Partie sans titre 6

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Point de vu de Cara :

J'en ai mare d'attendre, en plus la fille doit être inoffensive. Je fais un signe à #1

« On y va. »

Alors que je lance une offensive frontale, #1 passe derrière eux. Je le savais, ses reflex sont plus lents, il est encore sous l'emprise du poison. La fille se colle au mûr pour éviter de prendre un coup regardant le combat entre Jafar et moi. Il est fini #1 révèle sa présence et fonce sur lui pendant que je le force à rester en place. Il reste il meurt, il bouge il meurt. Je pris donc un malin plaisir à lui dire ceci « Alors, que vas-tu faire maintenant oni-san »

Point de vu de Jafar :

C'est la fin.

Point de vu de Sinbad :

J'ai entendu un cri et me dirige vers là d'où provenais le son. Je vois deux personnes à moitié sonnées prisonnières de Bararak Sei et Jafar, debout au milieu d'eux, couvert de sang, le visage tourné vers le sol. Il est blessé ? Il ne peut pas. Je m'approche, le visage déformé par la panic et la vit. Saskia, étalée sur le sol. Je vis finalement son corps sans vie être soulevé par mon conseillé qui l'emmena, la mine triste, vers le laboratoire des médecins. J'ordonnais alors à ce que l'on emmène les deux assassins dans une cellule surveillée.

~20 min plus tard~

J'attend là depuis bien trop longtemps à mon goût quand je vois mon conseillé sortir du laboratoire. Naturellement je vais vers lui, il porte les mêmes vêtements tâchés que tout à l'heure. « Il ne t'ont pas examiné ? » « Non » j'ai tiqué, je n'aime pas quand il ne répond que par des monosyllabes. J'ai commencé à le harceler avec des questions du genre « Qu'est-ce qui s'est passé ? » ou « Tu vas bien ? » quand il s'est finalement retourné le visage déformé par les émotions « Sin s'il te plait je suis fatigué, je voudrais juste aller prendre une douche et me coucher » A ces mots, je l'ai attrapé et mis sur mon épaule « Je le savais, tu es blessé » Il a commencé à se débattre et à m'insulter jusqu'à se que j'entende un bruit que je n'ai pas entendu depuis très longtemps, mais pas assez à mon goût. Je l'ai reposé et l'ai regardé dans les yeux, ses magnifique yeux argentés dans lesquels perlaient quelques petites larmes. « Tu n'est qu'un idiot Sin. Je suis fatigué par ce que je suis triste et je suis triste par ce que je viens de perdre une collègue, une amie qui s'est sacrifiée pour mo- snif- pour moi » Il expira et se recomposa effaçant d'un geste de la main les perles qui menaçaient de tomber.

« Elle est morte à ma place »

It was youOù les histoires vivent. Découvrez maintenant