pardonne moi.

J'avais les larmes aux yeux, je pense qu'il a assez payé alors je l'ai pris dans mes bras. Au début il était choqué mais quelques secondes plus tard il a mis ses bras autour de moi. Il voulait plus me lâcher mdrr.

Le danger nous a rapproché Où les histoires vivent. Découvrez maintenant