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Deceit

Yes vivent les fautes :,)
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- Mais quelle journée de merde ! Tu t'assois violemment sur le premier banc qui se présente à toi. 

Tu cherches ton téléphone en espérant écouter de la musique histoire de te faire changer d'humeur mais malheureusement il était introuvable.

- C'est une blague là ?! Pendant que tu cherchais despérement ton téléphone, des petites rires nerveux sorti tout seule de ta bouche.

- Pas de musique et pas de téléphone ce soir, je vais tuer quelqu'un.

Avachie sur le banc la tête en arrière pensive, tu fermes doucement les yeux, le son du vent t'était agréable. Tu aimais malgré tout ces moments de calme qui te permettait de juste t'evader du quotidien.

Au bout de 5 minutes, tu sens de légères gouttes se déposer sur ta peau. A ce contact tu grimaces mais tu n'y fais pas plus attention. Sauf que la c'était clairement un torrent qui s'écrasait sur toi.

- FAIT CHIER.

Tu te lèves rapidement du banc et continue ton chemin sans musique, sans téléphone et en plus de ça complètement trempée.

arrivée devant ta maison tu remarques la voiture de ton frère.

- Je suis sur que ce con a fermé la porte.

Tu essayes de l'ouvrir et effectivement elle est fermée.

- Mais quel trou du cul.

Tu trouves tes clés, puis ouvre ta porte en bénissant le seigneur de ne pas les avoirs oublié.

Tu entres en furie, épuisée de cette journée.

- J'en peux plus de cette école de merde putain.

Une boule commençait à se former dans ta gorge.

Tu montes les marches.

Ouvre la porte de ta salle de bain.

Tu te sèches les cheveux et dépose t'es vêtement trempés dans le lave linge.

Tu sors de la salle de bain en courant avec ton sac jusqu'à ta chambre pour que ton frère ne te remarque pas.

Arrivée dans ta chambre tu fermes la porte un peu trop bruyamment. tu enfiles un sweat à ton grand frère et un short noir que tu utilises pour la nuit. Tu t'approches de ton miroir pour t'attacher les cheveux en un vieux chignon décoiffé.

Ta gorge se serre de plus en plus.

Tu restes bloquée sur ton visage, tu le touches tout en te fixant droit dans les yeux.

Une douleur au cœur se forme.

- Pourquoi ? Mais pourquoi moi ?

Tu te posais la question à voix haute sans cesse.

Un goût salé attire ton attention.

Des larmes coulaient le long de tes joues rougis par le froid.

- P-pourquoi..