Partie 75: contrat...

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(Samia: j'ai pas envie de parler là, je crois que je vais rentrer chez m..moi

Rayan: tu te sent bien?

Samia: hum nan, j'ai mal à la tête

J'ai perdu l'équilibre. Qu'est-ce qu'il m'arrive?

Rayan: viens je te ramène chez toi

Il m'a raccompagné. En rentrant, je me suis directement posée dans mon lit et je me suis endormie. Je vais aller chez le médecin demain.)

***

P.D.V de Samir::;::

Zaïd: j'ai essayé d'avoir un rendez-vous avec lui mais j'ai pas pu passer le portail. Ses hommes m'ont ris à la gueule.

Ali: non mais franchement, ces italiens ils savent pas être courtois?

Moi: tu leur a dit que tu venais en mon nom?

Zaïd: j'ai pas eu le temps, ils ont pointé leurs armes sur moi. J'ai préféré m'en aller avant qu'ils me blessent

Moi: si la manière douce n'a pas fonctionné, on va voir si la manière forte va être plus efficace. Préparez vous, je veux que tout le monde soit à son poste si j'arrive à avoir l'accord du chef, on aura que très peu de temps pour retrouver la cible

Karim: c'est une course contre la montre

Moi: qui se charge de les localiser ?

???: c'est moi patron

Moi: ils sont où?

???: dans l'hôtel Lungarno, pas loin du centre

Ali: t'es sûr qu'ils ont pas bougé depuis? Flemme de risquer ma vie pour rien

Karim: ta gueule c'est pas le moment de plaisanter

Moi: préparez vos affaires, dans 10 minutes vous êtes tous prêts. Karim, Ali, Zaïd, Hamza, et Diego vous venez avec moi au Palace

Arrivés au Palace, les Hommes de mains n'ont pas voulu nous laisser passer. J'avais pas la patience de parler alors j'en ai maîtrisé un et j'ai menacé de le tuer pour passer.

Moi: VOUS AVEZ TOUS INTÉRÊT À ME LAISSER PASSER SI VOUS VOULEZ PAS QU'IL Y AI DE BLESSÉS!

On a continué à avancer jusqu'à arriver dans le hall d'entrée. En haut des escaliers, le chef était là à nous regarder. Ses hommes me pointaient tous avec leurs armes à l'affût du moindre geste déplacé.

Chef: tant de raffut pour si peu. Pourquoi ne pas avoir une conversation civilisée dans mon bureau?

Moi: c'est à vous de voir chef

On l'a alors suivis dans son bureau et on s'est assis. Il s'est servi un verre de whisky.

Chef: vous voulez quelque chose à boire?

Moi: on a pas soif

Ali: heu moi je veux bien

On l'a regardé blasé.

Ali: bah quoi j'ai soif

Karim: Irrécupérable

Chef: alors qu'est-ce qui t'amènes ici Samir?

Moi: j'aurais besoin que tu me laisse le champ libre dans ton périmètre

Chef: et pourquoi je ferais ça?

Le danger nous a rapproché Où les histoires vivent. Découvrez maintenant