Partie sans titre 2

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Point de vu de Saskia :

Ce matin je vais remplir des documents avec Jafar-san, je suis contente car c'est quelqu'un de sérieux avec qui cependant on peut discuter. Je me suis levé un peu plus tôt que d'habitude mais j'aime vraiment bien discuter avec lui. Je suis devant le bureau de Jafar-san à l'attendre, c'est étrange car c'est quelqu'un d'assez ponctuel.

~30 min plus tard~

Je commence à m'inquiété et me dirige vers la cuisine où se trouve les seules personnes éveillées pour leur demander des nouvelles de mon supérieur mais en vain puisqu'il ne l'on pas vu. En retournant vers son bureau je croise Drakon-san « Excusez-moi Drakon-san, auriez-vous vu Jafar-san ? Nous devions nous charger de certain document ce matin mais il reste introuvable. » il m'a gentiment répondu « Je vais en direction de sa chambre, voulez-vous m'accompagner pour voir se dont il en retourne ? » je lui répondis d'un hochement de tête et nous continuâmes le chemin en silence. Arrivé à sa porte, Drakon-san frappa mais ne reçu aucune réponse il entra respectueusement dans la chambre de son ami tandis que je restai dans l'entrebâillement de la porte. Tout à coup, la voix de Drakon-san se fit entendre dans tout l'étage, m'ordonnant d'aller chercher Yamuraiha-san. Je m'exécutai rapidement menant la concerné à la chambre de Jafar-san.

Point de vu de Yamuraiha :

*« Yamuraiha-san ! » s'exclama une petite voix « Drakon-san vous demande immédiatement dans la chambre de Jafar-san » Je me retourne vivement et commence à courir le plus rapidement possible comprenant, suite aux éventements d'hier que se ne doit pas être anodin. Arrivé dans sa chambre, je vois Jafar allongé sur son lit et Drakon à son chevet en train de mettre un tissu mouillé sur son front. Je lui demande alors des nouvelles.

« Drakon ! Comment va-t-il ? »

« Mal, il a de la fièvre, respire fort et a une profonde entaille au bras. » j'hoquetai de stupeur en observant la plaie et demanda à la fille qui m'a emmené ici d'aller chercher le roi. Elle se précipita dehors revenant quelque instant plus tard avec un roi au visage peint de noir.

« Comment va-t-il ? » J'ai bougé la tête dans un « non » pour lui faire comprendre son état critique.

Point de vu externe

Un brouhaha s'était installé dans la chambre du blessé, une discussion animée entre le roi et ses deux généraux alors que Saskia restait immobile fixant le corps agonisant. « Que s'est-il passé ?» « Je n'en sais rien, la petite est venu me chercher en courant » « avait-il déjà cette plaie hier ? » « Yam tu peux faire quelque chose ? » « Qu'est-ce qui s'est passé hier ? » « Je peux soigner sa blessure mais on dirait qu'il a été empoisonné » « Comment est-ce qu'il s'est fait cette blessure ? » « Et qui la lui a faite ? »

« Réunion avec tous les généraux sauf Yam ! » La voix du roi avait mis fin au flot de paroles sortant Saskia de sa torpeur. Il s'approcha de la jeune fille « Vous allez assister au conseil pour nous relater les éléments de ce matin, mademoiselle... » « Saskia, mon roi » « très bien Saskia, venez avec moi » dit-il avec un sourire triste

Point de vu de Saskia :

Je marche en compagnie du roi en direction de la salle de conseil, j'ai peur. Pour diminuer mon stresse je commence une conversation.

« Seigneur, Jafar-san va s'en sortir n'est-ce pas ? » « Je le pense, en tous cas je l'espère. »

« Vous savez, hier Jafar-san et moi avons beaucoup discuté et il m'a dit combien il vous porte en estime et comment vous l'avez sauvé de son affreuse enfance. » « Il t'a dit tout ça mais il ne t'a pas dit combien de fois où lui m'a sauvé ou que s'est moi qui le pousse à l'épuisement, il ne t'a pas dit que s'est moi qui le met le plus en danger ... » « Sai-tu combien de flèche il s'est pris pour moi ... 4. 4 flèches et je n'ai jamais été capable de prendre un coup pour lui... »

« Pardonnais moi Seigneur mais vous êtes un imbécile doublé d'un égoïste. Jafar-san est un adulte qui vous respecte pour la personne que vous êtes. Si vous ne vous croyez pas digne de ce jugement, progressez pour que vous puissiez finalement en être digne. Vous dites que vous n'avez pas pris de coup pour lui, premièrement ce n'est pas ce qu'il m'a dit et deuxièmement si vous l'aidez autrement peu importe puisque vous l'aidez. »

Le rire franc du roi vint clôturer mon monologue « cela fait bien longtemps que quelqu'un, mis à part Jafar, ne m'avait parlé ainsi. » Je balbutiai, rouge de honte, des mots d'excuse incompréhensible avant de me faire couper à nouveau. « Ne t'inquiète pas ça m'a fait plaisir de parler avec toi, des paroles franches sont toujours les bienvenues »

Le roi Sinbad, en disant ces paroles, avait reprit son sourire triste mais il disparu pour laisser place à un visage sérieux quand nous arrivâmes aux portes de la salle du conseil.

It was youOù les histoires vivent. Découvrez maintenant